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#220 : 24h à vivre

Personne d'intérêt : Dr. Richard Nelson
Flashbacks : Lionel Fusco
Titre VO : In extremis
Titre VF : 24h à vivre
Diffusion USA : 25/04/2013 (Hiatus 3 semaines)
Diffusion FR : 25/03/2014
Guest Stars : Dennis Boutsikaris (Dr. Richard Nelson), Robert John Burke (Patrick Simmons), Clarke Peters (Alonzo Quinn), John Fiore (Capitaine Womack), Louis Vanaria (Lieutenant Azarello), James Hanlon (Lieutenant Stills)
Captures

Résumé Court : Lorsqu'un expert du monde de la médecine est empoisonné, Reese et Finch ont seulement 24 heures pour trouver la toxine mortelle qu'il a reçu et la personne derrière l'attaque.

Pendant ce temps, le passé de corruption de Fusco le rattrape lorsqu'un informateur donné au bureau des affaires internes une information essentielle dont ils ont besoin pour l'envoyer en prison.

On découvre que la machine a un virus !

Popularité


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Titre VO
In extremis

Titre VF
24h à vivre

Première diffusion
25.04.2013

Première diffusion en France
25.03.2014

Vidéos

Promo

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Diffusions

Logo de la chaîne TF1

France (inédit)
Mardi 25.03.2014 à 21:50
5.68m / 24.1% (Part)

Logo de la chaîne CBS

Etats-Unis (inédit)
Jeudi 25.04.2013 à 21:00
13.22m / 2.4% (18-49)

Plus de détails

Réalisateur : Chris Fisher
Scénaristes : Jonathan Nolan, Greg Plageman et Tony Camerino

Distribution principale :

Jim Caviezel : John Reese Taraji P. Henson : Jocelyn  Carter
Kevin Chapman : Lionel Fusco Michael Emerson : Harold Finch

Distribution secondaire :

Dennis Boutsikaris : Docteur Richard Nelson Robert John Burke : Offiicier Simmons
Clarke Peters : Alonzo Quinn Ned Eisenberg : Lieutenant Joseph Soriano
Matthew Humphreys : Brandon Boyd Allison Scagliotti : Molly Nelson
Gabrielle Miller : Docteur Julianna De Matteo Matthew Rauch : Docteur Garrett Rossmore
Scott Jaeck : Vincent Cochran James Hanlon : Lieutenant James Stills
John Fiore : Capitaine Womack Louis Vanaria : Azarello
Lynda Gravatt : Celia Beecher Robert Turano : Sergent

20 Septembre 2011

Oyster Bay à 02h28

Fusco en larmes se débarrasse du corps de James Stills que John à tuer et lui a dit de se débarrasser.

2013

La machine écoute une conversation téléphonique entre deux personnes (un agent des affaires internes et un flic véreux du nom d'Azarello qui est en prison) parlant des flics corrompus. Ils parlent de Stills et de Fusco. Le flic véreux dit à l'agent des affaires internes qu'il va collaborer avec lui et tout lui révéler.

 

Université de Booker à 12h09

John surveille le nouveau numéro qui reçoit un prix, celui de professeur émérite. Il s'agit de Richard Nelson un chirurgien cardiaque considéré comme le meilleur, un scientifique et est aussi un professeur dans la médecine depuis trente ans. John est déguisé en serveur et est en admiration, tout comme Harold, de Richard. Ils en déduisent qu'il y a peu de chances que ce dernier soit l'auteur d'un crime à venir, il va donc être la cible à protéger. John clone le portable de Richard pendant que ce dernier va chercher sa récompense. Seule une jeune femme ne semble pas apprécie son discours. Ce dernier boit un verre d'eau.

 

Un cimetière à 12h14

Tous les policiers et les proches de Cal Beacher assistent à ses funérailles. Quinn le parrain de Cal (et celui qui a ordonné son exécution) rend hommage à son filleul en citant du Platon. Fusco regarde Carter qui fait bonne figure contrairement à la mère et à la sœur de Cal qui sont en larmes.

 

Université de Booker

Richard finit son discours. Tout le monde l'applaudit sauf la jeune femme qui sort directement. Harold donne à John les renseignements concernant toutes les personnes approchant Richard. Brandon Boyd, un trader d'un fonds d'investissements important, qui est un ancien patient de Richard vient le féliciter et lui donne une coupe de champagne que ce dernier boit et plaisante avec. C'est au tour du docteur Rossmore, un collègue et un scientifique travaillant pour une pharmacie du nom de Philia, de lui faire boire un whisky de 1962. Richard s'excuse d'avoir recommandé au conseil d'administration l'abandon des essais sur un médicament dont Rossmore s'occupe. Rossmore lui dit que ce n'est pas de sa faute mais de la leur si ça a échoué car il n'avait pas les résultats requis. John et Harold le considèrent comme une potentielle menace.

 

Un cimetière

Fusco va accuser Simmons d'être derrière le meurtre de Cal. Simmons se moque de Fusco de par le fait que ce sont les personnes qui l'entourent qui meurt. Fusco lui dit qu'il va le faire arrêter et payer pour le meurtre de Cal. Simmons s'énerve et répond à Fusco qu'il a tendance à oublier que les HR sont ses amis, que si il n'avait pas été là Fusco seraient en prison depuis belle lurette. Simmons l'informe qu'il n'a plus la protection des HR et qu'Azarello est en train de parler sur la douzaine de meurtre auquel Fusco a potentiellement participé. Simmons le quitte en lui disant qu'il est fini.

 

Université de Booker

L'associée et protégée de Richard, Juliana Di Matteo qui est son assistante et qui a fait son éloge au début de la cérémonie, vient le féliciter. John et Harold pensent qu'elle peut-être une menace car Richard semble refuser de la titulariser. Richard lui demande si elle a vu sa fille. Julianna lui dit que sa fille à dû la voir en première d'où son départ précipité. Richard semble désolé et Julianna remarque que Richard saigne du nez elle va chercher de quoi le nettoyer. John en profite pour apporter des serviettes Richard. Harold informe John que la jeune femme qui ne semblait pas s'amuser et qui est parti directement après le discours est Molly Nelson la fille de Richard. Elle est une Junior qui est suspendue durant un semestre pour avoir attaqué un policier durant une manifestation se déroulant sur le campus, elle défend la cause animalière. Richard fait tomber son verre et John se précipite vers lui. Richard est étourdi et John l'aide à s'assoir et va lui chercher à boire. John informe Harold de l'état de Richard en lui décrivant les symptômes qu'il a remarqués. John a peur d'être arrivé trop tard pour le sauver.

 

Le commissariat à 13h13

À son retour de l'enterrement Fusco se fait interpeller par l'inspecteur Soriano des affaires internes. Fusco refuse de lui parler mais Soriano insiste et un collègue de l'inspecteur bloque le passage à Fusco. Soriano lui dit que c'est au sujet de la disparition de l'inspecteur Stills et il lui demande son badge et son arme de service. Fusco est contraint d'obéir. Carter voit la scène.

Quelques minutes plus tard lorsque Soriano sort de la salle d'interrogatoire Carter en profite pour aller demander des explications à Fusco, qui est abattu, en tant que partenaire. Fusco refuse de lui parler. Elle lui demande si ça a un rapport avec Cal, Fusco lui dit non. Elle insiste pour qu'il lui explique pourquoi les affaires internes en sont après lui. Fusco relève la tête et lui dit qu'il a essayé de se confier à elle à propos de ses erreurs mais qu'elle avait refusées. Elle lui dit être disposée à l'écouter maintenant. Fusco lui dit qu'il récolte ce qu'il sème et dit à Carter de s'éloigner de lui car des ennuis arrivent aux personnes qui sont proches de lui. Le téléphone de Carter sonne. Après avoir hésité elle accepte d'aller répondre mais dit à Fusco qu'ils en ont pas finis.

Harold lui dit ses condoléances. Elle le remercie mais ne comprend pas qu'avec toutes les informations que John et lui ont qu'ils n'aient pas pu sauver Cal. Harold lui dit qu'il n'a pas de réponse adéquate. Cependant il a besoin de son aide. Carter pense que c'est une plaisanterie. Elle lui dit que Cal est mort, que Fusco a des ennuis avec les affaires internes et eux veulent son aide. Harold lui explique la situation et veut simplement qu'elle vérifie quelques noms. Elle refuse et veut que pour une fois ce soit l'inverse c'est-à-dire que ça soit lui qu'il aide. Harold accepte et lui demande ce qu'elle veut. Elle veut avoir le logiciel pour cloner les téléphones.

 

Université de Booker vers 14h

John depuis un bâtiment voisin observe Richard qui est dans son bureau. Après avoir rangé une bouteille d'alcool il appelle sa fille pour la remercier d'être venu sans faire d'esclandre. Molly explique son acte de la semaine passée. Richard lui dit que c'est grâce à l'université qu'elle est habillée nourrie et logée. Ils se disputent et Richard met un terme à leur discussion lorsqu'il s'aperçoit qu'il saigne de nouveau du nez. Il a de nouveau des douleurs. John voit Richard vomir du sang. Richard s'aperçoit qu'il a un problème de sensation et qu'il perd des cheveux. John décide d'aller l'aider. Richard appel la police pour signaler une tentative de meurtre en son encontre et que l'on a empoisonné. Il sort d'urgence de l'université.

 

Devant l'université

Richard bouscule plusieurs personnes et manque de se faire renversé quand John arrive. Richard reconnaît John et agresse John croyant qu'il a empoisonné. John tente de le calmer lorsque la police arrive forçant John à prendre la fuite. Richard dit qu'il les a appelé et qu'il veut signaler un meurtre: le sien. John informe Harold que quelque chose cloche et qu'au vu des symptômes de Richard ils arrivent trop tard.

 

Le commissariat à 14h16

Soriano informe Fusco qu'ils ont eu de nouvelles informations concernant Stills. Il interroge Fusco sur son ancien commissariat (celui du 51ème). Fusco ne voit pas en quoi ça fait de lui un ripou. Soriano lui demande ses liens avec Stills. Fusco dit qu'ils n'étaient pas amis mais et qu'ils se sont perdu de vue lorsque Stills est allé au stup alors que lui est allé chez la criminelle, ce qui remonte à longtemps.

 

2004

Dans un bar à 03h50

Fusco qui touche son alliance se saoule à la fermeture du bar. Le barman refuse de le servir davantage lorsque Stills arrive. Stills lui dit de suivre le conseil du barman et de rentrer chez lui car il a assez bu comme ça. Fusco avoue à Stills que sa femme la mis à la porte. Stills tente de rassurer Fusco en lui disant que sa femme reviendra vers lui mais Fusco lui dit qu'il a reçu les papiers du divorce et qu'elle veut la garde exclusive de leur fils. Stills compatit à sa détresse. Stills invite Fusco à venir dormir chez lui. Fusco le remercie et accepte. Ils partent ensemble du bar.

