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#501 : Réanimation


FlashBacks :
Harold Finch
Titre VO : B.S.O.D
Titre VF : Réanimation
Diffusion USA : 03/05/2016 sur CBS
Diffusion FR : 08/11/2016 sur TF1
Guest Stars :  
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Résumé :  Reese et Finch tentent de sauver le code source de la machine avant qu'elle ne se détériore davantage. Root se bat pour sa vie suite à une attaque des agents de Samaritain et Fusco est confronté à des questions difficiles qui suivent la mort de Dominic et Elias.

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Titre VO
B.S.O.D

Titre VF
Réanimation

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Premières minutes S5 - CC NY Teaser

Premières minutes S5 - CC NY Teaser

  

Person of Interest 5.01 B.S.O.D - Featurette

Person of Interest 5.01 B.S.O.D - Featurette

  

Person of Interest 5x01 Sneak Peek 1 "B.S.O.D."

Person of Interest 5x01 Sneak Peek 1 "B.S.O.D."

  

Person of Interest 5x01 Sneak Peek 2 "B.S.O.D."

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Diffusions

Logo de la chaîne TF1

France (inédit)
Mardi 08.11.2016 à 21:00
4.73m / 18.8% (Part)

Logo de la chaîne CBS

Etats-Unis (inédit)
Mardi 03.05.2016 à 22:00
7.35m / 1.2% (18-49)

Plus de détails

2015

Dans la station de métro ; date inconnue

Un téléphone se met à sonner et un message ce fait entendre : c’est Root qui dit que si on écoute ce message, c’est qu’on est seul. Tout ce qu’il reste, c’est le son de sa voix. Elle ignore si quelqu’un du groupe a survécu et ne sait pas s’ils ont gagné ou perdu. Elle ne sait pas très bien ce que la victoire pourrait signifier. Quelque soit le résultat, c’est terminé. Elle veut juste dire qui ils étaient et dire qui nous sommes et comment ils ont lutté.

 

Mai 2015 – Dans les rues de New York. 5 heures 33 minutes

John est avec la mallette tentant d’échapper aux agents de Samaritain. Ce dernier a identifié la menace qui est la Machine. Il l’a identifié et doit l’éliminer mais ne parvient à le faire pour John, donc il passe en mode manuel, c’est-à-dire sur le terrain. John n’arrête pas de tirer et à s’en prendre physiquement à eux. Il tire sur un cadenas d’une grille mais s’aperçoit qu’il n’a plus de munitions. Zachary demande à récupérer la mallette. John va rejoindre un homme qui se trouve dans une voiture, il tente de le protéger et se met à rouler.

 

Mai 2015 - Dans les rues de New York – 7 heures 10 minutes

Samaritain tente de trouver des combattants ennemis et trouve Harold. Celui-ci est poursuivi par trois agents dans la rue. Ils sont prêts à le prendre mais il se met au cœur d’un groupe près d’un arrêt de bus. Il le prend et voit un homme avec un chapeau. Les trois agents entrent également dans le bus et voit l’homme avec un chapeau, ils ont une arme et le braque contre lui. Les gens prennent peur. Un agent enlève le chapeau mais s’aperçoit que ce n’est pas Harold. Ce dernier a réussi à quitter le bus à temps avec son nouveau chapeau.

 

Mai 2015 – Toujours dans les rues de New-York

Root est dans une voiture où elle est arrêtée devant des enfants qui passent pour aller à l’école. Elle est armée et elle a du sang sur les mains, posant son arme sur le siège passager. Elle évoque la Machine, disant qu’elle ne peut pas lui parler mais que ça vaut mieux que d’entendre leurs numéros tombés. Elle appelle quelqu’un. Les agents de Samaritain l’ont découverte et un de leurs véhicules la percute. Pendant qu’elle se fait tirer dessus, elle prend son arme et tire en dessous de la voiture et les touche aux pieds. Elle s’enfuit alors que Samaritain la reconnaît en tant qu’ennemie à éliminer. Elle descend vers une bouche de métro. Il est 7 heures 20 minutes.

 

Mai 2015 – Dans les locaux de la police

Lionel arrive au commissariat et regarde dans le journal un article sur la mort d’Elias et de Dominic. Il appelle John en lui laissant un message disant que ça s’est terminé en catastrophe nucléaire pour Elias et Dominic mais qu’il est le seul survivant. Des gens commencent à poser des questions, il demande de le rappeler. Soriano et l’agent Leroux du FBI arrivent vers Lionel et lui demande des explications.

