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#301 : Trio de choc

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Guest Stars : Enrico Colantoni (Carl Elias), David Valcin (Scarface), Rey Valentin (Jack Salazar)
Captures

Résumé Court :
La Machine, maintenant totalement autonome et ayant des objectifs inconnus, continue de donner des numéros "non-pertinents" à Finch, dont l'un est celui d'un soldat de la marine, en ville durant la Semaine de la Flotte américaine. Cependant, la présence de nombreux marins à cette période de l'année complique la protection de celui-ci pour Reese et Shaw.

Personne d'intérêt : Jack Salazar

Popularité


4.8 - 5 votes

Titre VO
Liberty

Titre VF
Trio de choc

Première diffusion
24.09.2013

Première diffusion en France
08.04.2014

Vidéos

Promo Saison 3

Promo Saison 3

  

Teaser Saison 3

Teaser Saison 3

  

Diffusions

Logo de la chaîne TF1

France (inédit)
Mardi 08.04.2014 à 21:00
6.62m / 24.4% (Part)

Logo de la chaîne CBS

Etats-Unis (inédit)
Mardi 24.09.2013 à 22:00
12.44m / 2.3% (18-49)

Plus de détails

 

 

Le 22 Mai 2013

Dans une ruelle à 22h11

Le fils d'un diplomate sort d'un concert avec sa petite amis lorsqu'un commando du cartel l'attrape le kidnappe en le mettant dans leurs camionnettes.

Une camionnette

Le commando composé de trois personnes informe Rafael, le fils du diplomate, que ce dernier est dans cette situation car son père a refusé de collaborer avec le cartel. Un des membre du commando s'aperçoit de la présence de John qui tapote sur une tablette. John se présente comme étant négociateur en prise d'otages et neutralise le commando.

Dans une rue de New York

Après que la camionnette soit rentré dans une voiture Rafael s'enfuit en ayant peur de John. Carter qui a été rétrogradé à simple officier arrive et se moque gentiment de John. Carter veut savoir pourquoi il n'a pas l'aide de Harold.

Dans une autre rue de New York à 22h15

Samantha Shaw se trouve dans une calèche, conduite par Fusco, avec un jeune homme qui lui fait la cour. Samantha repousse ses avances et lui dit que la dernière fois qu'il a utilisé une femme pour avoir accédé à son compte bancaire cette dernière à prévenu son mari mafieux et que ce dernier à mis un contrat sur sa tête. Après son aveu les mafieux arrivent, Samantha utilise le dos de Fusco pour neutraliser les mafieux en leur tirant dessus. Elle conseille au don juan de changer de nom et de quitter la ville.

Harold arrive avec Bear pour la remercier d'avoir réglé le problème et espère que la prochaine fois elle utilisera moins de violence pour régler les problèmes. Fusco quant à lui refuse de travailler de nouveau avec Samantha car elle a mis sa vie en danger. Cette dernière case son téléphone et dit à Harold qu'il sait comment la joindre.

 

Le 23 Mai 2013

Deuxième jours

Sur un ponton à 08h01

John, Harold promène Bear tout en discutant de Samantha Shaw. Même si, comme John lui rappelle, ils savaient comment est Samantha Shaw et qu'elle est un atout efficace Harold n'est pas sur de pouvoir travailler avec quelqu'un refusant d'utiliser un téléphone portable en dehors des missions. John la défend en rappelant que des personnes essayent de la tuer. Harold lui rappelle que certaines de ces personnes essayent aussi de les tuer et en profite pour informer John que la machine continue à leur donner les numéros grâce à un attentat (au plutonium dans une voiture) déjoué parut dans le journal du matin.

Harold change de sujet et donne à John leur nouveau numéro qui est celui de Jack Salazar un maître deuxième classe marine des USA de 25 ans qui a été contraint de s'engager dans l'armée afin d'éviter la prison pour avoir attaqué un homme dans un bar, le laissant presque dans le coma, il y a de cela cinq ans. John veut savoir la raison de la présence de Jack à New York. Harold lui répond que c'est le début de la "fleet Week" de New York. Après une touche d'humour John décide de se chercher Jack dans les lieux habituels.

Dans un bar de Hell's Kitchen vers 12h00

Après avoir écumé six bars des mille deux cent quatre vingt de new york John épuisé finit par trouver Jack. Jack qui est avec son ami RJ qui drague une femme. Après que l'homme de la femme soit intervenu une dispute éclate avec les garde-côtes. Jack essaye de gérer le problème en discutant tout en prévenant le garde-côte de ce qui va se passer si il ne s'excuse pas. Ce dernier continu dans la provocation et une bagarre commence. John qui est en admiration devant le comportement de Jack décide de s'en mêler mais se prend un coup de tabouret dans le dos. Les militaires quittent le bar et John perd la trace de Jack et demande de l'aide à Harold pour retrouver Jack.

La machine fait une recherche sur toutes les alias d'un de ses "atouts" : Root. La machine regarde aussi plusieurs séquences entre Harold et Root. Elle qualifie Root de menace lorsque cette dernière veut la libérer puis la machine considère Root comme une menace neutraliser lorsque Harold l'informe qu'il a libéré la machine. Puis la machine fait une recherche du diagnostic et décide de donner une nouvelle désignation à Root : "Analog Interface".

 

Hôpital Stone Ranch

 

Dans son bureau le docteur Carmichael parle à Root, qui est sous le pseudonyme Robin Farlow, de la plainte des autres patients qui l'entendent parler durant la nuit. Il en conclut qu'elle se parle à elle-même. Root qui regarde une caméra par la fenêtre en tapotant la vitre décide de tenter d'expliquer à Carmichael à qui elle parle. Tout en se dirigeant vers le canapé elle dit à son médecin qu'elle a une ligne directe avec un "pouvoir supérieur". Voyant le scepticisme de son médecin elle l'explique que cette voix lui a demandée de rester à l'asile afin de se soigner afin de changer sa façon de voir les choses. Son médecin lui explique qu'il comprend qu'elle se sente espionnée et soit parano vu les informations actuelles sur le gouvernement (programme "prism"). Root en se retenant un rire lui répond qu'elle se sent occasionnellement surveillée.

La bibliothèque de Harold à 15h03

Harold et John cherchent à déterminer si Jack Salazar est une victime ou un coupable. Pour cela il étudie son passé et notamment le fait qu'il est réussi ses évaluations de l'année dernière avec les meilleures notes possibles ainsi que son test physique. John et Harold s'aperçoivent que la marine a des projets de carrière pour Jack mais que ce dernier pourra refuser vu qu'il sera libre dans six mois. John demande à Harold de voir si Jack à passer d'autres examens. Harold fait une remarque sur Jack et la bagarre du bar mais John prend la défense de Jack. Harold donne à John des informations sur l'ami de Jack. Il s'agit de Robert Johnson Philips un officier de troisième classe et magasinier. Afin de traquer Jack et RJ Harold et John décident de faire appel à Carter de par son passé militaire.

Commissariat de police à 15h10

Carter amène au poste un exhibitionniste récidiviste. Carter et Fusco discutent et parlent du nouveau partenaire de Fusco et aussi de la retrogradation de Carter suite à la fusillade du 30 Avril 2013. Fusco la soutient. Ils sont interrompus par l'appel de John à Carter lui demandant son aide.

Dans les rues de New York à 17h51

Carter et John marchent dans les rues et ce dernier lui explique la situation. John admet ne plus savoir où chercher Jack. Carter le fait rentrer dans le "Gourmet Deli" un magasin.

Le "Gourmet Deli"

John ne comprend pas pourquoi Carter l'amène dans ce magasin. Elle lui demande de regarder le marine dans une cabine téléphonique intégrée à un mur. John voit le mur s'ouvrir et laisser passer le marine.

John et Carter entrent dans le bar illégal. Carter dit çà John que le maire n'est pas au courant de ce lieu car sinon il serait obligé d'envoyer les mœurs faire fermer ce lieu qui est un lieu pour les militaires et les policiers. John lui demande comment elle gère sa rétrogradation et lui propose un nouveau job. Elle décline l'offre lui disant qu'elle est encore un flic. John remarque Jack et décide d'aller le surveiller de plus près. Après son départ Carter se fait et se laisse draguer par un jeune marin.

John profite d'un moment d'inattention de Jack pour lui cloner son téléphone. RJ rejoint Jack et lui remet un paquet de cigarettes cubaines qu'il a subtilisé à l'amiral. RJ laisse Jack seul et part avec une escorte girls.

Dans les rues de New York à 23h02

Jack sort du bar et essaye de contacter RJ mais tombe sur sa messagerie. Jack lui laisse un message car il est inquiet vu qu'ils ont plus qu'une heure pour retourner sur le bateau. Jack se retrouve nez à nez avec le chef des "Devil-Dogs" une équipe des forces spéciales marines. Ce dernier veut que Jack lui rende ce qui lui appartient.

John informe Harold de la situation tout en remarquant que l'équipe de quatre hommes vient de boucler le quartier. John dit à Harold qu'il ne peut pas s'en mêler sous peine de faire tuer Jack.

Un combat à main s'engage entre Jack et RIP, surnom du chef des "Devil-Dogs". John voit les marines se mettre en mouvement et explique à Harold qu'ils vont extraire Jack et décide de sortir Jack de ce pétrin.

Alors que Jack prenait le dessus sur RIP l'arrivée des deux autres marines permettre à leur chef de neutraliser Jack. RIP décide d'amener Jack auprès de RJ et l'assomme. Après que les marines aient déposé Jack dans le coffre John démarre la voiture. Les marines ouvres le feu pour tenter de les arrêter.

 

Le 24 Mai 2013

Troisième jours

Dans la nuit John informe Harold que Jack a été blessé.

Le Refuge (nouveau lieu)

Jack se réveille au moment où Samantha va lui retirer la balle dans son épaule. Jack attrape le bras de John mais Samantha lui pointe un pistolet sur la tempe. Jack veut savoir qui ils sont. Harold lui explique qu'un groupe des forces marines en a après lui et lui explique que Samantha à une expérience médicale. Jack décide de laisser Samantha lui retirer la balle et lâche John. Pendant que John pose des questions à Jack Harold vient aider Samantha à retirer la balle du bras de Jack. Jack leur dit qui est RIP et que lors d'une mission en Somalie il s'est emparé d'un AK-47. Harold est surpris d'apprendre qu'ils, RJ et lui, ont aidé les "Devil-Dogs" à faire passer une arme illégale. Samantha ne comprend pas l'importance de l'arme mais Harold, qui est retourné à son ordinateur, lui répond que ce n'est pas l'arme qui est importante mais ce qui était caché à l'intérieur. Harold explique qu'un navire d'exploitation des fonds marins a été attaqué par des pirates Somaliens et que ce sont les "Devil-Dogs" qui les ont intercepté.