 

2013

Université de Booker à 14h19

Harold entre dans le bureau de Richard avec un appareil pour détecter la radioactivité. Harold informe John, se trouvant à l'hôpital, des particules qu'il a trouvées et John en déduit que c'est du polonium ce qui est vraiment mauvais. Harold demande à John si il pense que Richard a été infecté dans son laboratoire de par le fait que le polonium peut parfois être utilisé pour la fabrication d'équipement scientifique. John ne le pense pas car le polonium est mortel seulement si il est ingéré et non traiter dans l'heure de l'exposition. Harold voit que la zone est infectée mais ne trouve pas le point d'origine.

 

Hôpital

John informe Harold qu'il est sur le point de découvrir la gravité de l'état de Richard. Il s'approche du lit de Richard. Richard voit John et veut appeler la sécurité mais John l'en empêche en lui disant qu'il est là pour l'aider. Richard a du mal à le croire car il pense que John l'a empoisonné, John lui dit que c'est quelqu'un d'autre qui l'a fait. John explique qu'il était venu le sauver mais qu'il est arrivé trop tard et lui dit qu'il a ingéré du polonium. Richard sait que son corps a été empoisonné aux radiations mais veut savoir comment il est au courant de cela. John lui dit qu'il ne lui reste pas moins de vingt quatre à vivre et lui donne un mouchoir pour qu'il s'essuie. John laisse à Richard la possibilité de choisir entrer rester à l'hôpital pour mourir ou bien de venir avec lui pour trouver qui l'a tué. Richard accepte et John lui dit que dans un premier temps il doit mettre de l'ordre dans ses affaires.

 

Université de Booker à 15h02

Richard vient parler à sa fille. Le petit ami de Molly tente d'empêcher Richard de parler à sa fille mais Molly accepte de parler à son père. Molly ironise sur le fait que son pre vient lui parler. Richard s'excuse maladroitement auprès de sa fille de ne pas avoir été présent pour elle qui voit que quelque chose de cloche mais son père lui dit que ça va. Molly lui dit qu'il a divorcé car il a trompé sa femme. Richard dit à sa fille qu'il a fait beaucoup d'erreurs et a réussi beaucoup de choses dans la vie mais que sa plus belle réussite est sa fille et qu'il est fier d'elle. Elle est surprise et émue. Elle préfère mettre un terme à leur discussion. John s'approche de Richard et ils s'en vont.

 

Le commissariat à 15h17

Carter écoute Soriano, grâce au clonage de son téléphone, qui continue d'interroger Fusco. Il sort son ordinateur portable où il y a une vidéo d'Azarello. Soriano dit avoir compris pourquoi Stills et Azarello ne se sont jamais fait prendre car ils avaient un flic à la criminelle. Ce flic Azarello leur a avoué que c'était Fusco. Soriano met en marche la vidéo où Azarello confesse comme leur équipe de flics véreux fonctionnait. Carter écoutant la conversation cherche des renseignements sur Azarello. Azarello explique la première fois où Fusco fut impliqué.

 

17 Janvier 2004

Dans un immeuble des Queens à 01h14

Stills à appelé Fusco pour qu'il vient l'aider. Fusco découvre un dealer mort et Azarello lui donne une version de ce qui s'est passé. Azarello panique des représailles qu'il va subir mais Stills lui dit de se calmer que cela va s'arranger. Stills demande à Fusco qui travaille aux homicides à trafiquer la scène de crime afin que les affaires internes ne leur tombe pas dessus. Fusco tente de refuser de les aiders mais Stills insiste sur le fait qu'il a toujours été là pour lui et que le dealer est responsable de la mort d'enfant. Devant l'insistance de Stills Fusco cède et maquille la scène de crime la transformant en autodéfense. Fusco part.

 

2013

La prison de Rikers

Carter vient voir Azarello avec un dossier. Elle est venue savoir pourquoi au bout d'un d'emprisonnement il décide subitement de parler aux affaires internes de Fusco. Azarello laisse entendre que Fusco a enfreint le code qu'ils avaient et se demande pourquoi Carter s'intéresser que maintenant au passé de Fusco. Carter l'ignore et sort les photos de Davidson et Stills considéré comme disparus), Cal et de Szymanski (retrouvés morts). Elle lui demande si ça signe le retour des HR. Azarello prend la photo de Stills et dit que les secrets sont durs à enterrer et les corps réapparaissent des fois. Carter lui propose d'aller parler au procureur pour réduire sa peine de prison en échange Azarello l'aide. Azarello refuse car il a déjà passé un accord puis il l'a laisse.

 

Université de Booker à 20h10

Harold cherche du polonium dans la salle où Richard a reçu son prix. Il se renseigne auprès de Carter sur sa discussion avec Azarello. Elle lui dit pas bien mais lui dit qu'elle a trouvé des renseignements pour lui concernant Brandon Boyd. Le fond d'investissements pour laquelle il travaille subit une enquête du SEC ( Commission des Sécurités et Échange. Ils s'occupent des fraudes sur les marchés financiers) pour délit d'initié car ils auraient reçu et utilisé un tuyau anonyme concerne une entreprise pharmaceutique.

 

Dans les rues de New York

Richard vomi du sang dans une poubelle. John interroge Richard sur VAC capital (le fond d'investissements). Richard révèle que ce sont eux qui gèrent son argent. John le met au courant de l'enquête du SEC. John lui révèle que Brandon a utilisé l'information que Richard lui a donnée pour couler Philia pharmaceutique et se faire cinq cents millions de dollars. John lui explique que le fond d'investissements tue Richard pour faire échouer l'enquête du SEC. Richard commence à se trouver des excuses mais se ravise et se rend compte qu'il est fautif car il n'a pas su se taire. John prend sa défense en lui disant que le fait qu'il est commis une erreur ne méritait pas la mort. Richard se ressaisit et veut parler à Boyd.

 

Université de Booker

Harold découvre le point d'origine du polonium qui est le verre d'eau posé sur l'estrade et en informe John. John lui explique que seules deux personnes travaillaient durant la remise de prix : une serveuse et lui. Il dit que c'est Boyd qui a dû l'embaucher. Harold teste l'eau.

 

Dans les rues de New York à 21h02

Boyd sort d'une soirée et se dirige vers sa voiture. John l'assomme violemment avant de le pousser dedans sur le siège passager à côté de Richard et s'installe à la place du conducteur après avoir retiré sa veste.

Richard réveille Boyd après l'avoir menotté à la portière. John qui conduit la voiture lui montre passe son pistolet Richard. Boyd veut savoir ce qui se passe. Richard lui dit qu'il est mourant et lui pointe le pistolet dessus. Richard reproche à Boyd de s'être servi de lui mais ce dernier ne voit pas le mal puisque c'est son travail. Richard lui parle de l'enquête du SEC et de son empoisonnement, Boyd Pallit jurant ne rien savoir sur ça. Richard lui tire entre les jambes. Boyd explique la pression de son patron pour avoir une information cent pour cent fiable sous peine d'être viré. Il l'explique à Richard que les essais pharmaceutiques de Philia étaient le combat des trades de VAC capital et que c'était à celui qui obtenait l'information la plus fiable qui gagnait d'où son rapprochement de Richard. Cependant il réitère le fait qu'il n'est pas responsable de l'empoisonnement de ce dernier. Richard veut savoir pourquoi il était présent à la remise de prix. Boyd lui dit que son patron, Vincent Cochran, de suivre son planning et donc d'aller à la remise. Comme il refuse d'en dire plus Richard lui tire une nouvelle fois entre les jambes ce qui a pour effet de faire changer d'avis Boyd. Le trader explique que son patron lui forçait la main pour qui lui dise son informateur et qu'il s'en occuperait. John veut savoir où trouver Cochran. Devant l'hésitation de Boyd Richard menace de lui tirer une balle dans son entre-jambe. Boyd leur donne l'adresse.

 

Le commissariat à 21h22

Carter entend Fusco demander à Soriano l'autorisation de parler à Carter pour lui demander d'aller chercher son fils de son entrainement sportif. Soriano refuse tant que Fusco n'aura pas répondu à quelques questions. Soriano révèle à Fusco qu'il avait été un policier en civil mais qu'il y a une différence entre Fusco et lui c'est que lui n'a jamais tué de personne. Carter tique en entendant que Fusco à tuer des personnes. Soriano dit à Fusco savoir qu'il ne couvrait pas seulement Stills et Azarello mais qu'il en faisait parti et qu'une fois entrer dedans on ne peut pas en sorti.

 

25 Mars 2005

Dans un appartement à 00h19

Stills fait entrer Fusco qui découvre deux morts et Azarello en train de ramasser l'argent et la drogue. Il demande ce qui se passe. Azarello plaisante et Fusco refuse de faire partie de leur magouille. Il s'apprête à partir lorsqu'il voit un homme armé sortir d'une pièce. Fusco abat l'homme armé. Stills le félicite, lui met une liasse de billets dans la poche et lui souhaite la bienvenue dans l'équipe.

 

2013

Le commissariat à 22h08

Soriano explique qu'ils pensaient que Stills s'était enfui mais que maintenant ils pensent savoir que Fusco a tué Stills. Fusco lui dit qu'ils n'ont que les dires d'un flic ripou ce qui n'aura aucune valeur dans un tribunal. Soriano répond qu'une preuve tiendra au tribunal et met devant Fusco un bout de tissu dans un cellé. Ce tissu taché vient du coffre de la voiture qu'il a louée le jour où Stills a disparu. Fusco fait celui qui ne voit pas de quoi par le Soriano. Alors Soriano lui sort les enregistrements du téléphone de Fusco. Il y a un appel que Fusco a passé d'Oyster Bay à deux heures du matin le jour de la disparition de Stills. Soriano lui demande la raison de sa présence à Oyster Bay à une heure si tardive. Fusco répond qu'il voulait y passer sa retraite. Soriano sort deux photos satellites d'Oyster Bay qui prouve que la zone a été modifiée après le passage de Fusco à quatre endroit. Il demande à Fusco où est enterré le corps de Stills. Voyant que Fusco refuse de répondre il lui dit qu'il a une équipe qui regroupe le matériel nécessaire pour fouiller les lieux et qu'au lever des jours ils commenceront à fouiller la zone et trouveront le cadavre de Stills. Soriano conclut en disant à Fusco qu'il sait qu'il est un flic ripou et qu'au lever du soleil il le prouvera. Carter est choquée de ce qu'elle a entendu.