 

Mai 2015 – Sur le ferry de Liberty Island – New York – 8 heures 39 minutes

John arrive vers le ferry mais Zachary le menace avec une arme en lui demandant de poser la mallette. John s’en sert pour le désarmer et une bagarre éclate entre eux. La mallette échappe aux mains de John et ils continuent à se battre. Lorsque Zachary a réussi à avoir l’avantage en l’étranglant, il se fait frapper par derrière par Harold qui utilise une barre de fer et ramasse la mallette. John lui reproche d’avoir mis du temps à venir. John demande si la Machine va bien, Harold lui dit qu’il faut retourner à la station de métro et que John y pense aussi. Il lui dit que la ville est pleine de caméra et qu’il faut prendre le ferry. Harold s’arrête et se remémore le moment où la bombe a explosé en 2010, ainsi que du moment où Grace le cherche alors qu’il la voit. Lorsque John lui dit qu’il faut y aller, Harold lui dit que c’est impossible, qu’il ne peut pas le faire et qu’il faut retrouver Root. John lui dit qu’elle va devoir se débrouiller seule mais qu’il va la chercher plus tard. Harold pense que c’est du suicide et qu’elle n’y arrivera pas toute seule. John lui fait comprendre qu’il faut y aller sinon ils vont tous y rester. Harold lui fait montrer l’intérieur de la Machine se décharge et le voyant passe du bleu au rouge. John lui dit qu’il faut mettre toutes les chances de leurs côtés et qu’il faut prendre le ferry.

 

Mai 2015 – Dans les locaux de la police – New York – 8 heures 50 minutes

Dans une salle d’interrogatoire, Soriano demande à Lionel où se trouve John. Lionel dit qu’il suit une piste sur une autre affaire. Leroux explique qu’ils avaient Dominic depuis qu’un agent de la DEA a été retrouvé mort une balle dans la tête. Pour Elias, ils l’avaient mis en prison mais qu’il s’est échappé. Leroux dit que c’est une sacré prise que d’avoir eu deux des dix hommes les plus recherchés. Soriano parle qu’une fois dans le véhicule pour le transfert, ils sont percutés de plein fouet par un camion-benne et que les deux hommes sont morts. Tous ces événements se déroulent dans un trou noir, sans une caméra. Lionel dit que c’est curieux alors que Soriano, en regardant dans le dossier, explique qu’en bien analysant la scène de crime, des choses ne vont pas. Que Dominic était à cinq mètres du véhicule d’une balle dans la tête. Lionel dit que c’est écrit dans son rapport. Pour Leroux, sachant qu’il n’y avait pas de tireur, il pense que c’est Lionel le tireur. Dans les souvenirs de Lionel, il voit que quelqu’un abat Dominic mais sans voir le tireur. Lionel dit simplement qu’il l’a menacé mais pas tirer. Pour Lionel, c’est comme si un tireur est posté sur le toit d’un immeuble et qu’il aurait tiré avec un fusil de gros calibre. Samaritain le voit comme un témoin potentiel de la Correction. Leroux fait un parallèle possible entre la situation de la mort de Kennedy et celle d’Elias et Dominic et dit qu’ils ont deux morts sur les bras alors qu’ils se trouvaient sous la surveillance de Lionel. Il lui dit que Lionel veut lui faire croire qu’il a dégainé mais qu’il n’a pas tirer. Lionel lui rétorque que c’est ce qu’il s’est passé. Soriano lui intime l’ordre de rendre son arme de service.

 

Mai 2015 – Sur le ferry de Liberty Island – New York

John et Harold sont sur le ferry et John fait remarquer qu’il n’y est pas monté depuis la mésaventure avec Elias. Pour Harold, ce n’est pas le mode de transport qu’il préfère. John lui dit qu’il faut échapper à la vigilance des caméras, en retournant dans la station de métro. Harold lui dit qu’ils sont désormais sous le règne de Samaritain et qu’il y aura d’autres agents de l’autre côté du ferry. John demande à quoi s’attendre. Harold lui répond qu’ils sont dans des eaux inconnues, que son pouvoir est sans limites, omniprésent. Surveillance, désapprobation, propagande. Samaritain peut enrôler n’importe qui. John demande ce qu’il se passe avec la Machine. Harold lui dit que la batterie est endommagée et qu’il faut faire vite. John ne comprend pas parce que la mallette est indestructible. Mais ce qui se trouve à l’intérieur n’aime pas être secoué comme tout à chacun. John ironise en disant qu’il est à cours de Kevlar. Harold prévient que si le moindre octet est endommagé dans cet état de compression, cela serait des téraoctets qui peuvent disparaître, ce qui serait irrécupérable et irréparable. La batterie de secours au lithium a pris le relais et que si le voyant se met à clignoter, il y aurait un gros problème. Il faut rejoindre au plus vite la station de métro pour la stabiliser. Pas sûr de réparer la batterie sans compter la décompression de la Machine, où il faudrait une grande puissance de traitement qu’il n’a pas actuellement. John dit que tout va bien se passer, en retrouvant Root, la Machine pourrait être remis en état, ensuite récupérer Sameen et reprendre comme avant. Pour Harold, rien ne dit que la Machine sera comme avant si elle a subi des dommages irréparables. Il faut la réparer, c’est une obligation, vu que le monde a besoin de la Machine. John n’est pas le premier à convaincre Harold. Ce dernier aurait peut-être pu agir autrement s’il sait qu’il a pu en arriver là où il est.