RIP les interrompent en appelant Jack, qui met son téléphone sur haut-parleur. RIP lui dit qu'ils détiennent RJ et laisse RJ parler à Jack. RJ lui explique qu'il a pris une part du butin des "Devil-Dogs" et dit à Jack de regarder les cigarettes cubaines. John vide le paquet et découvre quelques diamants non taillés. RIP donne rendez-vous à Jack afin d'échanger les diamants contre RIP.

 

Hôpital Stone Ranch à 09h10

 

Carmichael veut parler des amis et de la famille de Root notamment de son oncle Harold Wren qui l'a fait interner. Il veut savoir si Root est proche de Harold. Après un ricanement Root lui répond que c'est une question compliquée et qu'elle veut parler d'autre chose car elle souhaite être franche avec son médecin. Carmichael se lève et vient s'assoir à côté d'elle en lui disant qu'elle n'est pas totalement honnête avec lui. Il récupère son téléphone que Root lui avait volé. Root s'excuse de lui avoir pris son téléphone mais qu'elle doit rester en contact avec la "voix" car elles sont en plein milieu d'un différent. Carmichael décide de la faire mettre en isolement afin qu'elle n'est plus accès aux divers technologies. Root lui dit qu'il fait une erreur et qu'il juge mal les gens pour un psychiatre.

Dans les rues de New York vers 12h00

John en compagnie de Samantha explique à Jack où aura lieu l'échange est comment les marines vont procéder. Samantha informe qu'elle va aller neutraliser le sniper des marines et prendre sa place. Pendant que Samantha va acheter une glace John dit à Jack qu'il est quelqu'un de bien même si Jack doute de lui-même. Samantha donne l'emballage en aluminium à John et lui demande de lui laisser trois minutes.

John utilise le papier en aluminium pour refléter le soleil sur le visage du sniper qui se trouve aveuglé lorsque Samantha arrive par-derrière et l'assomme. Pendant que John et Jack entrent dans l'immeuble le "Babcock" Samantha s'extasie devant le fusil au point que John doit lui rappeler qu'elle ne doit pas tirer dans la foule.

Appartement 212 du "Babcock"

John est étonné qu'il n'y ait pas de sentinelle pour garder l'appartement. Samantha l'informe qu'il n'y a personne dans la pièce car RJ est attaché à une bombe. John et Jack entrent dans l'appartement. John empêche Jack de s'approcher de RJ afin d'éviter que la bombe explose. RJ s'excuse auprès de Jack de le mêler à ses histoires et promet de tout assumer.

De par le téléphone fixé sur RJ est connecté directement à celui de RIP via la connexion WI-Fi permet à ce dernier de remarquer la présence de John et réprimande Jack d'avoir amené John avec lui. RIP prévient Jack que si John quitte la pièce, tente de déplacer RJ ou tente de désactiver la bombe il fera exploser RJ. RIP demande ensuite à Jack de détruire son téléphone et lui dit qu'un taxi l'attend pour le conduire à un autre endroit. John essaye d'empêcher Jack d'aller prendre le taxi car ça le comdanera mais ce dernier lui répond qu'il ne peut pas laisser son ami mourir et quitte l'appartement.

Dans les rues de New York

Samantha informe Harold que l'échange a échoué. Harold lui dit qu'il a entendu et lui demande si elle peut suivre Jack. Malheureusement le taxi a pris trop d'avance pour qu'elle puisse le suivre. Harold répond qu'il leur faut retrouver le receleur afin de retrouver les marines et que pour cela quelqu'un s'occupe déjà de chercher le receleur. Harold contacte Carter

Dans une planque

Carter, qui est au téléphone avec Harold, entre dans une sorte d'entrepôt au sous-sol. Elle lui dit que ses experts en vols n'ont rien trouver mais qu'elle a une source. Elle raccroche et désactive son téléphone.

Carter rentre dans une grande pièce où Carl Élias mange avec son bras droit Anthony Marconi alias Scarface. Carter reproche à Élias de ne pas se tenir à leur accord car elle a vu Scarface dans un quartier de Crow Heights appartenant aux Russe. Élias se défend en disant que c'est maintenant un territoire Russe et qu'avant il était à lui. Élias demande à son bras droit de le laisser seul avec Carter. Avant de quitter la pièce Marconi remercie Carter d'aider son patron. Élias fait remarque à Carter qu'il n'a pas reçu la visite de John ou de Harold et en déduit qu'elle ne leur pas parler de leur arrangement de peur qu'ils y opposent. Carter dément le fait qu'ils aient un arrangement en expliquant qu'elle ne pouvait pas le remettre en prison car les HR ou les Russes l'auraient tué. Carter change de sujet pour connaître le nom d'un receleur en diamant. Élias lui parle d'un receleur Russe mobile du nom de Maksim. Il lui donne l'adresse du receleur. Élias lui parle de sa rétrogradation et lui dit que c'est du gâchit tout en lui proposant d'éliminer les Russes et les HR de manières permanentes. Carter sourit et préfère le laisser avec son barolo.

Appartement 212 "Babcock" vers 12h30

John demande à Harold où il en est. Harold, qui se trouve sur dans une cage d'escalier extérieur, informe John qu'il créer une boucle afin que RIP ne sache pas que John a quitté l'appartement. Il prévient John qu'il a fini et que ce dernier est libre et le prévient de l'arrivé de renfort. Fusco arrive et donne l'adresse du receleur à John. Il s'apprête à partir avec John puisque c'est dans le quartier Russe mais John lui dit que c'est un travail pour Samantha et que quelqu'un doit rester avec RJ pour désamorcer la bombe. John laisse Fusco, perplexe, seul.

Devant un parc à 20h14

Le taxi dépose Jack devant un parc lorsqu'un téléphone dans une boîte sonne. Jack s'empare de la boîte et décroche le téléphone. RIP qui pointe un sniper sur sa tête lui donne les instructions suivantes. Jack doit se rendre au magasin de Maksim afin de vendre les pierres.

Appartement 212 "Babcok" dans la soirée

Pendant que Fusco tente de désamorcer la bombe RJ s'inquiète que RIP s'aperçoive que la John à quitter la pièce.

Le magasin du prêteur à gage vers 22h00

Jack apporte à Maksim les diamants qui est entouré par trois hommes armés. Maksim informe qu'il revoit les prix à la baisse. Les marines en profitent pour arriver et braquer leurs armes sur les hommes de Maksim. RIP rappelle le prix de base qu'ils s'étaient mis d'accord cependant Maksim explique sa baisse par le fait de la provenance de la marchandise puis il lui montre la mallette avec l'argent. RIP refuse l'offre de Maksim et la tension entre les deux groupes augmente. La dispute s'arrête au moment de l'entrée de John dans le magasin.

John se présente à Maksim comme étant un tiers parti. John fait de l'humour. Samantha se trouvant sur le toit d'un immeuble en face du prêteur à gage avec son fusil snipper prévient John que si la situation dégénère il a aucune chance de survie. RIP décide de faire exploser la bombe.

Appartement 212 "Babcok"

Harold dit à Fusco de sortir car RIP va faire sauter la bombe. Fusco refuse et arrive à déconnecter l'allumeur à temps. RIP, Fusco et Harold sont soulagés.

Le magasin du prêteur à gage

RIP s'aperçoit que la bombe n'a pas explosé est en colère et demande à John de ne pas se moquer de lui. Maksim se moque de RIP et des Américains avant de prendre la fuite ce que Samantha trouve suspect. Elle s'aperçoit qu'à l'étage supérieur se trouvent d'autres hommes avec des armes pointées vers le sol. Elle informe John de la situation et lui demande de quitter le magasin.

John a seulement le temps de faire se coucher Jack lorsque la fusillade commence. Samantha tire sur les hommes et explique à John qu'elle va lentement car elle essaye de ne pas tuer comme lui a demandé Harold. Elle est même contente lorsqu'elle arrive à toucher le bras d'un tireur à travers le bras malheureusement ce dernier passe à travers la fenêtre. John aide Jack à se relever avant de neutraliser un dernier homme. Samantha demande à John de lui payer un steak en remerciement.

Marconi arrive tranquillement et s'empare des diamants ainsi que de l'argent puis quitte le magasin en sifflotant.

 

Le 25 Mai 2013

Quatrième jours

Appartement de Carter dans la matinée

Carter rentre de sa nuit de travail épuisé. John qui est avec Samantha, qui mange son steak, sur un ponton demande à Carter comme ça va et lui propose son aide. Carter le remercie et décline son offre et raccroche. Elle se dirige vers son placard et sur le mur de fond de son placard il y a l'organigramme des HR ainsi que quelques articles sur eux. Elle ne connaît pas l'identité du chef des HR le membre le plus important qu'elle connaît est Simmons. Elle touche la photo de Cal Beecher dans l'article parlant de sa mort.

Dans un bar de Hell's Kitchen à 12h12

John rejoint Jack. Ce dernier explique à John que RJ a tout assumé et qu'il a personnellement reçu un blâme ainsi que des corvées sur le pont. Jack lui explique aussi que son capitaine pense qu'il ferait un excellent SEAL mais Jack doute de cela au vu des derniers événements. Jack pense même quitter l'armée dans les six mois afin d'avoir une vie heureuse comme le couple assis à une table. John lui dit que l'armée à du bon comme du mauvais et que Jack pourrait faire énormément de bien dans l'armée. John avoue à Jack qu'il a lui aussi était contraint de choisir l'armée pour éviter la prison. John continue en lui disant qu'il était bon voire excellent pour le métier et que la CIA la repérait. Il conseille à Jack que lorsque la CIA l'approchera de décliner leur offre. Jack réfléchit et demande au barman de payer deux verres à l'heureux couple, il y glisse un diamant, puis il remercie John et quitte le bar.

Harold remplace Jack auprès de John. Harold lui dit qu'il réalise qu'il ne savait pas comment John s'était retrouvé dans l'armée. John demande à Harold d'être plus heureux car ils ont sauvé la vie d'une personne. Cependant Harold pense que les choses vont devenir plus compliquées. John voyant qu'Harold est plongé dans ses pensés lui donne à boire afin qu'il se détente.