Pendant que Soriano fait une pause Fusco va aux toilettes se rafraichir. Carter l'y rejoint. Fusco lui dit qu'il n'a pas tué Stills mais qu'il va tomber pour et qu'il accepte. Il lui révèle tout le fait qu'il a volé l'argent des dealers, tué des dealers et qu'il était un flic ripou. Cependant lorsqu'il les a rencontrés Harold, John et elle il a changé. Il lui dit qu'il n'est plus ce type. Fusco continu en lui disant qu'il ne lui demandera jamais de le couvrir. Fusco n'aura pas le temps de lui dire ce dont il a besoin qu'elle comprenne car elle l'arrêtera. Elle lui dit qu'elle ne veut plus rien entendre car elle ne sait pas qui il est. Elle le laisse. Durant toute la conversation Fusco est abattu.

 

Dans les rues de New York à 23h04

John conduit en direction de la maison de Cochran lorsqu'il s'aperçoit que Richard est en train de s'endormir définitivement. Il fait tout pour le maintenir réveillé. Boyd informe John que Richard s'est endormi ce qui pousse John à freiner d'urgence. Avec l'aide de Boyd il sort Richard de la voiture et l'installe par terre. Boyd commence à dire que Richard est mort et John le menace de le tuer si il ne se tait pas immédiatement. John déboutonne la chemise de Richard et lui injecte une dose d'adrénaline dans le cœur ce qui remet debout Richard. Boyd aide John à réinstaller Richard. Au moment où Boyd veut monter dans la voiture John l'en empêche. Boyd refuse que John le laisse debout sur la route. John lui donne raison et l'assomme et le laisse sur place.

 

Maison de Cochran à 23h46

Cochran est installé dans des deux fauteuils avec un verre de vin à la main quand Richard vient le rejoindre et s'installer à côté de lui. Richard se présente comme l'homme que Cochran vient de tuer.

 

Le commissariat à 23h47

Carter hésite puis se décide à appeler John qui est en train de se changer. Elle lui demande ce qu'il va faire Fusco. John lui dit rien puisqu'il est occupé. Elle lui dit qu'elle croyait que Fusco était son ami John lui rétorque qu'il croyait que Fusco était son partenaire. Elle lui répond pas après les aveux qu'il lui a faite, pour elle Fusco mérite d'être derrière les barreaux. John lui dit qu'il ne peut pas l'aider à faire son choix car il n'est pas une référence de moralité. Carter explique que sa décision n'est pas facile à prendre car d'un côté elle est flic et de l'autre il s'agit de Fusco. John lui répond ce qu'elle disait : qu'un flic ripou le restait à vie. John décide d'abréger la conversation car il a un travail à faire. Carter reste pensif en regardant le bureau de Fusco.

 

Maison de Cochran

Cochran se refait servir à boire par un serveur. Richard décrit les effets du polonium sur le corps humain : destruction du système immunitaire, suinte de la moelle osseuse empêchant le corps de parer aux bactéries mangeant ainsi le corps humain de l'intérieur, attaque l'ADN, détruit les organes internes en les faisant s'arrêter. Cochran se moque de Richard. Richard lui répond que c'est une méthode horrible pour tuer quelqu'un et il se compare à Cochran. Pour Richard il n'est qu'un simple docteur face à Cochran un milliardaire d'un fonds spéculatif international. Richard dit comprendre Cochran, pour lui il est un homme d'affaires qui ne se préoccupe pas de guérir les personnes mais seulement se faire de l'argent et même si pour cela il doit enfreindre les lois. Cochran ne le cache même pas et avoue qu'il n'hésite pas à tuer si besoin ce qui fait sourire Richard. Richard fait le bilan de sa vie et dit qu'il ne mérite pas de mourir. Il continue en disant que le SEC va faire chuter l'entreprise de Cochran. Cochran ne le pense pas car lorsque Richard sera mort l'enquête le sera aussi. Richard rit et dit à Cochran qu'il va lui aussi mourir tout lui précisant que son nez commence à saigner, il lui dit aussi que Cochran n'a plus que vingt quatre heures pour dépenser ses neuf milliards de dollars. Cochran regarde le serveur qui n'est autre que John qu'il a empoisonné au polonium.

 

Deuxième jours

Oyster Bay à 07h03

Les policiers fouilles la zone lorsque Soriano accompagné de Fusco arrivent sur les lieux. Soriano lui fait la leçon en lui disant que Fusco fait partie des personnes que tout le monde se fiche. Fusco avance vers sa destination.

 

Maison de Cochran à 07h06

Dans la cour de la maison Richard est au téléphone avec sa fille qui vient de se faire plaquer. Il lui dit adieu sans qu'elle sache qu'il est sur le point de mourir. John sert un verre de Whisky de 1962 l'édition préféré de Richard. Richard boit son verre et remercie John de lui avoir donné une seconde chance puis meurt. Laissant John triste. John installe correctement Richard dans sa chaise et informe Harold de la mort de Richard. Harold et John parlent de l'homme qu'était Richard et du fait qu'ils sont arrivés trop tard pour le sauver tout comme ils n'ont pas pu sauver Szymanski et Cal. John demande ce qui ne va pas avec la machine et Harold lui répond qu'il ne sait pas. John se demande quel autre homme bon meurt pendant que la machine a des problèmes.

 

Oyster Bay

Fusco se dirige où les policiers sont qui est le lieu où il a enterré Stills. Simmons qui est derrière Fusco se moque de lui. Ils sont tous surpris de ne pas découvrir de corps. Le policier, dont le chien à trouvé le lieu, dit à Soriano qu'un corps était là mais qu'il a dû être bougé. Fusco est surpris, Simmons regarde ahuri Fusco et Soriano est en colère. Soriano insulte Fusco en lui disant qu'il a tué Stills et qu'il est un flic ripou. Fusco lui répond qu'il se trompe et lui dit que maintenant il récupère son arme et son insigne puis s'en va.

 

La bibliothèque de Harold à 13h01

John arrive et demande des nouvelles de Fusco. Harold l'informe que Fusco est tiré d'affaire pour le moment et qu'Élias s'est occupé de faire changer d'avis Azarello qui s'est rétracté. John est content. Harold lui dit que la tempête qu'il avait parlé il y a plusieurs mois de cela est arrivé. Ils regardent l'ordinateur de Harold qui affiche trois cents quatre vingt dix-neuf heures, cinquante neuf minutes et cinquante huit secondes. L'écran affiche aussi que la machine est infectée à quatre vingt cinq pourcents. John remarque l'absence de Bear et Harold lui dit que c'est un sujet dont ils doivent parler.

 

Le commissariat

Fusco va s'installer à son bureau. Carter vient lui donner un dossier lui disant qu'elle a besoin de son aide sur ce dossier et qu'elle a eu une longue nuit. Elle part amenant Bear avec elle. Bear a les pattes pleines de terre et Carter et triste d'avoir enfreint ses principes en ayant déplacé le corps de Stills. Fusco regarde le dossier que Carter lui a donné. Il s'agit du dossier sur le meurtre de Cal, elle attend que Fusco l'aide à élucider le meurtre. Fusco comprend que c'est Carter qui l'a aidé.

La machine qui regarde Fusco commence à bugger en ayant les carrés qui identifie les personnes qui bougent dans tous les sens avant de disparaître complètement. La machine détecte que son système est atteint à quatre vingt six pourcents et décide de l'éteindre.

Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret : une Machine qui vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires. Le gouvernement juge ces crimes non pertinents, mais pas nous. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre, jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous vous trouverons.

 

La frise chronologique passe de 2013 à 2011.

 

SÉQUENCE – Poste 210B2 heures 28 minutes 19 secondes

EXTÉRIEUR – Dans un bois - Oyster BayNuit

Lionel traîne le corps du lieutenant Stills en le mettant dans un trou. Il se met à pleurer.

 

SÉQUENCES – Poste n° 210 B2 heures 29 minutes 45 secondes ; TrottoirCaméra n° 0320 heures 22 minutes 21 secondes

Reese : Apparemment, on a à faire à des flics véreux. Ils font main basse sur la drogue, sur le fric et supprime tous les témoins, Stills est de la brigade des stups.

Louis Azarello : Ouais, je sais très bien ce qui est arrivé au lieutenant Stills. Le lieutenant Fusco le sait aussi, je vous dirais tout ce que vous voudrez.

 

SÉQUENCES – 15ème étage- BalconCaméra12 heures 09 minutes 48 secondes ; Entrée n° 01Caméra n° 0212 heures 09 minutes 55 secondes ; AtriumCaméra n° 0412 heures 10 minutes 15 secondes

Une fenêtre de chiffres s’affiche furtivement.

Reese : (Via un micro.) Notre nouveau numéro reçoit un prix aujourd’hui, Finch.

Dr Julianna Di Matteo : Trois décennies consacrées…

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Dr Julianna Di Matteo  :…à l’enseignement et à la recherche médicale. Directeur d’un service de chirurgie cardiaque, chef de file dans le domaine de la transplantation cardiaque et pionnier dans celui de la chirurgie cardio-vasculaire à circulation extracorporel. (Sur un écran, se trouve des images du médecin.) Il a tenu entre ces mains les cœurs et les vies de plusieurs centaines de patients. Nous sommes fiers aujourd’hui de décerner au professeur Richard Nelson, le titre de professeur émérite. (La salle se met à applaudir et le professeur Nelson se lève. John, habillé en serveur, est au bar.)

Reese : J’ai l’impression que notre nouveau numéro a un cerveau aussi gros que le votre.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : Si seulement le mien s’accompagnait d’une dextérité de chirurgien. (Regardant les informations sur son ordinateur.) Médecin, chercheur, enseignant.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Finch : (Au téléphone.) Admiré par ses pairs.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : Il est assez loin d’avoir le profil d’un criminel.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Reese : Oui, du coup je me demande si le tueur pourrait être parmi ces gens.

Richard Nelson : Merci, merci. (John a un plateau avec trois verres de champagne et se met à appairer le téléphone de Nelson qui s’approche du pupitre.) Merci, docteur De Matteo pour ces gentils mots. (Une jeune femme se trouve au bar pendant que John fait le service.) Euh, vous avez oublié de dire que je suis un piètre golfeur. (L’assistance se met à rire. Il se met à boire un verre d’eau tandis que la jeune femme boit son verre de champagne.) Je crois que c’est Platon qui a dit : « La connaissance est la nourriture de l’âme ».

 

SÉQUENCE – Porte BCaméra n° 0112 heures 13 minutes 56 secondes

Alonzo Quinn : Dans ces moments douloureux…

 

EXTÉRIEUR – Dans un cimetièreJournée

Alonzo Quinn : …souvenons-nous des mots de Platon. « Celui qui commet l’injustice est plus malheureux que celui qui la subit ». (Des policiers dont Joss et Lionel y assistent.) Cette injustice n’enlèvera jamais rien à la valeur et aux actes d’un homme bien. Mon filleul, Calvin Beecher, brave jusqu’à la fin, (sa famille le pleure) qu’il repose en paix.

Policier : Présentez arme. Prêts ? Feu ! (Un coup de feu retentit.)

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Richard Nelson : (Pendant que l’assistance continue d’applaudir.) Merci. Merci beaucoup, merci d’être venus. Merci. (La jeune fille du bar s’en va.) Brandon.

Brandon Boyd : Félicitations. Mais alors pour la suite, professeur Nelson, il faut que je trouve un nouveau cardiologue.

Richard Nelson : Qu’est-ce que vous faites ici ?

Brandon Boyd : Voyons docteur, je suis venu saluer le professeur émérite, un titre bien mérité.

Richard Nelson : (Via un micro.) Merci, mais rassurez-vous, (normalement) je ne pars pas tout de suite. (Ils boivent leur verre.)

Reese : Un des patients de Nelson est ici.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : Brandon Boyd, trader pour VAC Capital, une société de fonds d’investissement qui gère les portefeuilles d’actions de clients…

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Finch : (Au téléphone.)…fortunés.

Richard Nelson : Il faudrait peut-être que je pense à un placement rentable pour ma retraite. (Brandon se met à rigoler ; via un micro.) Une partie de squash jeudi. Accordez-moi une revanche, j’ai besoin de vos lumières sur (normalement) les marchés émergents dans le secteur de la santé.

Richard Nelson : Jeudi au club, entendu.

Brandon Boyd : Super.

Richard Nelson : Merci.

Garrett Rosmore : Pas si vite, professeur.

Richard Nelson : Oh euh.

Garrett Rosmore : Tant qu’à s’abîmer le foie, autant le faire avec classe, pas vrai.

Richard Nelson : (Voyant une bouteille.) Soixante-deux. Docteur Rosmore, où avez-vous trouvé une potion magique aussi rare ?

Garrett Rosmore : Oh, j’ai un patient qui dirige une très importante distillerie. Il a aussi un tout nouveau cœur, grâce à vous. (Nelson se met à sourire. Ils choquent leur verre et trinquent.)

Richard Nelson : Écoutez Garrett, à propos de l’essai clinique de Philia, je suis vraiment désolé que le comité ait rendu cet avis.

Garrett Rosmore : Je vous rassure, ça n’avait rien à voir avec le comité ou avec vous, notre étude était tout simplement insuffisante.

Finch : (Au téléphone.) Docteur Garrett…

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : (S’approchant de la vitre.)…Rosmore, confrère estimé et chercheur lui aussi. Il travaille actuellement pour Philia Pharmacies.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Reese : Un gros laboratoire, un repère de chimiste. (Un homme met un verre de champagne sur le plateau.)

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : (Apposant la photo sur la vitre.) Rosmore a mis au point une nouvelle statine qui augmente le taux de HDN pour combattre le cholestérol. Le produit a franchi tous les tests cliniques jusqu’à la phase trois où il a fini malheureusement par échouer. (Regardant la photo de Nelson.) Le professeur Nelson faisait partie du comité indépendant qui a émis l’avis…

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Finch : (Au téléphone.)…négatif.

Reese : Et voilà un succès commercial potentiel qui part aux égouts.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : Ça représente sûrement quelques milliards de dollars de manque à gagner. Sans parler de ce qu’ont pu coûter les six ans de recherche de Rosmore.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Reese : Sacré coup dur. (John retourne dans la pièce avec le plateau dans les mains.)

 

SÉQUENCE – AtriumCaméra n° 0412 heures 21 minutes 20 secondes

EXTÉRIEUR – Près du cimetièreJournée

Fusco : (Rejoignant Simmons.) Je sais que tu n’es pas clair. Tu es impliqué dans le meurtre de Beecher. Tu ne vas pas t’en sortir comme ça.

Simmons : (Se tournant vers Lionel.) Dis-moi Fusco, comment ça se fait que tout le monde se fait tuer autour de toi. Ça commence à paraître louche.

Fusco : Tu vas payer pour ça, je vais te faire tomber.

Simmons : Tu as le vilain défaut d’être vraiment très ingrat. Tous les gars de ta bande ont disparu ou sont en prison. Tu es le seul à en être sorti. Tu crois réellement que c’est parce que tu es plus malin qu’eux ?

Fusco : De quoi tu parles ?

Simmons : De protection. Un avantage qu’à partir de maintenant tu n’as plus. J’entends des trucs tu sais, des rumeurs. Les affaires internes seraient sur le dos d’Azarello, ton ancien copain, au sujet d’une douzaine de meurtres. Ça devrait être intéressant. Le passé a la manie de resurgir un jour ou l’autre. Et quand j’en aurais fini avec toi, Lionel, tu regretteras d’être sous terre avec Beecher. (Il s’en va.)

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Dr Julianna Di Matteo : (Donnant un verre de champagne.) Félicitations professeur. Ça fait plaisir de voir quelqu’un être récompensé pour son travail. J’espère que ça m’arrivera un jour.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : (Regardant un article sur elle.) Julianna di Matteo, l’associée du professeur. Elle est arrivée là comme assistante de recherche de Nelson. (Il va pour apposer la photo sur la vitre.) C’est sa petite protégée.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Reese : Mais elle n’est toujours pas titularisée.

Richard Nelson : (Via un micro.) Est-ce que tu as vu ma fille ?

Dr Julianna Di Matteo : (Via un micro.) Je crois qu’elle m’a vue en premier, c’est sans doute pour ça qu’elle est partie.

Richard Nelson : Non.

Dr Julianna Di Matteo : (Voyant du sang sous le nez de Nelson.) Richard, est-ce que ça va ? Tu saignes du nez. (Elle essuie le nez.) Oh, attends, je vais chercher quelque chose. (Elle s’en va tandis qu’il essaie de ralentir le saignement en mettant sa tête en arrière. John lui donne quelque chose.)

Reese : Tenez monsieur.

Richard Nelson : Ah, merci. (Il reçoit une serviette pendant que John s’en va.)

Reese : Nelson a une fille ici, Finch.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : Oui, Molly Nelson, inscrite comme étudiante. (Sur l’ordinateur, se trouve la photo ainsi que la fiche de Molly.) Mais renvoyée pendant un semestre pour avoir agressé un agent de police pendant une manifestation sur le campus.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleJournée

Le professeur se sent de plus en plus mal car il saigne toujours et fait tomber son verre.

Reese : (Retournant vers Nelson.) Besoin d’aide, monsieur ?

Richard Nelson : J’ai un peu la tête qui tourne, il faut juste que je m’assois.

Reese : Tenez.

Richard Nelson : Merci.

Reese : Je vais vous chercher de l’eau.

Richard Nelson : Ouais, c’est gentil.

Reese : Le professeur n’a pas l’air en forme. Il a les mains moites, il saigne du nez. Pourvu qu’il ne soit pas trop tard.

 

SÉQUENCE – EntréeCaméra n° 0213 heures 13 minutes 50 secondes

Une fenêtre bleue avec des chiffres s’affiche furtivement.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Lionel entre dans les locaux de la police.

Joseph Soriano : Excusez-moi, lieutenant Fusco. Le lieutenant Soriano des affaires internes. Il faut qu’on discute.

Fusco : Non, je ne crois pas. (Il est arrêté par un autre agent.)

Joseph Soriano : Moi, je crois bien que si. C’est au sujet de la disparition du lieutenant Stills. Vous allez devoir me remettre votre insigne et votre arme de service. (Lionel, après une hésitation, les lui remet. Il l’emmène dans une salle d’interrogatoire sous les yeux de Joss.)

 

SÉQUENCE – EntréeCaméra n° 0113 heures 32 minutes 26 secondes

Une fenêtre bleue s’affiche furtivement.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Soriano sort de la salle d’interrogatoire alors que Joss va rejoindre Lionel.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoire - Journée

Carter : Qu’est-ce qu’il se passe, Fusco ?

Fusco : Ça ne te regarde pas, Carter.

Carter : Ah non. Tu es mon coéquipier alors ça me regarde. C’est en rapport avec le meurtre de Cal ?

Fusco : Non.

Carter : Dis-moi ce qu’il se passe. Pourquoi les affaires internes te mettent la pression tout à coup ?

Fusco : J’ai essayé de te le dire un jour, c’était ici même, j’ai voulu te parler de mes erreurs mais tu n’as pas voulu m’écouter.

Carter : Je t’écoute maintenant.

Fusco : Je suppose qu’il faut que je paye les pots cassés. Il arrive de sales trucs aux personnes de mon entourage alors reste à l’écart. (Le téléphone de Joss se met à sonner.)

Carter : (Elle sait qui l’appelle alors elle s’en va.) On reparlera de tout ça.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Carter : Besoin de quoi, Finch ?

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : Toutes mes condoléances, lieutenant.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Carter : Ouais, merci. Seulement, je ne comprends pas avec toutes les informations que vous avez, pourquoi vous n’êtes pas intervenus à temps.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : C’est une question qui me préoccupe aussi, j’aimerais bien avoir une réponse à vous donner.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Finch : (Au téléphone.) Et, je sais que le moment est mal choisi…

Carter : John et vous avez besoin d’un coup de main.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Carter : (Au téléphone.) Vous plaisantez ?

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Carter : Cal vient d’être tué et…

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Carter : (Au téléphone.)…Fusco est dans le collimateur des affaires internes.

Finch : Je comprends que vous ayez les nerfs à vif mais il y a un homme en grand danger. Il vous suffit d’entrer les noms de certaines…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Finch : (Au téléphone.)…personnes pour...

Carter : Non, non, cette fois c’est vous qui allez faire quelque chose pour moi.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : D’accord, lieutenant, qu’est-ce que je peux faire pour vous ?

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Carter : Cette manie que vous avez de cloner les téléphones, c’est mon tour.

 

SÉQUENCES – Haut du toitCaméra S14 heures 01 minute 45 secondes ; PlazaCaméra n° 10 - 14 heures 03 minutes 57 secondes

Une fenêtre de chiffres s’affiche furtivement.

 

INTÉRIEUR – Dans une pièceJournée

John surveille le docteur Nelson depuis une pièce avec une jumelle.

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Molly Nelson : (Au téléphone.) Allô ?

Richard Nelson : Merci d’être venue. C’était bien plus sympa que ce que tu as fait la semaine dernière avec ton pot de peinture rouge.

 

INTÉRIEUR – Dans une pièceJournée

Molly Nelson : Désolée, Pa, mais il fallait bien que les gens sachent que la faculté de médecine utilise des animaux pour la recherche.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Finch : On dirait que Nelson a quelques différends avec sa fille.

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Richard Nelson : Et je te rappelle que c’est elle qui me donne les moyens de te nourrir, de t’habiller et de te loger depuis plus de vingt-deux ans.

 

INTÉRIEUR – Dans une pièceJournée

Richard Nelson : (Via un micro.) Sans parler de tes frais d’études.

Molly Nelson : Désolée de t’avoir déçu, Pa.