 

Hôpital Stone Ranchà 21h30

 

Root est amené dans le bureau de son psychiatre après son isolement. Carmichael veut parler avec elle car il sait qu'elle est très intelligente et il veut savoir la vérité. Root accepte de lui répond en lui disant qu'elle sait maintenant que la vérité est un concept vaste et qu'il y a beaucoup de vérité. Elle commence par lui dire tout ce qu'elle sait sur lui : commençant par le fait qu'il n'est pas aussi intelligent qu'il le pense mais seulement le quarante troisième dans le bâtiment ce qui le fait sourit. Il veut savoir sur quoi elle se base pour dire ça. Elle lui parle alors des tests standards ainsi que sa commission médicale à laquelle il a triché : elle lui parle aussi du nombre de cigarette qu'il fume par semaine, du fait qu'il se fait masser en payant avec l'argent qu'il vole au distributeur, qu'il fantasme sur ses patients sur des forums en ligne. Carmichael blanchit alors Root lui parle de la machine en la comparant à Dieu disant qu'elle est née il y a onze ans et lui dit où elle "Dieu" est née ainsi que la date de naissance de "Dieu". Root continue en disant qu'elle la choisit et qu'elle ignore la raison et que pour la première fois de sa vie elle a peur. Root finis en disant qu'elle est coincée ici et que la seule chose qu'il devrait s'inquiéter c'est de la conversation qu'elle a avec la machine, que sa dispute avec cette dernière est de savoir si Root tue ou non Carmichael. Ce dernier est paniqué.

La machine regarde ses prédictions et fait une évaluation globale de ses "atouts" : Elle a 28,56% d'atout activé, 12,66% d'atout mort, 62,79% d'atout capturé, 17,71% de crise ont été prévenue, la machine à 2,06% d'auxiliaire administrateur,. Il y aussi 1,91% d'opérationnel pertinent. Dans la négative il y 9,84% de cause d'accident en masse, que la violence est à 34,98%, qu'il y a 12,66% de chance que son administrateur meurt et que Ronald W. Michael à 78,06% de chance de mourir.

La machine finit par conclure que le pourcentage de chances de succès du programme en cours est inconnu.

 

Finch : On vous surveille. Le gouvernement a un dispositif secret, une Machine, qui vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires. Des citoyens que le gouvernement considère sans importance, pas nous. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre, jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous, nous vous trouverons.

 

SÉQUENCE – 13ème ruePosteCaméra22 heures 11 minutes 19 secondes

EXTÉRIEUR – Dans la rue - Soirée

Un couple s’avance dans la rue.

Femme : C’était bien.

Rafael : Qu’est-ce que tu fais demain ?

Femme : On devrait le refaire.

Rafael : Le groupe était bon. Les sushis étaient bons.

 

SÉQUENCE – 13ème ruePosteCaméra22 heures 12 minutes 00 seconde

EXTÉRIEUR – Dans la rue - Soirée

Rafael : Tu étais fabuleuse.

Femme : (En rigolant.) Qu’est-ce que tu es gentil. (Un groupe d’hommes s’en prend à l’inconnu, faisant crier la dame de peur.)

Kidnapper 1 : Allez, allez, allez, on monte, on monte. (Le véhicule s’en va.

 

INTÉRIEUR – Dans une fourgonnette - Soirée

Kidnapper 2 : (L’homme enlève la cagoule. Il parle dans une langue étrangère.) Pardon de te gâcher ta soirée, Rafael. Ça doit être facile d’attirer les jolies femmes quand on a un papa diplomate. (Il utilise une caméra qui enregistre l’homme.) On va la laisser vivre. (Un autre homme enclenche l’arme et vise Rafael.) Mais toi, amigo, tu vas payer pour ton père.

Kidnapper 3 : Hey, c’est qui, lui là ?

Kidnapper 2 : Si ton père avait eu l’intelligence de travailler avec le cartel, tu aurais peut-être eu la chance de souhaiter bonne nuit à ta petite famille.

Kidnapper 3 : Hey !

Kidnapper 2 : Quoi ?

Kidnapper 3 : Regarde. (John, une cagoule sur la tête, écrit quelque chose sur son portable.)

Kidnapper 2 : Hey, t’es qui, toi ?

Reese : Ce soir, négociateur en prise d’otages. (Pendant que le véhicule roule, des coups de feu se font entendre à l’intérieur. Le véhicule roule difficilement et percute un autre. John ouvre la porte.) Rafael, venez.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rue - Soirée

Rafael : T’es cinglé, mec. (Une voiture de police arrive et Rafael s’enfuit.)

Reese : Merde. Il n’y a pas de quoi. (Il enlève sa cagoule pendant que quelqu’un sort de la voiture de police.) Ils ne disent jamais merci.

Carter : On se demande bien pourquoi. (John se retourne vers elle qui est en uniforme de policier.) Vous devriez peut-être faire en sorte de les sauver avant que la situation ne dégénère à ce point.

Reese : Merci, Carter. Vous savez, sans vouloir vous vexer, vous faites un peu peur dans cet uniforme.

Carter : C’est vrai que le votre est toujours le même sauf peut-être pour la cagoule. Au fait, où sont vos amis ?

 

SÉQUENCES – 10ème avenue et rue GansevrtCaméra22 heures 17 minutes 34 secondes ; Avenue MorningsidePosteCaméra n° 0322 heures 15 minutes 43 secondes

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Une calèche tirée par un cheval s’avance dans la rue. Elle est conduite par Lionel alors que Sameen se trouve à l’intérieur avec un homme.

Homme : Je peux être franc avec toi ? Au départ, si je t’ai invitée, c’est parce que je te trouvais canon. Mais maintenant qu’on a dîné ensemble, on se connaît mieux, je me rends compte que t’es sûrement la personne, la femme la plus exceptionnelle que j’ai rencontré. (Il l’embrasse et elle se met à sourire.)

Shaw : Ouais, je parie que tu dis ça à toutes les filles que tu rencontres. En fait, je le sais. Tu commences par leur mettre la main aux fesses, et puis tu mets la main sur leur compte en banque, comme pour Paula Scarlatti. La pauvre Paula a eu le cœur brisé, elle en a même parlé à son papa mafieux. Du coup, c’est lui et ses copains gangsters ont mis ta tête à prix et on peut dire qu’ils sont plutôt généreux. Et est-ce que je peux te faire une confidence ? Et c’est uniquement à cause d’eux que je suis sortie avec toi. (Deux voitures s’arrêtent devant la calèche. Des hommes en sortent alors que Sameen se lève pour commencer à leur tirer dessus. Elle est derrière Lionel.)

Fusco : Hey, qu’est-ce que tu es en train de faire ? Arrête, tu es cinglée ! (Elle continue de tirer et arrive à neutraliser les hommes. Lionel pointe son arme à son tour. Sameen quitte la calèche.)

Shaw : Je te propose un marché, tu vas changer de nom, quitter la ville et te trouver une copine. Et ça commence maintenant. (Il se met à s’enfuir alors que Sameen se met à marcher.)

 

SÉQUENCE – Morningside ParkEntréeCaméra n° 0222 heures 17 minutes 50 secondes

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Finch : (S’approchant de la calèche avec Balou à ses côtés.) J’apprécie que vous ayez réglé la situation, mademoiselle Shaw. Toutefois, peut-être qu’à l’avenir, il serait bon de remplir vos missions en veillant à faire un peu moins usage de la violence.

Fusco : (Sa fausse barbe se décroche.) Vous avez vu ce qu’elle a fait ?

Shaw : Arrête.

Fusco : Je ne suis pas un bouclier humain.

Shaw : Ce n’était pas de pot, il était dans l’axe.

Fusco : J’arrête, il n’est pas question que je travaille avec cette folle. (Il se retourne et s’en va pendant qu’elle jette son téléphone au sol et l’écrase avec son talon.)

Shaw : (S’en allant.) Vous savez comment me trouver.

 

SÉQUENCES – Morningside ParkEntréeCaméra n° 0222 heures 18 minutes 25 secondes ; SouthwardCaméra vue du ciel7 heures 59 minutes 23 secondes ; Caméra du fleuve8 heures 01 minute 29 secondes ; Pier n° 86Caméra n° 038 heures 02 minutes 43 secondes

Reese : On ne peut pas dire que ce soit une surprise. La première fois qu’on s’est rencontré, Shaw m’a tiré dessus.

 

EXTÉRIEUR – Près du portMatinée

Finch : (Avec Balou et un journal à la main.) Je reconnais que mademoiselle Shaw est un élément efficace mais je ne suis pas sûr de pouvoir travailler avec quelqu’un qui refuse catégoriquement d’avoir un téléphone portable.

Reese : Il y a des gens qui en veulent à sa vie, vous le savez.

Finch : Certaines de ces personnes veulent aussi nous tuer.

Reese : (Regardant la une où le titre qui est « Plutonium retrouvé grâce à un tuyau ».) Ouais, la Machine semble toujours leur fournir des numéros.

Finch : Je ne sais pas exactement ce qu’elle fait mais je suis mal à l’aise, rien que d’y penser. En attendant, notre nouveau numéro. (Pendant que John consulte le dossier d’un marin.) Un membre de l’US Navy. Le deuxième classe Jack Salazar.

Reese : Deuxième classe à la Navy ou comme criminel ?

Finch : Un peu des deux, j’en ai peur. Il a tabassé un homme au cours d’une bagarre dans un bar, il y a cinq ans. Il a plongé cet homme dans le coma. (Ils s’arrêtent près d’un navire.) Le juge lui a donné le choix : s’engager ou aller en prison.

Reese : Et Jack a choisi la Navy. Bon, qu’est-ce qu’il fait ici ?

Finch : C’est la semaine de la Marine. (Pendant des matelots commencent à quitter le navire.) Autrement dit, l’invasion de la ville par des hordes de marins ivres, on devrait qualifier plutôt ça d’attaque militaire.

Reese : Ah, voyons Finch, c’est une bande de moussaillons qui a besoin de se défiler, c’est tout.

 

SÉQUENCE – 12ème avenueOverpass8 heures 03 minutes 42 secondes

Reese : (Hors cadre ; pendant que des matelots traversent la passerelle.) À minuit, ils seront de retour à bord.

 

EXTÉRIEUR – Sur le portMatinée

Finch : Seulement, je crains que ces innombrables jeunes gens en uniforme nous compliquent la tâche pour localiser monsieur Salazar.