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Richard Nelson : Bien, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire, Molly. (Du sang coule de son nez.)

 

INTÉRIEUR – Dans une pièceJournée

Richard Nelson : (Via un micro.) Il faut que je te laisse. On en reparlera plus tard.

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Il raccroche et s’essuie le nez, commençant à avoir des douleurs. Il se met à cracher.

 

INTÉRIEUR – Dans une pièceJournée

Reese : (Regardant avec sa jumelle.) Nelson vient de vomir du sang.

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Il prend son pouls et se regarde à travers un plateau alors que ses yeux sont jaunis, il se met à perdre ses cheveux.

 

INTÉRIEUR – Dans une pièceJournée

Reese : Il ne se sent pas bien du tout, j’y vais.

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Opératrice : (Au télépone.) Service d’urgence, quel est votre problème ?

Richard Nelson : Bonjour, je suis le professeur Richard Nelson, je, je crois que j’ai ingéré quelque chose de toxique.

Opératrice : (Au téléphone.) Vous êtes médecin, monsieur ?

Richard Nelson : Oui. je crois que quelqu’un a voulu me tuer. (Il s’en va.)

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée

Nelson sort et bouscule deux personnes. Il semble chercher quelque chose et a failli se faire percuter par un bus.

SÉQUENCE – MTA Bus n° 481ACaméra C14 heures 07 minutes 52 secondes

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée

Reese : Vous avez besoin d’aide on dirait ?

Richard Nelson : (Voyant John.) Vous, vous étiez à la réception. (Il commence à le frapper quand une voiture de police arrive.) N’approchez pas, qui êtes vous ?

Reese : Calmez-vous.

Policier : (Arrivant près de John et Richard.) Hey, vous là, police. (John préfère s’en aller.) Qui appelé les urgences ?

Richard Nelson : Moi. J’ai appelé, je veux signaler un meurtre.

Policier : Mais de qui vous parlez, monsieur ? Qui est mort ?

Richard Nelson : Moi, quelqu’un m’a empoisonné.

Reese : (Activant son oreillette.) Finch, la situation tourne vraiment mal. Et si j’en crois les symptômes, il est déjà trop tard.

 

SÉQUENCES – IntersectionTrafic n° 38714 heures 13 minutes 45 secondes ; EntréeCaméra n° 0814 heures 16 minutes 45 secondes ; Salle d’interrogatoire BCaméra n° 0114 heures 17 minutes 23 secondes

Une fenêtre avec des chiffres s’affiche furtivement.

Joseph Soriano : (Via un micro.) On a reçu de nouvelles informations sur une vieille affaire.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireJournée

Joseph Soriano : (En montant la photo de Stills.) Vous avez travaillé avec Jimmy Stills au 51ème ?

Fusco : Ouais comme pas mal d’autres flics.

Joseph Soriano : Mais vous étiez proche tous les deux ?

Fusco : Je ne dirais pas vraiment ça.

Joseph Soriano : Alors, qu’est-ce que vous diriez ?

Fusco : On a patrouillé ensemble un moment. Il est entré aux stups, moi à la criminelle, c’est tout ce qui a à dire.

 

SÉQUENCE – Salle d’interrogatoire BCaméra n° 0114 heures 17 minutes 46 secondes

 

La frise chronologique passe de 2013 à 2004.

 

SÉQUENCE – BarCaméra n° 0203 heures 50 minutes 11 secondes

INTÉRIEUR – Dans un barNuit

Barman : (Activant la clochette.) Allez, c’est l’heure.

Fusco : (Soûl.) Hey O’Neill, Ory, O machin chose, sers nous encore un verre. (Il boit son verre.)

Barman : Non, c’est fini. Allez, il est temps de rentrer chez toi.

Fusco : Qu’est-ce que tu racontes ? On n’est pas à cinq minutes.

James Stills : (Arrivant vers Lionel.) T’énerves pas, mon pote. Je te raccompagne chez toi, tu as assez bu.

Fusco : Je suis à la rue. On vient de rompre.

James Stills : Ben, c’est normal, mets-toi à sa place. Être femme de flic, elle reviendra.

Fusco : Pas cette fois. Son avocat m’a adressé des papiers.

James Stills : Sérieusement ? Oh, je suis désolé pour toi.

Fusco : Ouais, bien sûr elle… Elle veut avoir la garde du petit.

James Stills : Bon, allez Lionel. Viens dormir chez moi cette nuit, OK ? Les gosses seront ravis de te sauter dessus demain matin pour te réveiller. Vera nous fera ses fameux pancakes bananes-chocolat. Avec un petit truc contre le mal de tête. D’accord, amigo ?

Fusco : (Le regardant.) Ça ne te dérange pas ?

James Stills : Les amis, ça sert à ça. (Lionel se lève et il le retient.)

 

La frise chronologique passe de 2004 à 2013.

 

SÉQUENCE – Côté estCaméra n° 0314 heures 19 minutes 21 secondes

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Harold est revenu dans la pièce où se trouve Nelson. Il utilise un appareil pour repérer des traces de radioactivité.

Finch : Je reviens sur les pas du professeur, je détecte déjà un faible taux d’émissions de rayons…

 

INTÉRIEUR – Dans un hôpitalJournée

Finch : (Au téléphone.)…alpha. Ce n’est pas bon signe.

Reese : Donc, des particules radioactives. C’est du polonium.

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Finch : Du polonium ? On en utilise parfois pour des expériences scientifiques et est-ce qu’il aurait pu y être exposé dans son labo ?

 

INTÉRIEUR – Dans un hôpitalJournée

Reese : Ce produit n’est un poison mortel que…

 

INTÉRIEUR – Dans un laboratoireJournée

Reese : (Au téléphone.)…s’il est ingéré et si la personne contaminée n’est pas soignée dès la première heure.

Finch : Eh bientôt, le labo est contaminé mais l’origine de la radioactivité ne semble pas être…

 

INTÉRIEUR – Dans un hôpitalJournée

Finch : (Au téléphone.)…ici. Et lui comment va-t-il ?

Reese : (Arrivant à la chambre de Nelson.) Je ne vais pas tarder à le savoir.

Richard Nelson : Vous, vous êtes ce serveur. Tout ça, c’est à cause de vous. (Il veut appeler l’infirmière pour le faire partir mais John s’y oppose.)

Reese : Je ne suis pas serveur, je suis là pour vous aider.

Richard Nelson : Vous étiez à la réception, vous avez mis quelque chose dans mon verre.

Reese : Non, mais quelqu’un l’a fait. J’étais censé vous sauver. M ais il était trop tard. Vous avez ingéré du polonium. Vous êtes mourant.

Richard Nelson : Voyons, c’est insensé, qu’est… qui êtes-vous ?

Reese : Saignement de nez, jaunisse, chute de cheveux, c’est dû à un empoisonnement au radioactif.

Richard Nelson : Je connais très bien les effets de la radioactivité. Mais vous, comment savez-vous ça ?

Reese : Vous avez été empoisonné il y a quelques heures, ce qui veut dire qu’il ne vous reste que vingt-quatre heures à vivre. Désolé professeur.

Richard Nelson : (Recevant une serviette.) J’ai… Je ne comprends pas. Qui… Qui veut me tuer ? (Il s’essuie le nez.)

Reese : Vous devez le savoir mieux que moi. Écoutez, soit vous restez ici à attendre la mort, soit vous vous levez et vous m’aidez à retrouver votre meurtrier. (Il met le sac de Nelson sur le lit.) L’heure tourne, professeur.

 

SÉQUENCES – PlazaCaméra n° 1414 heures 40 minutes 56 secondes ; PlazaCaméra n° 0215 heures 02 minutes 42 secondes

Richard Nelson : (Via un micro.) Qui a fait ça ? Il faut que je le sache.

Reese : (Via un micro.) Avant toute chose, vous devriez mettre vos affaires en ordre.

Richard Nelson : (Via un micro.) Vous avez raison, il faut que je voie ma fille.

 

EXTÉRIEUR – Près de l’universitéJournée

Molly Nelson : Merci de votre intérêt. Merci les gars.

Richard Nelson : Molly. Molly, je peux te parler une seconde ?

Étudiant : Hey, elle ne tient pas à vous voir, OK ?

Molly Nelson : Je peux gérer ça toute seule. (Se mettant à l’écart.) Waouh, tu as vraiment fait tout ce chemin pour me faire la morale. Tu n’es pas dans ton jet pour te rendre à un séminaire ou…

Richard Nelson : Non, non, je ne suis pas venu pour te faire la morale. Je voulais savoir comment tu allais.

Molly Nelson : Vraiment ?

Richard Nelson : Oui, ta mère m’a dit que tu faisais une sorte de documentaire. Tu as besoin d’aide ? Tu veux peut-être de l’argent ?

Molly Nelson : (Voyant le regard de son père.) T’es… tu sens bien là, je te trouve pâle.

Richard Nelson : Oui, oui, ça va, ça va, je… je, je voulais juste te dire, voilà, je suis désolé de ne pas m’être davantage impliqué.

Molly Nelson : (En souriant.) Impliqué dans quoi ? Dans mes projets, de ma vie ?

Richard Nelson : C’était peut-être pas une bonne idée, j’en sais rien, tout ce que je souhaite…

Molly Nelson : Pourquoi tu es ici, dis-le-moi ?

Richard Nelson : Écoute, je n’ai pas toujours été très disponible. Le travail est passé avant le reste, c’est sûrement pour ça que ta mère m’a quitté.

Molly Nelson : Tu l’as trompée c’est pour ça qu’elle t’a quitté.

Richard Nelson : Ouais, encore une erreur. En tout cas, ce que je ne regrette pas, c’est… c’est d’avoir eu une fille. D’ailleurs tout à l’heure, au milieu de tout ces gens qui me félicitaient pour ma carrière, et tout ça, je me suis dit qu’en réalité ce dont je suis le plus fier c’est toi. Je suis fier de toi. Voilà ce que je suis venu te dire.

Molly Nelson : Je t’appelle demain, d’accord ?

Richard Nelson : Ouais, ouais. D’accord, j’en serais ravi. (Elle s’en va et John arrive près de lui avec son sac.)

 

SÉQUENCES – PlazaCaméra n° 0215 heures 04 minutes 34 secondes ; Nord-EstAngle de la 53ème et de la 2èmeCaméra n° 0215 heures 12 minutes 26 secondesBoxCaméra n° 1315 heures 17 minutes 27 secondes

Une fenêtre avec des chiffres s’affiche furtivement.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireJournée

Joseph Soriano : Au début, je n’y comprenais rien, Stills et Azarello, (il ouvre le portable pour voir l’enregistrement d’Azarello) deux gars des narcotiques qui supprimaient des dealers et…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée

Joseph Soriano : (Alors qu’elle clone le portable de Soriano et écoute la conversation.)…empochaient leur stock, mais pas le moindre faux pas. Et tout à coup, j’ai compris, ils…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireJournée

Joseph Soriano :…avaient un complice bien placé pour les couvrir si nécessaire.