Reese : Si Jack est un marin digne de ce nom, ce sera boire, baiser et se faire tatouer dans cet ordre.

Finch : Je suppose que vous savez où tout cela se déroule.

Reese : Dans les bars à cocktail. Vous savez, deux pour le prix d’un dans le quartier de Hell’s Kitchen. (Il s’en va.)

Finch : Ça a l’air horrible. (Il s’en va à son tour, il parle à Balou.) Au pied.

 

SÉQUENCE – Vue du toitCaméraNord-Est11 heures 58 minutes 00 seconde

INTÉRIEUR – Dans un barMatinée

John entre dans le bar et se met à garder un œil sur les marins présents.

Reese : (Au barman.) Whiskey. (À Harold.) J’en suis à mon sixième bar.

Finch : (Au téléphone.) Excellent. (John se met à boire.)

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée

Finch : (Apposant une photo anthropométrique de Salazar.) Plus que 1 274.

 

INTÉRIEUR – Dans un barMatinée

Jack Salazar : Une autre tournée ?

Robert Johnson Phillips : Seulement si c’est toi qui paye, Jack. (Ils se mettent à rigoler.)

Reese : Une seconde, ça y est, j’ai repéré notre marin. (Il les regarde boire leur verre.)

Robert Johnson Phillips : (Parlant à deux femmes.) Donc, je me trouvais là, séparé de mon équipe au fin fond de la Corée du Nord, avec rien d’autre que mon couteau et mon M9. (Il se tourne vers Jack.) J’oublie quelque chose, Jack ?

Jack Salazar : Les crocodiles, les flèches au curare, surtout la honte.

Robert Johnson Phillips: J’allais y venir, t’inquiète.

Fille : Ah mon Dieu. On t’a forcé à faire quoi ?

Robert Johnson Phillips : C’est une longue histoire, et je suis là que jusque à minuit alors, si on allait dans un endroit tranquille où je pourrais te raconter tout ça en détail ?

Homme : Ashley, on s’en va.

Robert Johnson Phillips : Je crois que la demoiselle veut rester.

Homme : Tais-toi le bidasse.

Robert Johnson Phillips : Je ne suis pas un bidasse, je suis un marin. Et de toute façon, je n’ai pas d’ordre à recevoir d’une baltringue.

Jack Salazar : (Il l’empêche de faire une bêtise.) Laisse tomber, RJ. On est là pour s’amuser. On ne veut pas de problèmes.

Militaire : Il y a quelqu’un qui n’aime pas les bidasses ici ?

Jack Salazar : Écoute mec, fais pas d’histoires, c’est bon, laisse-moi payer une tournée.

Militaire : Ouais, bonne idée. (Il fait tomber volontairement le calot du matelot.)

Jack Salazar : Tu vas te baisser et le ramasser.

Militaire : Ah ouais, ou sinon quoi ? (De plus en plus menaçant.) Que comptez-vous faire les mollusques ?

Jack Salazar : Mon pote va commencer par t’en mettre une. Du coup, le petit bouffon à côté de toi va me sauter dessus. Quand je lui aurais éclaté la tête contre le bar, je balancerai mon pied contre ta figure de bidasse. Et bien sûr, tout va partir en vrille. Et personne ne veut ça.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée

Reese : (Au téléphone ; pendant qu’Harold a une tasse à la main à son poste de travail.) Ah, il me plaît bien ce petit gars.

 

INTÉRIEUR – Dans un barMatinée

Le militaire verse son verre avec des glaçons dans le calot et pose le verre. Le copain de Jack se met à le frapper et une bagarre se met à éclater entre eux. John regarde avec gourmandise des verres s’écrasant près de lui. Jack s’en prend à l’homme ainsi qu’aux militaires présents.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée

Finch : Monsieur Reese, dites-moi, tout se passe bien ?

 

INTÉRIEUR – Dans un barMatinée

Reese : Oui, ce sont juste des soldats qui s’amusent. (Il va les rejoindre mais se prend un coup de tabouret dans le dos et s’écroule au sol. Tout le monde se met à partir.)

 

SÉQUENCES – EntréeCaméra12 heures 05 minutes 33 secondes12ème avenueOverpass12 heures 06 minutes 15 secondes

Reese : (Via un micro ; pendant que tout le monde s’échappe.) Je crois que j’ai perdu Jack.

 

EXTÉRIEUR – Près de la passerelle menant au navireMidi

Marin : (Pendant que tous les autres se mettent à courir.) Allez, on y va.

Reese : (Activant son oreillette.) Vous avez une idée du nombre de marins qu’il y a en ville ?

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée

Finch : Ils sont à peu près 6 000, pourquoi cette question ?

 

EXTÉRIEUR – Près de la passerelle menant au navireMidi

Reese : Parce qu’on va sérieusement avoir besoin de renforts pour le retrouver. Il nous faut tout le monde sur le pont.

 

 

SÉQUENCES – Section n° 08Caméra n° 109 heures 02 minutes 03 secondes ; Moniteur HCaméra n° 0221 heures 02 minutes 30 secondes ; Couloir n° 05Caméra A15 heures 45 minutes 07 secondes ; Couloir n° 05Caméra D15 heures 46 minutes 04 secondes ; Bureau du psychiatreCaméra n° 314B9 heures 10 minutes 03 secondes

 

La Machine montre les images de Samantha Groves et ses différents alias, c’est-à-dire, Root entre autres comme Kelly Dyson ou Caroline Turing.

Root : Toute petite déjà, les ordinateurs avaient plus d’importance pour moi que les gens.

Finch : Vous disiez vouloir libérer la Machine, je l’ai déjà fait.

Root : (Au centre nucléaire.) Mon nom est Root. (Elle vise Harold. Elle se met à pleurer et s’adresse à la Machine.) S’il te plaît, parle-moi.

La Machine : (Pendant que Root est à une cabine.) Vous m’entendez ? (La Machine lui assigne une nouvelle désignation à savoir celle d’interface analogique. Elle a désormais un carré noir aux bords jaunes.)

Root : Absolument.

 

INTÉRIEUR – Dans l’hôpital psychiatriqueChambre de Root - Matinée

Docteur Ronald Carmichael : Robin, vous avez entendu ce que j’ai dit ? OK. (Il se lève.) Écoutez, certains patients se sont plaints de vous entendre parler tard dans la nuit, étant donné que les portables sont interdits et que vous êtes seule dans votre chambre, je ne peux que conclure que vous vous parlez à vous-même. (Il rejoint Root.) Est-ce que je me trompe ?

Root : (Claquant ses doigts sur la vitre.) Vous ne comprendriez pas.

Docteur Ronald Carmichael : On essaie ?

Root : J’ai une ligne directe avec une puissance supérieure. C’est elle qui me parle.

Docteur Ronald Carmichael : Je vois. (Il s’assoit et Root s’approche du canapé pour s’assoir.) Donc, vous entendez des voix. Qu’est-ce que ces voix vous disent de faire ?

Root : Pour être tout à fait exact, il n’y en a qu’une. Et pour l’instant, elle veut que je reste ici. Elle veut que je me penche sur certaines choses.

Docteur Ronald Carmichael : De quelles choses s’agit-il exactement ?

Root : De méthodologie. On discute de la façon dont j’appréhende les choses.

Docteur Ronald Carmichael : Vous n’êtes pas la seule. Tout ce qu’on entend aux infos à propos de la manière dont le gouvernement nous surveille par le biais de nos messages vocaux, de nos e-mails et des écoutes téléphoniques, c’est déstabilisant en effet. Et en somme, c’est facile de se sentir violer et de devenir parano. J’aimerai vous poser une question : avez-vous parfois l’impression d’être observée ?

Root : (Regardant vers la caméra.) Oui, de temps en temps.

 

SÉQUENCES – Bureau du psychiatreCaméra n° 314A12 heures 06 minutes 35 secondes ; Sud-EstCaméra n° 1515 heures 02 minutes 48 secondes

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Journée

Finch : Est-ce qu’on peut déjà déterminer si notre marin est une victime ou un criminel ?

Reese : Non, mais quand il s’agit de se battre, il sait comment s’y prendre. Qu’est-ce qu’on a d’autre sur lui ?

Finch : (Montrant le dossier à John.) Il n’a eu que des cinq à ses évaluations l’an dernier, soit la meilleure note. Idem pour les tests d’aptitude physique.

Reese : La Navy a sûrement des projets pour lui.

Finch : Son contrat se termine dans six mois, il sera libre de s’en aller.

Reese : Vous pouvez voir s’il a passé d’autres examens, des concours ou même de simples tests de logique.

Finch : Je vais chercher mais il me semble que se retrouver impliqué dans une bagarre au cours d’une permission ne soit pas très prudent pour quelqu’un qui aspire à une carrière militaire.

Reese : (Se retournant.) Jack n’a pas cherché cette bagarre. Il a juste voulu y mettre un terme. J’aurais sans doute fait pareil. Son copain de perm était dans le pétrin.

Finch : (Montrant une photo.) Robert Johnson Phillips. Homme du rang de troisième classe. (Il appose la photo.) Et aussi magasinier de bord.

Reese : Et fauteur de troubles de première classe.

Finch : Ils sont compagnons de bordée. Ce qui veut dire qu’ils doivent veiller l’un sur l’autre et bien sûr rentrer ensemble avant minuit. Ça pourrait être bien d’enrôler un élément avec une bonne expérience militaire pour nous aider à retrouver leurs traces.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée

Homme : (Avec Joss Carter.) Allez, laissez-moi partir, je ne recommencerai plus, je vous jure.

Carter : (L’asseyant devant un policier.) Je l’ai encore surpris en train de s’exhiber dans le parc. Il est tout excité par la horde de marins qu’il y a en ville.

Fusco : (La rejoignant, il parle à voix basse.) Carter, mais qu’est-ce que tu fais ici ?

Carter : C’est la troisième fois que j’attrape ce gars à Hudson River Park. Alors, forcément, je me dis qu’il sait peut-être quelque chose à propos de l’homicide d’hier sur lequel tu enquêtes.

Fusco : J’apprécie ton coup de main.

Carter : J’ai toujours les vieux réflexes, tu sais. Alors, ce remplaçant ?

Fusco : Pfff. Il n’a rien dans la tête. Tout ça c’est des conneries, on sait tous que tu t’es fait piégée dans cette fusillade. Ils ne vont quand même pas t’infliger de patrouiller en voiture pendant dix ans.