Fusco : Je ne vous suis pas.

Joseph Soriano : Ils avaient besoin de quelqu’un à la criminelle. Votre vieux pote, Azarello du 51ème, il nous a parlé. (Via l’ordinateur.) Alors dites-moi, comment fonctionnait votre équipe.

Louis Azarello : (Via l’ordinateur.) Comme une horloge. D’abord Stills, c’est lui qui avait les tuyaux.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée

Louis Azarello : (Via l’ordinateur, pendant que Joss regarde le dossier de Stills.) Ensuite, on faisait un repérage pour voir si ça valait le coup. Et si c’était bon, on débarquait, on sortait l’attirail… (Joss regarde la fiche d’Azarello.)

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireJournée

Louis Azarello :…et on empochait le fric et la camelote. Et quand ça tournait mal, c’est là que Fusco intervenait. (Soriano arrête l’enregistrement.)

Fusco : Azarello vous a dit n’importe quoi.

Joseph Soriano : La vérité se cache toujours dans les détails, Fusco. (Il remet en route l’enregistrement. Via l’ordinateur.) Parlez-moi de la première fois.

Louis Azarello : (Via l’ordinateur.) Ah, je ne suis pas prêt de l’oublier. Un taudis dans le Queens, infesté de rats.

 

SÉQUENCE – 4FCaméra1 heure 14 minutes 30 secondes

17 janvier 2004

INTÉRIEUR – Dans un appartementNuit

L’équipe de Stills se trouve dans un appartement appartenant à un dealer. Lionel entre dans la pièce.

Fusco : Pourquoi vous m’avez fait venir ? Il y a des renforts pour ça.

James Stills : Tu sais bien qu’on ne peut pas les appeler si on ne veut pas que ça dérape. On a besoin d’un coup de pouce de la criminelle. (Dans la pièce se trouve un mort au sol.)

Fusco : Oh, non d’un chien.

Louis Azarello : Dès que j’ai commencé à empocher, cet abruti a voulu se faire la malle. Il ne m’a pas laissé le choix. Ils vont me broyer les couilles.

James Stills : Pas de panique, on va tout arranger t’en fait pas. On a trouvé cette arme dans la table de nuit. Il faut qu’on élabore un scénario avant que les affaires internes se pointent.

Fusco : Quoi, tu me demandes de couvrir ça ?

Louis Azarello : Sinon, je suis baisé.

James Stills : Hey, attends un peu, c’est quoi le problème ? Je croyais qu’on était potes.

Fusco : Ouais, mais ce que tu me demandes là, c’est beaucoup.

James Stills : Dis donc, quand tu étais dans la merde, qui est venu t’aider, qui a veillé sur toi ? Regarde ce fumier, je parie qu’il vend ces saloperies à des gosses de primaire. Alors quoi ?

Fusco : Je ne sais pas trop.

James Stills : Pour un ami.

Lionel, après une hésitation, prend une serviette et attrape l’arme avec.

Fusco : Mets-toi là, mets deux dans le mur à hauteur de poitrine. Avec ça, tu pourras invoquer la légitime défense. Et efface les empreintes.

James Stills : (Le tapant sur l’épaule.) Ça marche. (Lionel s’en va.) Merci Lionel.

 

SÉQUENCE – Hall n° 05Caméra n° 011 heures 16 minutes 35 secondes

Azarello tire deux fois dans le mur.

 

2013

INTÉRIEUR – Dans la prison de RikersDans le parloir - Soirée

Joss va voir Azarello en prison avec un dossier à la main.

Louis Azarello : Tiens, tiens, regardez un peu qui voilà. Mon lieutenant de police préféré. Vous avez l’air en forme.

Carter : Épargnez-moi les compliments. Vous êtes en prison depuis plus d’un an maintenant. Alors, pourquoi est-ce que tout d’un coup, vous parlez de Fusco aux affaires internes ?

Louis Azarello : On a peut-être un code d’honneur, lieutenant, et peut-être que Fusco l’a oublié. Peut-être aussi que la vraie question, c’est pourquoi vous vous intéressez seulement maintenant au passé de votre coéquipier. C’est assez étonnant. Si ça se trouve, il a des photos compromettantes de vous ou autre chose.

Carter : (Montrant quatre photos de Beecher, Stills, Szymanski et Davidson.) Deux agents de police morts, deux qui manquent à l’appel. Ça veut dire quoi ? Que la DRH renaît de ses cendres ?

Louis Azarello : Les secrets sont durs à enterrer. Ouais et parfois, (il prend la photo de Stills et met sa main dessus) des cadavres refont surface.

Carter : Vous savez quoi ? (En souriant.) Vous coopérez, j’en discute avec le juge et peut-être qu’il écourtera votre peine pour bonne conduite.

Louis Azarello : Vous avez un joli sourire, vous savez, mais il est trop tard pour me proposer de conclure un marché. (Il appelle un garde.) Excusez-moi, lieutenant, mais j’ai rendez-vous avec moi. (Il se lève et s’en va.)

 

SÉQUENCES – RivièreCaméra F20 heures 02 minutes 20 secondes ; PlazaCaméra n° 1120 heures 08 minutes 50 secondes ; AtriumCaméra n° 0220 heures 10 minutes 36 secondes

Une fenêtre avec des chiffres s’affiche furtitvement.

Finch : (Via un micro.) Comment ça s’est  passé à Rykers, lieutenant ?

Carter : (Via un micro.) Pas très bien, j’ai trouvé quelque chose sur l’un de vos individus.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Carter : Le gestionnaire d’actifs Brandon Boyd, il est trader pour une société de fonds d’investissement.

Finch : (Au téléphone ; pendant que Joss regarde l’article sur lui.) VAC Capital.

Carter : Ils font l’objet d’une enquête de la SEC, la commission de contrôle. Délit d’initiés, une grosse vente d’actions d’un groupe pharmaceutique a éveillé les soupçons.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleSoirée

Finch : Laissez-moi deviner, Philia pharmacies c’est ça ?

Carter : (Au téléphone.) D’après mon contact…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Carter :…à la SEC, ils ont eu un tuyau sur l’échec d’un essai clinique. (Sur l’ordinateur est montré Vincent Cochran, le dirigeant de VAC Capital.) Ça vous aide ?

 

INTÉRIEUR – Dans une salleSoirée

Finch : Ouais, ça confirme ce que je craignais.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Le professeur Nelson n’arrête pas de vomir.

Reese : VAC Capital, ça vous dit quelque chose ?

Richard Nelson : Oui, bien sûr, ils gèrent mes finances.

Reese : Et bien, ils font l’objet d’une enquête pour délits d’initiés.

Richard Nelson : Délit d’initiés sur quoi ?

Reese : Est-ce que vous avez dit à Brandon Boyd qu’un essai clinique de médicaments allait échouer ?

Richard Nelson : Quoi ? J’en sais rien, peut-être au club.

Reese : Alors, il s’est servi de cette information pour vendre toutes ces actions Philia. Il a empoché cinq cents millions.

Richard Nelson : Non, sans blague, un demi-milliard de dollars ?

Reese : Grâce à une simple indiscrétion dont vous êtes l’auteur.

Richard Nelson : Vous dites qu’il y a une enquête ?

Reese : (Rejoignant Nelson qui s’est assis.) Ils ne savent pas encore d’où vient la fuite. Je suppose que VAC Capital tient à conserver le secret.

Richard Nelson : En se débarrassant de moi ?

Reese : Vous êtes leur point faible, alors ils vous tuent.

Richard Nelson : Je suis médecin, c’est normal qu’on me demande des conseils à longueur de temps sur tel ou tel produit, tel ou tel régime. C’est juste une excuse, je n’aurais pas dû faire ça. Je suis un homme mort. Tout ça parce que je n’ai pas su me taire.

Reese : Vous avez fait une erreur. Ça ne veut pas dire que vous deviez mourir.

Richard Nelson : Vous avez raison. Je vais aller voir Boyd.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleSoirée

Harold continue de scanner la pièce à la recherche de l’origine de l’empoisonnement. Il découvre que l’intensité augmente lorsqu’il s’approche d’une carafe d’eau.

Finch : Monsieur Reese, je crois que j’ai localisé l’origine de l’empoisonnement. (Il prend la carafe d’eau avec une serviette.) Ça vient de la carafe d’eau qui était sur l’estrade à la cérémonie.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Reese : Il n’y a que deux personnes qui ont fait le service.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleSoirée

Reese : (Au téléphone.) Moi et une jeune femme. Je crois savoir qui l’a embauchée.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Reese : Il est temps de traquer le trader.

 

INTÉRIEUR – Dans une salleSoirée

Harold met de l’eau dans une coupelle pour faire analyser.

 

SÉQUENCES – IntersectionTrafic n° 12220 heures 45 minutes 09 secondes ; Entrée principale n° 0121 heures 02 minutes 45 secondes

Une fenêtre avec des chiffres s’affiche furtivement.

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Brandon Boyd : (À un collègue.) Bon, alors, appelle-moi à propos de ces parts en attente. Et aussi pour me donner le numéro de ta copine brésilienne, OK ? Salut chef.

Reese : (Sortant de la voiture de Brandon.) Votre voiture, monsieur.

Brandon Boyd : Un conseil en or comme pourboire, si tu peux être riche, change de métier. (John prend sa tête et la frappe sur la porte de la voiture et le met dedans.)

Reese : (Pendant que Nelson le rattrape et le met derrière.) J’en ai un meilleur pour toi, ne monte pas en voiture avec n’importe qui. (John s’en va avec.)

 

SÉQUENCE – QuartierWatch n° 0221 heures 10 minutes 15 secondes

Une fenêtre avec des chiffres s’affiche furtivement.

 

INTÉRIEUR – Dans la voiture de Brandon BoydSoirée

Richard Nelson : Hey, hey. (Il réveille Boyd qui a la main attachée avec des menottes.)

Brandon Boyd : Professeur Nelson, qu’est-ce que ça veut dire ?

Richard Nelson : (Pendant que John a une arme.) Je n’ai pas beaucoup de temps, d’ailleurs vous non plus si vous me répondez de travers. (Il prend l’arme que John a.) Vous m’avez rencontré au club, vous m’avez pris comme client et vous avez fait semblant d’être mon ami, quand je vous ai parlé de l’essai clinique, vous avez aussitôt vendu toutes vos actions.

Brandon Boyd : Hey, une seconde, j’exerce le métier de trader, c’est ce que je fais, j’achète et je vends.

Richard Nelson : Ouais, seulement vous avez provoqué une enquête. Du coup, avant qu’on m’interroge, vous m’avez empoisonné.