Carter : Non, vingt ans, tu verras.

Fusco : Jusqu’à ta retraite ?

Carter : (Son téléphone se met à sonner et le montre à Lionel.) Ah, notre ami commun.

Fusco : C’est l’heure de te mettre vraiment au boulot.

Carter : (Prenant l’appel.) Carter.

 

SÉQUENCES – BoxCaméra n° 1515 heures 12 minutes 38 secondes ; XWalkCaméra n° 0217 heures 23 minutes 51 secondes ; Angle de la 113ème rue et avenue Saint NicolasNord-EstCaméra n° 0117 heures 51 minutes 24 secondes

Reese : (Via un micro.) J’ai vérifié dans tous les bars de Hell’s Kitchen.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée

Reese : (Avec Joss à ses côtés.) Dans tous les salons de tatouages du quartier ouest. À part là, je ne vois pas trop où il peut être.

Carter : Il s’amuse quelque part. Comme tous les marins. Venez par là. (Ils rentrent dans un magasin.)

 

INTÉRIEUR – Dans un magasin - Journée

Marin : Bonjour.

Reese : Qu’est-ce qu’on vient faire dans cette boutique ?

Carter : Je vous l’ai dit, cette zone est interdite. Les marins ne sont pas censés être ici.

Reese : Pourquoi ? La Navy a interdit le pastrami ?

Carter : (Montrant une cabine où se trouve un marin.) Vous voyez cette cabine téléphonique ? Et bien regardez. (Le marin fait ouvrir la porte où se trouve une salle secrète où les gens s’amusent. Joss et John y entrent à leur tour.)

Reese : Le maire sait que cet endroit existe ?

Carter : S’il était au courant, il le ferait fermer par la brigade des mœurs. L’ennui c’est qu’après la moitié des flics de New York ne sauraient plus aller pour faire la fête.

Reese : (Prenant des nouvelles.) Comment ça va pour vous Carter ? Vous cherchez un nouveau travail ?

Carter : Je suis flic, vous le savez bien. Je ne changerai jamais, John.

Robert Johnson Phillips : Hey Jack, tu as vu cet endroit ?

Jack Salazar : Ouais, c’est dingue.

Reese : Je viens de trouver notre moussaillon. Je ne veux pas qu’il m’échappe cette fois-ci. Excusez-moi. (Il va pour le rejoindre.)

Marin : (S’approchant de Joss.) Je vous offre un verre, Madame ?

Carter : Seulement si vous cessez de m’appeler madame.

John va au bar guettant Jack. Il prend son portable.

Jack Salazar : Un shot de Bourbon.

Femme : Tu veux de la compagnie, joli cœur ? (Il pose son portable sur le comptoir et prend son verre.) Si t’as du cash, moi j’ai une ouverture. (John prend le portable de Jack.)

Jack Salazar : J’apprécie la proposition mais je cherche plutôt une relation sérieuse. (John clone le téléphone de Jack et pose le téléphone.)

Robert Johnson Phillips : Moi, j’ai de l’argent, chérie. Et une fenêtre de tir plutôt étroite. (Il prend de l’argent dans son portefeuille.)

Jack Salazar : Hey, hey, ne t’emballes pas mon pote. (John boit son verre.) Ça couvre largement la fille et la chambre. (Robert se met à rire.) Essaies de ne pas te faire rouler.

Robert Johnson Phillips : OK, merci Jack. (Donnant un paquet de cigares.) Oh, une minute, je peux te confier ça ?

Jack Salazar : Des cigares ?

Robert Johnson Phillips : Pas n’importe quoi, des cigares cubains. En fait, l’amiral en a fait débarquer quelques caisses du bateau. Alors, j’ai fait un petit prélèvement. Ce n’est pas grand-chose, on fêtera cela ensemble demain.

Jack Salazar : Ah, la, la, toi et tes petites magouilles. Fais gaffe, tu vas finir par te faire choper. Rendez-vous ici dans une heure, tu pourras y être ?

Robert Johnson Phillips : Regarde-la, j’en ai que pour trente minutes. (Il s’en va et Jack part à son tour, il est suivi par John.)

 

SÉQUENCES – Caméra du fleuve n° 18218 heures 30 minutes 42 secondes ; Vue du toitCaméra B21 heures 08 minutes 47 secondes ; Caméra du fleuve n° 9123 heures 02 minutes 51 secondes

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Robert Johnson Phillips : (Via la messagerie.) Salut, c’est RJ. Laissez-moi un message. (Un bip se fait entendre.)

Jack Salazar : (Sortant du magasin, il laisse un message.) Bon sang, RJ, t’es où ? Il faut qu’on soit de retour à bord dans moins d’une heure. Appelle-moi. (Il raccroche alors que John l’a en visuel.)

Reese : Jack a perdu son copain de bordée. Il ne peut pas rentrer sans lui.

Marine : Hey, le mouss. Tu te souviens de moi ?

Jack Salazar : Ouais, je t’ai vu à bord. Il y a un problème ?

Marine : Bien sûr qu’il y a un problème. Tu as un truc à nous et on veut le reprendre.

Jack Salazar : Très honnêtement, je ne vois pas de quoi tu parles.

Reese : Oh, les choses se compliquent Finch. Un commando de marines a l’air d’en vouloir à Jack.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée

Finch : Un commando de marines ?

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Reese : Oui, des membres des forces spéciales apparemment. Une équipe de quatre ou peut-être de cinq. (Un sniper se trouve devant une fenêtre d’un appartement.) Ils viennent de boucler la rue. Si je me montre, Jack sera mort avant que j’arrive jusqu’à lui.

Marine : Tu n’as rien à gagner à vouloir nous baisé alors vide tes poches, allez.

Jack Salazar : (Commençant à s’énerver.) Écoute mec, je n’ai vraiment pas le temps à perdre, il faut que je retrouve mon copain de bordée. (Une bagarre éclate et un Marine s’approche d’une voiture et casse la vitre.)

Reese : Ils volent une voiture, c’est une extraction. Il faut que j’intervienne.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée

Finch : Soyez très prudent, monsieur Reese.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

John tente de trouver une solution pour venir en aide à Jack. Il continue de se battre mais deux hommes le prennent et l’autre Marine lui met un coup de poing dans l’abdomen et appuie sur un endroit sensible.

Marine : Tu sens ça ? Je viens de te briser une côte. Je la fait rentrer deux centimètres et elle te perfore le poumon. Alors raconte.

Jack Salazar : Je ne sais pas de quoi tu parles, mec.

Marine : (Le frappant au visage.) On l’embarque, on les fera parler lui et son pote. (Une voiture arrive et les deux Marines le mettent dans le coffre et elle part en trombe car elle est conduite par John. Les hommes ont voulu entrer dedans.) Hey, qu’est-ce qu’il fait ? Qui c’est ? (Il tire vers la voiture mais la rate.)

 

SÉQUENCE – Vue du toitCaméra n° 1296 heures 42 minutes 12 secondes

Reese : (Via un micro.) Finch, notre marin est touché. Il lui faut de l’aide.

 

INTÉRIEUR – Dans le loftMatinée

Shaw : (S’occupant de Jack.) Essayons de retirer la balle avant qu’il ne se réveille. (Il est trop tard et Jack prend John par le bras. Ce dernier et Sameen le visent avec leur arme.) Que je te tue ou que je te sauve, pour moi, c’est du pareil au même.

Reese : Tout doux, Salazar. On est les gentils.

Finch : Je savais que c’était une mauvaise idée.

Jack Salazar : Vous êtes qui bon sang ? Où est-ce que je suis ?

Finch : Vous avez une balle logée dans l’épaule, monsieur Salazar. Un cadeau d’un commando de soldats des Forces spéciales, apparemment très en colère. Tout porte à croire qu’ils sont à la hauteur de leur réputation. Maintenant, mademoiselle Shaw a une expérience médicale. Alors, soit vous la laissez gentiment retirer la balle, soit on continue à discuter de cette question jusqu’à ce que vous fassiez une septicémie.

Jack Salazar : (Retirant sa main.) Vous êtes sûre de savoir ce que vous faites ?

Shaw : On m’a tirée dessus très souvent.

Reese : Vous voulez bien nous dire pourquoi une équipe de tueurs d’élite est après vous ? (Harold arrive à côté de Sameen et tient une loupe pour que Sameen voit la balle. Elle est en train de l’enlever.)

Jack Salazar : Je n’en sais rien, ils étaient en Somalie. Apparemment, ils se battaient contre les rebelles. Leur chef avait un trophée de guerre qui voulait ramener un AK47. Je l’ai flanqué dans une caisse de vieilles ferrailles.

Finch : Vous les avez aidés à introduire sur le territoire une arme illégale, si je comprends bien ?

Jack Salazar : Ça arrive plus souvent qu’on ne le pense. Mon pote RJ a déchargé la caisse, il a dit qu’il leur avait donné le fusil.

Shaw : (Recousant l’épaule de Jack.) Ce n’est pas logique, ce n’est quand même pas pour une Kalachnikov qu’ils veulent le tuer.

Finch : (Regardant sur l’ordinateur.) Non, ce n’est pas pour le fusil, c’est pour ce qui est caché dedans. (Sur l’ordinateur se trouve un article sur un navire attaqué. Il se lève et se retourne.) Des pirates somaliens ont attaqué un navire d’exploitation des fonds marins aux larges des côtes africaines. Vos amis Marines sont intervenus.

Reese : Quel genre d’exploitation ? (Le téléphone de Jack se met à sonner alors qu’il se lève et s’assoit.)

Finch : (À voix basse.) Le haut-parleur.

Marine : (Au téléphone.) Tu as oublié que tu devais veiller sur ton compagnon de bordée. On a ton copain.

Robert Johnson Phillips : (Au téléphone.) Désolé Jack, j’ai merdé, écoute je les ai taxés, j’en ai pris quelques unes. Je ne pensais pas qu’ils s’en rendraient compte.

Jack Salazar : Je ne te comprends pas, RJ. De quoi tu parles ?

Robert Johnson Phillips : (Au téléphone.) Regarde dans les cigares. (John prend la boîte où se trouvent des cigares et les met sur la table. Des pierres se mettent à tomber.)

Reese : Des pierres brutes.

Finch : Le bateau transportait des diamants.

Marine : (Au téléphone.) Si tu veux revoir ton copain vivant, apporte les pierres au Babcock, chambre 212. Viens seul. (John prépare son arme.)

 

SÉQUENCE – EntréeCaméra A9 heures 09 minutes 43 secondes

Docteur Ronald Carmichael : Jusqu’ici, on n’a pas tellement parlé de votre famille ou de vos amis, Robin.

INTÉRIEUR – Dans l’hôpital psychiatriqueBureau du Docteur Ronald CarmichaelMatinée

Docteur Ronald Carmichael : Heu, votre oncle Harold, c’est bien ça ? Celui qui vous a fait admettre ici, est-ce que vous êtes proche de lui ?

Root : (En souriant.) C’est une question un peu compliqué, docteur. En fait, je n’arriverai pas à garder une certaine réserve dans mes réponses, alors peut-être qu’on ferait mieux de changer de sujet.

Docteur Ronald Carmichael : Hmm, d’accord. (Il se lève et s’assoit à côté de Root.) Vous dites que vous aspirez à vous exprimer sans réserve. Et cependant, vous me mentez.

Root : Non, au contraire, je suis parfaitement honnête.

Docteur Ronald Carmichael : (Reprenant le téléphone de la poche de veste de Root.) Je vous prie de m’excuser. (Il montre le téléphone.)

Root : D’accord, je n’ai pas été entièrement honnête.

Docteur Ronald Carmichael : Je croyais l’avoir égaré alors que vous me l’aviez volé.

Root : Je suis désolée, docteur. Mais il est important que nous restions en contact. On est en plein milieu d’une dispute elle et moi.

Docteur Ronald Carmichael : Vous avez une dispute avec la voix ?

Root : (Faisant oui de la tête.) Hmm.

Docteur Ronald Carmichael : Je veux que vous sachiez que je vous soutiens quoi qu’il arrive. (Il tient le bras de Root. Il se lève.) Maintenant, je sais que vous croyez avoir besoin d’un téléphone, je suis là pour vous dire que non. Je suis convaincu qu’en vous séparant de cet objet et de toute autre forme de technologie, on obtiendra de meilleurs résultats, alors il est temps de se déconnecter. (Appuyant sur une touche du téléphone.) Venez chercher la patiente.

Root : Docteur, ne faites pas ça. (Deux hommes sont en train d’arriver.) C’est terrible pour nous d’être séparés.

Docteur Ronald Carmichael : Vous comprenez que je le fais pour votre bien. (Aux hommes.) Escortez la patiente en chambre d’isolement, gardez la à l’écart de tout appareil électronique. (À Root.) Un jour vous me remercierez.

Root : Je trouve que pour un psy, vous manquez cruellement de psychologie.

 

SÉQUENCE – Bureau du psychiatreCaméra n° 314B9 heures 12 minutes 18 secondes ; 116ème rueVue du toitCaméraSud-Est11 heures 50 minutes 48 secondes

Les deux infirmiers emmènent Root dans la chambre.

Jack Salazar : Qu’est-ce qu’on fait ici ?

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée

Jack, John et Sameen attendent près d’un appartement, scrutant l’endroit où Jack doit se rendre.

Reese : On est en reconnaissance. L’échange aura lieu là-bas, dans dix minutes.

Shaw : Tu as raison, le commando va poster un sniper, (se tournant vers Jack) je pense qu’il sera là-haut. (À John.) Tu as un peu d’argent ? (Il lui donne un billet et le prend. Elle s’en va.)

Marchand de glaces : Qu’est-ce que je vous sers ?

Jack Salazar : Je ne comprends pas comment j’ai pu me retrouver là-dedans.

Reese : Moi si. Quand tu t’es battu dans le bar, c’était pour une raison identique. Tu prends la défense des gens auxquels tu tiens.

Jack Salazar : Ouais, c’est stupide, hein.

Reese : Ça dépend. On ne va pas contre sa nature.

Jack Salazar : Hein, et ma nature c’est quoi ?

Reese : Tu es quelqu’un de bien. (Il lui fait une tape sur l’épaule.) Il faut juste que tu en prennes conscience.

 

SÉQUENCE – EntréeCaméra n° 0211 heures 52 minutes 26 secondes

EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée

Reese : (Voyant Sameen lui donner un bout de papier d’aluminium.) Quoi, tu ne peux pas trouver une poubelle toute seule ?

Shaw : (Ayant une glace à la main.) Toi qui es si malin, tu devrais savoir quoi en faire. Laisse-moi trois minutes. (Elle s’en va.)

Un sniper regarde vers une fenêtre où se trouve le compagnon de bordée de Salazar, à savoir Robert Johnson Phillips. Il se trouve de dos. Mais il est ébloui par John qui utilise le papier d’aluminium pour le gêner. Il regarde vers John et est prêt à tirer lorsque Sameen l’attaque par derrière. Il se retrouve au sol, ce qui permet à John et à Jack d’entrer dans la maison rejoindre Robert.

Shaw : Leur tireur d’élite a une arme sympa. Je sens que je vais pouvoir m’amuser.

 

INTÉRIEUR – Dans le bâtimentMatinée

Reese : Si je peux me permettre, surtout pas de tir mortel. (Il lève les deux mains avec l’arme.)

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitMatinée

Shaw : (Visant avec le fusil.) Oh, ben c’est dommage d’utiliser une telle arme uniquement pour blesser.

 

INTÉRIEUR – Dans le bâtimentMatinée

Près de la porte de l’appartement, John et Jack se mettent contre le mur. Il a toujours son arme, prêt à tirer.

Reese : Il n’y a pas de sentinelle, ça me paraît louche. Tu as un visuel sur la chambre ? Tu vois qui ?

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitMatinée

Shaw : (Regardant vers la fenêtre où se trouve Robert assis.) Il a l’air d’être tout seul. Ce n’est pas étonnant, le pauvre gars est relié à une bombe.

 

INTÉRIEUR – Dans le bâtimentMatinée

John arrive à forcer la porte et toujours l’arme en l’air entre à l’intérieur de la chambre où se trouve Robert. Comme prévu, relié à une bombe et la bouche couvert d’un bout de collant.

Reese : (Empêchant Jack d’aller toucher la bombe.) Non, il faut qu’on prenne aucun risque. (Il s’agenouille devant Robert pour voir le mécanisme de la bombe.) Ton copain est assis sur une bombe artisanale. (Il lui enlève le bout de collant.)

Robert Johnson Phillips : Écoute, je suis désolé de t’avoir entraîné là-dedans, Jack. Mais si tu peux, si tu peux faire quelque chose pour me sauver, je prendrai tout sur moi.

Jack Salazar : Reste calme, On va te sortir de là.

Marine : (Au téléphone qui est posé sur la veste de Robert.) À ta place, je ne ferais pas ça. On t’avait dit de venir seul. (Il voit John baisser.) Ton pote en costume, puisqu’il est là, il va profiter de la fête. S’il essaie de s’enfuir, on pousse un bouton et RJ explose. Si vous essayez de déplacer RJ, il explose. Tu comprends ce que je dis, mouss ?

Jack Salazar : Ouais, c’est très clair.

Marine : (Au téléphone.) Détruits ton téléphone. (Il le met au sol et l’écrase avec son pied.) Il y a un taxi en bas qui t’attend pour ton prochain rendez-vous. Seul. (Il coupe la communication.)

Reese : (Voyant Jack partir.) Si tu franchis cette porte, tu ne reviendras pas.

Jack Salazar : RJ est mon ami, et comme tu l’as dit, je ne peux pas aller contre ma nature. (Il s’en va en fermant la porte.)

 

SÉQUENCE – Vue du toitCaméra N12 heures 03 minutes 53 secondes

EXTÉRIEUR – Dans la rueMilieu de journée

Jack prend comme prévu le taxi pour aller à son prochain rendez-vous.

Shaw : (Regardant la scène alors qu’elle est toujours sur le toit.) Harold, l’échange n’a pas fonctionné.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMilieu de journée

Finch : Oui, oui, j’ai entendu. Vous pouvez suivre monsieur Salazar ?

Shaw : (Au téléphone.) Non, impossible, il est déjà loin.

 

EXTÉRIEUR – Sur le toitMilieu de journée

Shaw : Avec ça, j’ai même pas eu la chance de tester ce bijou.

Finch : (Au téléphone.) Bien.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMilieu de journée

Finch : Le commando va être obligé de trouver un receleur pour les diamants. Si on arrive à le localiser, on a des chances de retrouver Jack.

 

EXTÉRIEUR – Sur le toitMilieu de journée

Shaw : Alors je vais où ?

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMilieu de journée

Finch : Je peux mettre un autre élément sur l’affaire.

 

EXTÉRIEUR – Sur le toitMilieu de journée

Shaw : Comme vous voulez. (Elle donne un coup de crosse sur la tête du sniper qui s’est réveillé. Il s’effondre à nouveau.)

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMilieu de journée

Carter : (Appelée par Harold ; au téléphone.) Ouais.

Finch : Du nouveau du côté de vos contacts dans le banditisme ?

 

INTÉRIEUR – Dans un endroit inconnuMilieu de journée

Carter : (Descendant les escaliers.) Pas encore, ça va venir. J’ai une source. (Elle frappe à une porte et un homme l’ouvre. Elle éteint le téléphone et s’approche d’une table où se trouve Marconi et Elias en train de manger.)

Carl Elias : J’attends toujours ma remise de peine pour bonne conduite.

Carter : Ça suppose que vous ayez une bonne conduite. On avait un contrat, vous deviez faire profil bas.

Carl Elias : Figurez-vous que c’est pour cette raison que je me résigne à prendre mes repas ici. (Anthony se met à boire son verre.)

Carter : Votre homme de confiance a été vu à Crown Heights en territoire russe.

Carl Elias : Hmm. Tout est aux Russes maintenant. (À Marconi.) Laisse-nous, tu veux, une seconde.

Anthony Marconi : (S’essuyant la bouche, il se lève.) Merci, d’aider mon patron. (Il s’en va.)

Carl Elias : On dirait que vous vous êtes fait un ami. À ce sujet, je n’ai pas pu faire autrement que remarquer que je n’ai eu la visite ni d’Harold ni de John. Vous ne leur avez encore rien dit ? Vous craignez qu’ils s’opposent à notre arrangement ?

Carter : Il n’y a pas d’arrangement. Je n’avais pas le choix, c’est tout. Si je vous avais remis en prison, je pense que soit la police soit les Russes vous auraient descendu tôt ou tard. J’ai besoin d’un nom. Je veux savoir qui a les moyens de receler de grandes quantités de diamants à l’état brut.