Brandon Boyd : Qu’est-ce que vous racontez ? Hey là, attendez, je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez. Je vous conseille d’arrêter la voiture… (Nelson tire sur le siège près des cuisses de Boyd qui panique.) Du calme, OK ? Vous ne vous rendez pas compte, je subis la pression de mon patron vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il faut trouver un plombier sinon on est viré.

Richard Nelson : Un plombier, qu’est-ce que c’est ?

Brandon Boyd : Quelqu’un susceptible de fournir des tuyaux fiables et avant les autres. On était tous aux aguets sur ce médicament. Il fallait que j’en sache plus sur les essais. Soit je trouvais un tuyau et on faisait de gros bénéfices, soit Dark Vador allait me trancher les couilles.

Richard Nelson : C’est pour ça que vous m’avez recruté.

Brandon Boyd : Il fallait que j’ai un tuyau et vous, vous cherchiez quelqu’un qui sache placer votre argent. Mais je vous jure que je n’ai rien à voir avec ça.

Richard Nelson : Pourtant, vous étiez à la cérémonie.

Brandon Boyd : Ouais le patron m’a dit de ne rien changer à mon emploi du temps.

Reese : Votre patron, c’est bien Vincent Cochran ?

Brandon Boyd : Je vous en ai déjà trop dit. (Nelson tire encore et il s’énerve.) C’est lui ! Vincent Cochran.

Richard Nelson : Et vous lui avez parlé de moi ?

Brandon Boyd : Oui, il y a bien fallu. Il y avait cette enquête et il a demandé si on était vulnérable et il a dit qu’il s’en charger.

Reese : Où est-ce qu’on peut le trouver ?

Brandon Boyd : Vous n’avez pas l’air de comprendre, c’est quelqu’un qui ne vaut mieux pas croiser.

Richard Nelson : Est-ce que je vous ai dit que mes yeux commençaient à me jouer des tours. (Il pose l’arme près de l’entrejambe de Boyd.)

Brandon Boyd : D’accord, j’ai l’adresse. Il est au Windcrest, au nord de la ville.

 

SÉQUENCES – Angle de la 71ème et BroadwaySud-OuestCaméra n° 0121 heures 16 minutes 45 secondes ; Vue du cielCaméra n° 0421 heures 21 minutes 47 secondes ; EntréeCaméra n° 0121 heures 22 minutes 05 secondes

Une fenêtre avec des chiffres s’affiche furtivement.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Fusco : (Via un micro.) Il faut que je parle à Carter pour aller lui demander d’aller chercher mon fils.

Joseph Soriano : (Via un micro.) Dès que vous aurez répondu à quelques questions. Vous savez Fusco…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireSoirée

Joseph Soriano :…il n’a pas si longtemps, j’ai été à la criminelle moi aussi.

Fusco : Sans blague ?

Joseph Soriano : Sans blague. Mais vous savez quelle différence il y a entre vous et moi ?

Fusco : Je vous écoute.

Joseph Soriano : Je n’ai jamais tué personne.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Joseph Soriano : (Via un micro.) Vous voyez…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireSoirée

Joseph Soriano :…je sais que vous n’avez pas simplement couvert ces types, vous étiez l’un deux. Une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus s’en passer.

 

25 mars 2005

SÉQUENCE – TrottoirCaméra n° 0300 heure 19 minutes 30 secondes

INTÉRIEUR – Dans un appartementNuit

Stills ouvre la porte et fait entrer Lionel.

James Stills : Fusco, amène-toi.

Fusco : (Voyant la tuerie.) Seigneur, quel carnage.

Louis Azarello : Fusco, qu’est-ce qu’il y a ? Ne me dit pas que la vue du sang te rend malade ?

James Stills : Hey, ne taquin pas.

Louis Azarello : Cool.

James Stills : Attrape un sac, on a fait une belle prise.

Fusco : Non merci, c’est à vous les gars. Je ne veux pas y toucher.

James Stills : Ah, là c’est un peu tard.

Fusco : (Voyant un homme arriver.) Attention ! (Il lui tire deux balles dans le corps.)

James Stills : Oh, t’as vu ça ? Je savais que tu étais solide. (Il prend une liasse de billets et le met dans la poche de veste de Lionel.) Bienvenue dans l’équipe, Lionel. (Il lui frappe son dos.) Bon allez, on s’en va. (Lionel continue de regarder l’homme qu’il a tué.) Allez, on se tire.

 

SÉQUENCE – TrottoirCaméra n°0300 heure 20 minute 53 secondes ; EntréeCaméra n° 0122 heures 8 minutes 32 secondes ; Salle d’interrogatoire BCaméra n° 0122 heures 8 minutes 54 secondes

La frise chronologique repasse de 2005 à 2013

Une fenêtre bleue avec des chiffres s’affiche furtivement.

Joseph Soriano : (Via un micro.) Azarello a fini par vous balancer.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireSoirée

Joseph Soriano : On croyait que Stills était parti vers le Belize, mais plus maintenant. Vous vous êtes débarrassé de lui, parce qu’il le fallait.

Fusco : Ce sont des mensonges de flics véreux, aucun tribunal ne les recevra.

Joseph Soriano : Ouais, vous savez ce qu’ils recevront volontiers ? (Posant un sachet sur la table.) Une preuve. Quand des flics véreux veulent faire disparaître des traces d’ADN compromettantes, ils se servent d’eau de Javel. L’inconvénient, c’est que ça fait des taches. Comme celles sur les tapis dans le coffre de la voiture que d’après le registre, vous aviez emprunté le jour de la disparition de Stills.

Fusco : Je ne vois pas de quoi vous parlez.

Joseph Soriano : Votre facture de téléphone détaillée. (Il met une feuille sur la table.) Vous avez passé un appel depuis Oyster Bay à votre domicile la nuit même où Stills a disparu. Vous aviez une raison d’être à Oyster Bay un jeudi à deux heures du matin ?

Fusco : J’aimerais y passer ma retraite. Je voulais voir des terrains.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Joseph Soriano : (Via un micro ; pendant que Joss écoute attentivement et avec intérêt.) Vous avez pris des échantillons de sol ?

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireSoirée

Joseph Soriano : (Mettant une photo sur la table.) On n’est jamais trop prudent de nos jours. Ah, les satellites, ils nous changent la vie. On choisit l’heure et l’endroit et hop, on a la photo. On peut voir jusqu’au poil de cul d’une grenouille ou alors, comme c’est le cas ici, des traces de terre remuée à Oyster Bay. C’est lequel de ces quatre endroits, lieutenant ? J’ai deux douzaines d’hommes prêts à se mettre en route équipés de pelles et de pioche, d’un engin excavateur et deux chiens de recherche. Demain, dès la première heure, on organise une grande chasse au trésor.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Joseph Soriano : (Via un micro.) Alors, soyez raisonnable, dites-moi où vous avez enterré Stills.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une salle d’interrogatoireSoirée

Joseph Soriano : (Il se rassoit.) Je sais que vous l’avez tué, comme vous avez tué tous ces malfrats. Vous êtes pourri jusqu’à la moelle et demain, je vais étaler vos crimes au grand jour.

 

SÉQUENCE – Salle d’interrogatoire BCaméra n° 0122 heures 10 minutes 43 secondes

Une fenêtre bleue avec des chiffres s’affiche furtivement.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSoirée

Lionel descend des escaliers sous bonne escorte policière avec Soriano. Il se rend dans les toilettes et se lave les mains. Joss arrive vers lui.

Carter : Tu voulais me voir ?

Fusco : (S’essuyant les mains et le visage.) Écoute, les questions que tu m’as posées auxquelles je n’ai pas répondu, (il jette les papiers dans la poubelle) je n’ai pas tué Stills. Quoiqu’il en soit, je vais tomber pour ça. Mais je le mérite parce que… (Hésitant.)

Carter : Parce que ?

Fusco : Parce que j’ai fait d’autres mauvaises choses. Tu sais, au 51ème

Carter : Ouh là, attends, (elle se met à rigoler) c’était quoi les autres mauvaises choses ?

Fusco : Eh bien, au début, je croyais que j’aidais à nettoyer les rues, tu sais, je me disais que l’argent des dealers ne manquera à personne. J’ai pensé la même chose des dealers. C’est vrai qu’on était amis Stills et moi. Il veillait sur moi comme un frère et il était toujours là. Et puis un jour, on se retrouve dans une situation, une mauvaise situation où on ne devrait pas être. J’ai tué des gens, Carter. (Elle est sous le choc.) J’ai été un sale type. Mais, tout ça, c’est fini depuis que je vous ais rencontré toi et les autres. Je ne suis plus un flic véreux. Tu m’as toujours dit que si mon passé ressurgissait, tu ne me couvrirais pas, je te demande pas de le faire. Je veux juste que tu me comprennes.

Carter : Arrête, tais-toi. Je ne veux pas en savoir davantage. Je ne sais pas qui tu es, et si je devrais avoir confiance en toi, Lionel. (Elle fait non de la tête et préfère s’en aller. Il se regarde dans le miroir.)

 

SÉQUENCES – Pier n° 48Caméra n° 0222 heures 41 minutes 39 secondes ; Surveillance du trafic S223 heures 04 minutes 22 secondes

Deux fenêtres bleues s’affichent furtivement. Ils sont sur la route de la région de Poughkeepsie.

INTÉRIEUR – Dans la voiture de Brandon BoydSoirée

Reese : (Voyant le docteur Nelson de plus en plus mal.) Professeur, restez avec moi.

Richard Nelson : Je voulais regarder le salaud qui m’a tué et le regarder dans les yeux.

Reese : Ne baissez pas les bras.

Richard Nelson : Ça ne fait rien, il est temps d’affronter les conséquences.

Reese : On fait tous des erreurs.

Richard Nelson : Oui, mais… (Il se trouve inconscient.)

Brandon Boyd : Merde, je crois qu’il vient de mourir. (John regarde dans son rétroviseur et s’arrête en plein milieu de la route. Il en sort pour prendre le docteur Nelson et le mettre sur le sol avec l’aide de Brandon.) Bon sang, il est mort ?

Reese : La ferme ou t’y passes aussi. (Il ouvre la chemise de Nelson et prend une seringue dans le sac de ce dernier.)

Brandon Boyd : Oh, mon Dieu, vous n’allez quand même pas… (John prend de la force pour planter la seringue dans le cœur de Nelson.)

Reese : Allez, revenez, revenez. (Nelson se met à tousser et les deux tentent de le relever.) Ne mourrez pas maintenant. On a encore une mission à finir.

Richard Nelson : (Reprenant ses esprits.) D’accord.

Reese : Tenez bon. (Il ouvre la portière pour le mettre dedans pendant que Boyd reste dehors.)

Brandon Boyd : C’est de la folie, (John le repoussant.) Vous n’allez quand même pas me laisser debout ici comme un con.