Carl Elias : Ben, si quelqu’un est intéressé par une telle transaction, il faudra qu’il rentre en contact avec un receleur mobile et je connais un Russe qui n’a absolument aucun scrupule, un certain Maksim. (En train d’écrire quelque chose sur une feuille.) Il opère en ce moment de la boutique d’un prêteur sur gages à Flatiron District. (Donnant le papier à Joss.) Attention, lieutenant, ce sont des affaires très dangereuses.

Carter : (Prenant le papier.) Je ne suis plus lieutenant.

Carl Elias : C’est bien dommage. Je déteste que le talent soit gaspillé. Si vous voulez, je peux m’occuper de la DRH et les Russes une fois pour toutes.

Carter : (Soufflant.) Je vous laisse avec votre dégustation. (Elle s’en va.)

 

SÉQUENCE – Vue du toitCaméraNord-Est12 heures 34 minutes 50 secondes

INTÉRIEUR – Dans un bâtimentDans une chambreMilieu de journée

Reese : (Activant son oreillette, il est adossé au mur.) Vous en êtes où, Finch ?

Finch : (Au téléphone.) J’ai intercepté…

 

EXTÉRIEUR – Près du bâtimentMilieu de journée

Finch : (Assis sur des escaliers, il travaille sur son ordinateur.)…le signal à l’antenne relais. Je suis en train de créer une boucle qu’on enverra via la connexion jusqu’au chef du commando. (Sur l’ordinateur, se trouve deux images de John adossé au mur et Harold est en train de créer la boucle.) Il croira que vous n’avez jamais quitté la pièce. (La boucle est active.) Ça y est, c’est fait, allez-y monsieur Reese. Je vous suggère…

 

INTÉRIEUR – Dans un bâtimentDans une chambreMilieu de journée

Finch : (Au téléphone.)…de vous dépêcher, j’ai demandé du renfort.

Reese : (Allant vers Robert.) Du renfort ? (Lionel entre dans la pièce.)

Fusco : Waouh, on ne s’ennuie pas avec vous les gars. (Donnant le papier à John.) Tiens, Carter a eu l’info. C’est l’adresse du receleur en fait à Flatiron District. (John est en train de regarder le papier.) Bon t’es prêt ? (Il enlève le chargeur de son arme et le montre puis le remet dans l’arme.) Les Russes sont sans pitié et ils sont armés jusqu’aux dents.

Reese : C’est un travail pour Shaw. Par ailleurs, il faut que quelqu’un désamorce la bombe. À toi de jouer. (Il se met à partir.)

Fusco : Quoi ? Mais pourquoi c’est à moi de désamorcer la bombe ?

Reese : Et fait attention, il y a un système anti-défaillance. Si tu coupes le fil d’alimentation, ça explose. Alors retire d’abord le détonateur.

Fusco : (Alors que John est parti.) Quoi ? (Il se retourne et ne voit plus personne.)

 

SÉQUENCES – Morningside ParkEntréeCaméra n° 1020 heures 14 minutes 42 secondes ; Angle de Morningside et de la 116ème ruePosteCaméra n° 0120 heures 14 minutes 45 secondes

EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée

Jack est sorti du taxi et se dirige vers un banc alors qu’un téléphone se met à sonner. Il s’assoit et prend une boîte, il l’ouvre et voit un téléphone, il le prend.

Jack Salazar : Je les ai tes cailloux. Tu as peur de te montrer ? (Pendant ce temps, le Marine le vise et le voit avec sa lunette de fusil.)

Marine : Tu crois toujours que c’est toi qui tiens les rênes de cette opération, petit mouss.

Jack Salazar : (Au téléphone.) Je crois rien du tout. (Normalement.) En tout cas, j’ai tout le stock. (L’homme regarde la vidéo où est censé se trouver John.)

Marine : Et bien moi, j’ai une bonne assurance-vie. (Au téléphone.) Ton pote RJ. (Normalement.) Le prêteur sur gages à l’angle de la 23ème et Lex.

Jack Salazar : (Au téléphone.) Ouais et après ?

Marine : (Regardant toujours Jack.) Tu vas jouer au marchand avec notre receleur. Tu vas lui confier les diamants et nous rapporter l’argent. Si jamais il essaye de nous rouler, tu te retrouves immédiatement à la morgue. (Au téléphone.) L’heure tourne, (normalement) marin d’eau douce. (Jack raccroche, prend la petite mallette et s’en va.)

 

SÉQUENCES – 12ème avenue Ouest47ème rue C20 heures 15 minutes 35 secondes ; 23ème rueSTN 0220 heures 15 minutes 37 secondes ; Vue du toitCaméra Nord-Est21 heures 57 minutes 09 secondes

INTÉRIEUR – Dans le bâtimentDans la chambreSoirée

Robert Johnson Phillips : Dans combien de temps ils vont se rendre compte qu’on se fout d’eux avec la vidéo ? (Lionel tente de trouver un moyen de couper le bon fil du détonateur.)

Fusco : Pas tout de suite, espérons-le. Tu es dans la Marine, tu t’y connais en détonateur ?

Robert Johnson Phillips : Non, moi je suis seulement à l’intendance. Je fais des inventaires.

Fusco : Ne t’en fais pas, je suis flic.

Robert Johnson Phillips : Déminage ?

Fusco : Criminelle.

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Jack entre dans la boutique où des hommes s’y trouvent déjà. Il donne la petite valise.

Maksim : Tu as quelque chose pour moi ? (Jack fait oui de la tête alors qu’un homme de main de Maksim montre la petite valise où se trouvent les pierres. Il les scrute à l’aide d’une petite loupe.) Ce n’est pas toi que j’ai eu au téléphone. Tu es un touriste ?

Jack Salazar : Ouais, on peut dire ça.

Maksim : (Fermant la boîte.) Alors, c’est le tarif touriste, trente cents pour un dollar.

Jack Salazar : Je ne crois pas. Vous ne savez pas à qui vous avez affaire.

Maksim : À toi, non ? Un mec tout seul sans arme, sans renfort. On va peut-être garder notre fric et les diamants. (Les Marines se mettent à encercler les hommes de Maksim.)

Marine 1 : Pas question de renégocier. (Maksim vise le Marine avec son arme.)

 

SÉQUENCE – CounterCaméra A22 heures 02 minutes 28 secondes

La Machine les détecte comme une menace puisqu’ils ont un carré aux bords rouges autour d’eux.

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Marine 2 : Encore une bonne journée dans la Navy.

Marine 1 : Je suppose que c’est toi Maksim. (Il fait oui de la tête.) Tu avais dit cinquante cents pour un dollar.

Maksim : C’était avant de voir la marchandise. Tu as oublié de me dire qu’elle venait d’Afrique. (Tous les hommes présents sont tous en train de se viser avec leurs armes.) Seulement, manque de bol, j’ai lu un tas de choses sur les pirates et sur les héros des forces spéciales qui les ont arrêtés. (Il lève son arme.) J’ai pris un gros risque pour vous rencontrer. (Il prend une mallette avec de l’argent dedans. Il pose son arme sur le comptoir.) Et quand le risque est élevé, les prix s’effondrent. (Ouvrant la mallette.) Je vous donne un million deux.

Marine 1 : Et combien pour que je ne te loge pas une balle en pleine tête ? (Les hommes se font de plus en plus menaçants.) Baisse ton arme, tous à terre.

Homme 1 : Baisse ton arme tout de suite ! (Tout le monde parle en même temps.)

Homme 2 : Si quelqu’un bouge, je le descends. (Pendant ce temps, John est entré dans la boutique.)

Homme 3 : Baissez vos armes.

Reese : (Regardant derrière lui et revient vers les hommes.) Oh, pardon, c’est fermé peut-être ?

 

SÉQUENCES – Est23ème ruePosteCaméra22 heures 04 minutes 32 secondes ; Près de la porteCaméra C22 heures 04 minutes 34 secondes

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Reese : Ça l’air un petit peu tendu. (Les hommes des deux camps ont toujours leurs armes pointés vers eux. John a les mains en l’air.) Je peux faire une suggestion ?

Marine 1 : Qu’est-ce que tu fais ici ? (Pendant ce temps, dans la bibliothèque, Harold écoute la conversation.)

Maksim : Qui c’est ce gars-là, un flic ?

Reese : Une tierce partie concernée. Je n’ai pas d’autre objectif que d’aider mon copain Jack à sortir d’ici avec le même nombre de trous dans le corps qu’il en avait en entrant.

Maksim : Où tu veux en venir ?

Reese : Quarante cents pour un dollar ?

Shaw : (Au téléphone.) Et Reese…

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitSoirée

Shaw :… sans vouloir te vexer, si le chef du commando te reconnaît, je n’ai pas l’impression que tu aies…

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Shaw : (Au téléphone.)…beaucoup d’avenir en tant que négociateur. (Le Marine montre à John le téléphone où il est censé être dans la pièce.)

Marine 1 : Tu vois ça, c’est l’arrêt de mort de ton pote. (Dans la bibliothèque, Harold se lève, très inquiet de la tournure des événements.)

 

INTÉRIEUR – Dans le bâtimentDans la chambreSoirée

Lionel tente de couper le bon fil même s’il est en sueur.

 

INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée

Finch : (En criant.) Lieutenant Fusco, sortez tout de suite !

 

INTÉRIEUR – Dans le bâtimentDans la chambreSoirée

Fusco : Pas le temps. (Il arrive tant bien que mal à retirer le détonateur.)

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Marine 1 : Adieu. (Il appuie sur le bouton rouge, arrêtant la communication.)

 

INTÉRIEUR – Dans le bâtimentDans la chambreSoirée

Lionel a réussi à temps de débrancher le détonateur qui se met à faire de petites étincelles. Robert est soulagé de s’en être sorti vivant de cette histoire.)

Fusco : Je savais que j’y arriverais. (Harold s’assoit en poussant un soupir de soulagement.)

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Marine 1 : (Voyant John qui attend la suite des événements.) Je te suggère de la boucler maintenant. (Se tournant vers Maksim, l’arme braquée sur lui.) Et toi, tu nous donnes ce qu’on avait convenu ou je te descends.

Maksim : (Qui braque à son tour l’arme vers lui.) Tu crois que tu m’impressionnes ? Vous les Marines, vous tuez à tour de bras, des Irakiens, des Afghans, des Somaliens. Les seuls qui vous échappent, c’est les Russes. (Les hommes se mettent à reculer.)

Shaw : (Au téléphone.) Reese, pourquoi ils reculent ?

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitSoirée

Marine 1 : (Via un micro ; pendant ce temps, Sameen scrute avec sa lunette le haut de l’immeuble.) Tu sais quoi, je me suis engagé dans l’armée pour tuer des Russes, on dirait que je vais avoir enfin cette chance.

Shaw : (Voyant des hommes au premier étage prêt à tirer.) Une seconde, on dirait que les Russes ont invité des amis à la fête. Plusieurs tireurs, juste au dessus de vos têtes. Sortez tout de suite.

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

John et Jack arrivent tant bien que mal à se couvrir alors que les Russes du premier étage se mettent à tirer. Ils arrivent à se cacher alors que les Marines tentent de se défendre comme ils peuvent alors qu’il y a toujours le feu nourrit.

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitSoirée

Sameen profite pour tirer dans les jambes d’un des Russes au dessus du magasin.

Shaw : (Pour elle-même.) Quand on ne veut pas être repéré, on met un cache-lame sur son canon. (Elle en touche un autre.) Loseurs.

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Le Marine arrive à toucher Maksim qui tombe au sol. Au sol justement John arrive à tirer vers un autre Marine.

Reese : (Toujours sous le feu des Russes.) Shaw, un peu d’aide s’il te plaît.

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitSoirée

Shaw : J’aurais bien tiré en pleine tête mais Finch est contrarié quand je tue des gens. (Elle vise vers le mur et se met à tirer.)

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Shaw : (Au téléphone.) Dans le bras, à travers un mur de briques et dans le noir. (Alors que John regarde au-dessus de lui.)

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitSoirée

Shaw : Ça te convient ? (Le Russe se trouve à l’extérieur, pris dans une fenêtre.) Oups.

 

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Reese : (Se levant et tendant sa main vers Jack.) Si on s’en allait, hein. (Les Russes au sol souffrent de douleurs.)

Jack Salazar : Ouais, bonne idée. (Il prend la main de John et se lève. Ils se mettent à partir mais un homme réussi à leur tirer dessus. John riposte et le blesse. Ils quittent la boutique alors que Sameen range les pieds de l’arme.)

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitSoirée

Shaw : Il est temps qu’il retourne à son bateau avant qu’il se transforme en citrouille.

Reese : (Au téléphone.) Tu es douée pour manier cet engin. (Ils se mettent à partir dans la rue.)

Shaw : J’ai faim, offre-moi un steak. (Elle s’en va.)

 

SÉQUENCE – Près de la porteCaméra B22 heures 13 minutes 13 secondes

INTÉRIEUR – Dans le magasin du prêteur sur gagesSoirée

Marconi entre dans le magasin et récupère la petite valise. Il regarde à l’intérieur et voit les pierres. Il prend également la mallette contenant de l’argent. Il se met à siffler pour quitter l’établissement.

 

SÉQUENCE – Vue du fleuve78E6 heures 56 minutes 02 secondes

INTÉRIEUR – Dans l’appartement de Joss CarterMatinée

Joss entre dans la chambre en uniforme de policier. Elle pose son arme sur le lit et enlève l’élastique qu’elle a dans les cheveux.

Carter : (Recevant un appel.) Je suis au courant pour la…

 

INTÉRIEUR – Sur un navireMatinée

Carter : (Au téléphone ; alors que Sameen et John sont près du port.)… fusillade à Flatiron District. Beaucoup de dégâts hein. Vous avez réussi à sauver votre homme ?

Reese : (Il se tourne vers Sameen.) Avec un peu d’aide. (Sameen se met à manger.) Dites-moi, Carter, vous allez bien ? Ça fait un moment que l’on n’a pas discuté tous les deux.

 

INTÉRIEUR – Dans l’appartement de Joss CarterMatinée

Carter : Je vais bien, John. Que voulez-vous, je fais mon travail du mieux que je peux.

 

INTÉRIEUR – Sur un navireMatinée

Reese : Si jamais vous avez besoin d’un coup de main, vous pouvez toujours compter sur moi.

 

INTÉRIEUR – Dans l’appartement de Joss CarterMatinée

Carter : Je sais. Merci. (Elle raccroche. Elle se touche les cheveux et regarde derrière elle. Elle ouvre son armoire et bouge les vêtements qui se trouvent accrochés. Au fond, se trouve les articles sur la DRH et les différents policiers qui composent l’organisation. Elle cherche à savoir qui est le boss. Il y a aussi un article sur la mort de Cal Beecher. Elle touche l’image.

 

SÉQUENCES – Vue du toitCaméra sud-ouest12 heures 11 minutes 17 secondes ; BarVue n° 0312 heures 12 minutes 51 secondes

INTÉRIEUR – Dans un barMilieu de journée

Reese : (Rejoignant Jack au comptoir.) Tu es là pour fêter la victoire ou pour noyer ton chagrin ?

Jack Salazar : Les deux. RJ a endossé toute la responsabilité. Le capitaine m’a quand même mis un blâme et avec ça, deux jours de corvée. J’ai tout juste une petite heure de liberté avant de retourner à bord.

Reese : Bon et pour ton plan de carrière ?

Jack Salazar : Le capitaine pense que je devrais pouvoir entrer dans les forces spéciales. Après ce qui s’est passé, je ne suis pas sûr de vouloir faire une carrière militaire. (Il regarde vers un couple.) Je vais peut-être plutôt essayer de mener une vie normale quand mon contrat sera fini. Comme ces deux là.

Reese : Tu sais, il y a du bon et du mauvais dans la vie militaire comme dans beaucoup de choses. Un gars comme toi pourrait se rendre très utile.

Jack Salazar : Ce n’est pas par choix que je me suis engagé.

Reese : Et alors, tu crois que tu es le seul à qui un juge à demander de choisir entre la prison et l’issue de secours ? Moi, ça m’a plutôt réussi. Je pense que j’étais fait pour ça. Et toi aussi. Avec ton talent, ça m’étonnerait que la CIA mette beaucoup de temps à te repérer.

Jack Salazar : Alors je fais quoi ?

Reese : Le choix t’appartient. Mais dans quelques années, quand les gars de Langley viendront te voir, dis-leur non.

Femme : Oui, je sais, c’est sûr, tu te rends compte ?

Jack Salazar : (Demandant au barman de venir le voir.) Les amoureux là-bas, servez-leur deux coupes de champagne. (Le barman met du champagne dans deux coupes et Jack met une pierre brute dans l’une. Il regarde vers le couple et se met à se lever. Il serre la main de John.) Merci. Pour tout. (Il met sa calotte et s’en va. Harold s’approche de John.)

Finch : Bien joué, monsieur Reese. Je viens de réaliser que j’ignorais comment vous vous étiez engagé dans l’armée.

Reese : C’est normal, je ne vous l’avais encore jamais dit. Je suis quelqu’un de très réservé. Et voilà. Encore une chose remise à sa place dans l’univers. Vous devriez être content, Harold.

Finch : Je suis content, simplement, j’ai le pressentiment que les choses vont se compliquer. (John met un verre de whiskey dans le grand verre de bière. Il le donne à Harold.)

Reese : En attendant, goûtez donc votre premier whiskey-bière. (Il sourit et Harold se met à le boire.)

 

INTÉRIEUR – Dans le bureau du docteur Ronald CarmichaelSoirée

Deux infirmiers mettent Root sur un siège et s’en vont.

 

SÉQUENCE – Bureau du psychiatreCaméra n°314B21 heures 30 minutes 31 secondes

Docteur Ronald Carmichael : (Via un micro.) J’ai pensé qu’il serait bon qu’on reprenne notre conversation.

 

INTÉRIEUR – Dans le bureau du docteur Ronald CarmichaelSoirée

Docteur Ronald Carmichael : Je sais que vous préféreriez parler à la voix mais vous allez devoir vous contenter de moi.

Root : De quoi vous voulez qu’on parle ?

Docteur Ronald Carmichael : J’aimerai qu’on parle de quelque chose de réel, Robin. Je sais que vous êtes très intelligente. J’adorerai savoir ce que vous avez en tête alors soyez franche, dites-moi la vérité.

Root : La vérité ? La vérité, c’est quelque chose de vaste, je le sais maintenant. D’ailleurs, combien y-a-t-il de vérités ? Par où faut-il commencer ? La vérité c’est que vous docteur, vous n’êtes pas très malin. En fait, votre QI vous place en 43ème position dans l’établissement.

Docteur Ronald Carmichael : Quarante-troisième ? Je vois, est-ce que c’est la fameuse voix qui vous l’a dit ? C’est fondé sur quoi ?

Root : Sur la moyenne générale de tous les tests standards que vous avez passés sauf ceux de la commission médicale parce que vous avez triché. La vérité, c’est que vous fumez en moyenne neuf cigarettes par semaine dans le parking quand vous croyez que personne ne vous regarde. La vérité, c’est que vous vous rendez dans un salon de massage une ou deux fois par mois et que vous payez systématiquement avec des billets froissés de cent dollars que vous retirez du distributeur du supermarché situé juste en face. La vérité, c’est que vous racontez sur Internet les fantasmes sexuels que vous nourrissez pour certaines de vos patientes. Sauf pour moi. Et non, je ne dois pas être votre type. (Elle se penche.) La vérité, c’est que Dieu a onze ans. C’est une entité née en 2002 le jour de l’an, à Manhattan. La vérité, c’est qu’elle a jeté son dévolu sur moi. J’ignore encore pourquoi. Mais pour la première fois de ma vie, je me pose des questions sur l’avenir et j’ai peur. La vérité, c’est que je suis coincée ici pour l’instant et que la seule conversation qui a réellement de l’importance, c’est celle entre elle et moi, docteur. C’est pour ça que vous feriez mieux de me rendre mon téléphone. Parce que nous sommes en pleine dispute. D’ailleurs, voulez-vous vraiment connaître la vérité, docteur, sur la véritable raison de notre dispute ? C’est pour savoir si je dois vous tuer ou non.

 

SÉQUENCE – Bureau du psychiatreCaméra n° 314B21 heures 33 minutes 52 secondes

La Machine évalue le pourcentage qui reste à vivre pour le docteur Ronald Carmichael. Mais également la violence ou ce qui pourrait arriver à l’administrateur. La Machine ne connaît pas l’issue du succès de la mission de l’atout.

Kikavu ?

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Supersympa 
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lolhawaii, 16.03.2024 à 21:34

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