Reese : Vous avez raison. (Il lui met un coup de poing dans le visage et il tombe au sol.)

 

SÉQUENCE – Bord de la routeCaméra C23 heures 46 minutes 36 secondes

INTÉRIEUR – Dans une maisonSoirée

Vincent Cochran se trouve assis chez lui dans son salon. Le professeur Nelson le rejoint et se met sur le siège à côté.

Richard Nelson : Vous me reconnaissez, monsieur Cochran ?

Vincent Cochran : Je devrais ?

Richard Nelson : Je suis l’homme que vous avez tué.

 

SÉQUENCES – Salon BCaméra23 heures 47 minutes 23 secondes ; EntréeCaméra n° 0123 heures 47 minutes 27 secondes

Une fenêtre avec des symboles s’affiche furtivement.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Joss est à son bureau et elle regarde son téléphone. Elle semble hésiter à appeler et le fait quand même et joint John.

Carter : Qu’est-ce que vous faites pour Fusco ?

 

INTÉRIEUR – Dans une maisonSoirée

Reese : (Regardant dans une armoire.) Pour le moment, rien.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Reese : (Au téléphone.) Je suis occupé.

Carter : Après tout ce qu’on a traversé, je croyais que c’était votre ami.

 

INTÉRIEUR – Dans une maisonSoirée

Reese : Est-ce qu’il n’est pas votre coéquipier ?

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Carter : Vous ne savez pas ce qu’il vient de me dire ? Vous savez ce qu’il a fait ? Je crois que sa place est en prison.

 

INTÉRIEUR – Dans une maisonSoirée

Reese : Écoutez, Carter, on ne me considère pas non plus comme un exemple de moralité. (Il arme son pistolet.) Alors, il va falloir vous débrouiller toute seule sur ce coup-là. (Il pose l’arme dans l’armoire.)

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Carter : Je suis un lieutenant de police honnête. Mais il s’agit de Fusco.

 

INTÉRIEUR – Dans une maisonSoirée

Carter : (Au téléphone.) Ce n’est pas aussi simple que ça.

Reese : J’ai toujours cru que c’était clair dans votre esprit. Qu’un flic fasse un seul faux pas, (il met un costume dans l’armoire) et ce sera toute sa vie…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Reese : (Au téléphone.)…un ripou, pas vrai ? Bon, maintenant, excusez-moi…

 

INTÉRIEUR – Dans une maisonSoirée

Reese : (En fermant la porte.) Il faut que je retourne au travail.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée

Joss raccroche et se met à réfléchir sur l’attitude à adopter dans cette histoire.

 

INTÉRIEUR – Dans une maisonSoirée

Richard Nelson : (Pendant que quelqu’un sert du vin à Cochran.) Vous connaissez l’effet du polonium sur le corps humain, monsieur Cochran ?

Vincent Cochran : J’ai le sentiment que vous allez me l’apprendre.

Richard Nelson : Dès que le produit pénètre dans le système sanguin, il se met à détruire les barrières immunitaires. Il s’infiltre dans la moelle osseuse et de ce fait votre corps ne peut plus se défendre contre ses propres bactéries, qui commencent alors à vous ronger de l’intérieur. Ça attaque votre ADN, ça bloque un à un vos organes vitaux. Oui, c’est assez rapide mais je vous assure que c’est extrêmement douloureux.

Vincent Cochran : Je suis épaté que vous soyez toujours là.

Richard Nelson : Ces dernières vingt-quatre heures ont été un enfer, oui, c’est une façon diabolique de faire mourir quelqu’un. Mais bien sûr, je ne suis qu’un simple médecin. Un minus comparé à vous le rusé milliardaire, patron d’une multinationale.

Vincent Cochran : Vous vous sous-estimez il me semble.

Richard Nelson : Oh, non, non, c’est clair maintenant. Vous et votre société au fond vous vous intéressez pas à la recherche médicale. Vous vous cherchez simplement à gagner de l’argent. Même s’il vous faut tricher.

Vincent Cochran : Je suis dans la finance, je gère des actifs. Mais si je fais une erreur comme miser sur le mauvais cheval, alors je reprends mes billes. (Alors que Nelson lui sourit.) De toute façon, je gagne toujours.

Richard Nelson : J’ai fait de bonnes choses dans ma vie et de mauvaises. J’ai réussi à détruire ma famille, ma réputation. Mais je ne mérite pas de mourir. (Cochran boit son verre.) Et la commission de contrôle va épingler votre société.

Vincent Cochran : Non, professeur, vous avez tord. L’enquête de la commission de contrôle mourra en même temps que vous.

Richard Nelson : Oh. (Il sourit.) Alors, en même temps que nous. Euh, vous saignez du nez. Vous avez neuf milliards de dollars mais il vous reste vingt-quatre heures pour les dépenser. (Cochran ne comprend pas ce qu’il se passe alors, il regarde à côté de lui et voit John avec une bouteille à la main. Sûrement lui qui a mis du polonium dans la bouteille.) Je vous souhaite d’en tirer profit.

 

SÉQUENCES – Salon BCaméra23 heures 53 minutes 27 secondes ; Champ n° 02Caméra n° 046 heures 35 minutes 39 secondes ; Champ n° 10Caméra n° 017 heures 03 minutes 36 secondes

EXTÉRIEUR – Dans un champOyster BayMatinée

La voiture de Soriano arrive près de l’endroit où se trouve enterré Stills. Lionel est à l’intérieur. Des voitures de police se trouvent déjà sur place.

Joseph Soriano : Bel endroit pour se débarrasser d’un macchabée. Heureusement, la neige n’empêchera pas les chiens de le retrouver. (Il sort de la voiture et fait descendre Lionel.) Descendez, terminus. (Lionel regarde devant lui la neige recouvrant toute la zone ainsi que le badge et l’arme de Soriano.) Vous savez, au bout du compte, en tant que flic, on est la somme de deux choses. D’une part, les gens qui vous détestent et d’autre part, ceux qui n’ont rien à foutre de vous. Et sincèrement, je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de monde qui s’intéresse à vous.

Policier : Lieutenant, s’il vous plaît, venez voir !

Joseph Soriano : Très bien, allons-y. (Il s’avance avec Lionel à l’endroit où il les a appelés.

 

SÉQUENCES – Voiture de policeCôté 283A7 heures 05 minutes 02 secondes ; Porche ACaméra7 heures 06 minutes 20 secondes

Une fenêtre avec des symboles s’affiche furtivement.

Richard Nelson : Oh, ne t’en fais pas chérie…

 

EXTÉRIEUR – Près d’une maisonMatinée

Richard Nelson : (Assis sous un porche.)…tu connaîtras d’autres garçons, crois-moi. (John le rejoint.) Je t’aime aussi ma chérie. Au revoir. (Il raccroche.)

Reese : (Donnant un verre.) Tenez, c’est votre préféré. Du soixante-deux.

Richard Nelson : À votre santé. (Il choque son verre avec celui de John. Il le boit et met sa tête en arrière.) Et merci.

Reese : Pourquoi ?

Richard Nelson : Pour la seconde chance, pour tout ça. (Il émet son dernier soupir avant de lâcher son verre. John pose le sien sur le sol et remet le corps de Nelson sur la chaise après qu’il se soit avachi dessus.)

Reese : (Activant son oreillette.) Le professeur est mort, Finch.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée

Finch : C’était un homme bien. (Il se lève.)

 

EXTÉRIEUR – Près d’une maisonMatinée

Reese : On est arrivé trop tard pour le sauver.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée

Finch : (Se mettant à côté de la fenêtre.) C’est un cas de figure qui se répète souvent depuis quelque temps. Il y a d’abord eu Szymanski, puis Beecher et maintenant le professeur Nelson.

 

EXTÉRIEUR – Près d’une maisonMatinée

Reese : Est-ce qu’il y a un problème avec la Machine ?

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée

Finch : Je n’en sais rien.

 

EXTÉRIEUR – Près d’une maisonMatinée

Reese : Pour qui est-il trop tard maintenant ? (Il s’en va.)

 

EXTÉRIEUR – Dans un champMatinée

Simmons : (Accompagnant Lionel.) C’est plus qu’une question de minutes maintenant. Si ça te dis de t’allonger dans ce trou, je vais chercher une pelle. Allez avance.

Policier : Lieutenant Soriano. (Il lui demande de venir.)

Joseph Soriano : (Pendant que les chiens aboient.) C’est l’heure de vérité, Fusco.

Policier : (Alors que Lionel regarde ce qu’il se passe.) Lieutenant, les chiens se sont arrêtés ici et la terre a été retournée. Il y a bien eu un corps dans ce trou mais…

Joseph Soriano : Quelqu’un l’a retiré. (Lionel semble soulagé alors que Simmons a l’air surpris et voyant qu’il y a un problème.) Vous vous moquez de nous, c’est ça ? Je sais que vous avez tué Stills, espèce d’enfoiré. Qu’est-ce que vous avez fait de son corps ?

Fusco : Je vous emmerde.

Joseph Soriano : Je n’ai pas encore dit mon dernier mot. Je sais que vous êtes un flic corrompu.

Fusco : C’est faux, vous vous trompez. Rendez-moi mon insigne et mon arme. (Il s’en va sous les yeux de Simmons.)

 

SÉQUENCE – Sud-EstCaméra n° 0713 heures 01 minute 21 secondes

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée

Harold est à son poste de travail et John arrive.

Reese : Des nouvelles de Fusco ?

Finch : Tirez d’affaire, pour l’instant. Mon partenaire de jeu en prison a dit que Azarello a une saute d’humeur et s’est rétracté.

Reese : Échec et mat. Bonne nouvelle.

Finch : Cette tempête à l’horizon dont je parlais la dernière fois, j’ai bien peur qu’elle soit arrivée. (Sur l’ordinateur, le statut du virus change et se met au rouge soit un seuil critique.)

Reese : (Voyant le lit de Balou.) Où est Balou ?

Finch : Oh, oui, c’est un autre sujet dont il faut qu’on discute.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoJournée

Lionel a récupéré son arme et son insigne et peut continuer à travailler. Joss se lève de son bureau et le rejoint avec un dossier dans les mains.

Carter : J’ai besoin d’un regard neuf sur une piste éventuelle. Tu veux jeter un œil et je reviens un peu plus tard, j’ai eu une longue nuit. (Elle dépose le dossier sur le bureau.)

Fusco : Bien sûr, pas de problème.

Elle s’en va et prend le chien même temps qui a ses pattes recouvertes de terre car il y a des traces au sol. Le dossier concerné est celui sur Cal Beecher.

 

SÉQUENCE – BoxCaméra n° 0416 heures 02 minutes 40 secondes

L’image se brouille de plus en plus signe que la Machine est très mal en point. Son signal est corrompu. Elle trouve une menace à son système et s’éteint.

Kikavu ?

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