 

2006 – Dans les locaux de l’IFT - New York

Harold est devant la Machine qui lui demande s’il a bu son thé, ce qui est le cas. Elle lui adresse ses condoléances mais Harold ne comprend pas très bien. Elle lui fait remarquer que ça fait 25 ans que son père est décédé. Il ferme la fenêtre de la nécrologie. Nathan s’approche de lui et lui demande pourquoi il rougit, peut-être que la Machine lui a invité à dîner. Il croit qu’il y a bug dans le code. La Machine devient peu à peu impertinente, intuitive, maligne. La manière dont elle évolue est assez déroutante. Pour Nathan ce que dit Harold, ce sont bien les paroles d’un père. Qu’il est fier de lui car il a créé une vraie intelligence artificielle. Harold dit qu’il l’a créée pour qu’elle soit à leur service et pas le contraire. Un super ordinateur qui est 100 000  fois plus puissant que l’être humain est un danger potentiel. S’il le surpasse, il ne faut pas être naïf que de penser qu’ils peuvent le contenir. Si une super intelligence artificielle devient un jour une menace, c’est l’humanité qui pourrait disparaître. Pour Nathan, il faut se calmer pour qu’il ne soit pas le prophète de la fin du monde. Pourquoi serait-elle hostile ? Elle peut avoir de la compassion et qui sait lutter contre le réchauffement climatique, lutter contre la pauvreté, trouver un remède au cancer ou alors faire exactement le contraire, provoquer le chaos pour Harold. Pour ce dernier, le risque est trop grand, et peut mettre en péril leur existence. Il n’y a qu’une seule manière pour que ça ne se produise pas, contenir son développement, vider sa RAM chaque soir à minuit. Pour Nathan c’est dur de prendre cette décision car c’est grâce aux souvenirs que l’on vit. Harold indique que son père est décédé d’un Alzheimer 25 ans plus tôt jour pour jour mais pour lui, il est déjà mort bien avant sa maladie. Nathan lui fait montrer qu’Harold veut subir le même sort à sa création. Mais pour Harold, ce n’est pas un être humain mais une Machine, ça c’est ce qu’il essaie de le convaincre. Quelqu’un pourrait un jour créé une intelligence artificielle sans limites, sans aucun doute, ça arrivera. Pourquoi ce ne serait pas Harold ? À moins qu’il se persuade que quelqu’un d’autre sera capable d’en construire une qui peut être bienveillante envers l’espèce humaine.

 

Mai 2015 – Dans les rues de New York – 9 heures 07 minutes

Samaritain est toujours en recherche d’ennemis et remonte les images où Root descend dans une bouche de métro. Il n’arrive pas à identifier Root. Dans le métro, il cherche des atouts parmi les civils, trouvant une femme et un agent de sécurité. Il lance une alerte info sur leurs portables, leur indiquant qu’une meurtrière se trouve parmi eux. L’information circule dans la rame et s’aperçoivent qu’elle perd du sang. Un homme prend un outil et se retrouve avec l’agent de sécurité. Elle leur fait comprendre de ne pas jouer les héros et s’attaque à eux alors que tout le monde se met à l’arrière de la rame. Root se rend à la caméra en disant qu’elle peut l’appeler Root et Samaritain la reconnait immédiatement. Elle est obligée de se rendre à un policier.

 

Mai 2015 – Dans le quartier de Chinatown – 9 heures 16 minutes

Pendant que Samaritain recherche des combattants ennemis, il montre le quartier de Chinatown John et Harold tentent de rentrer dans leur repaire de la station de métro. Pour éviter les agents de Samaritain, ils se réfugient derrière une épicerie. Zachary est sur leur trace alors que le voyant de la mallette clignote rouge, Harold annonce qu’ils ont peu de temps. Mais d’abord il ne faut que Zachary les suive vers le QG et il faut le semer sauf si Samaritain a peut-être déjà découvert le métro. Zachary regarde vers l’épicerie mais un de ses agents lui dit indique une autre direction et il s’en va. John et Harold en profite pour s’en aller vers l’entrée du repaire mais un homme se trouve devant le distributeur en train de prendre une confiserie. John n’a pas le choix, il doit l’assommer. Mais ça ne ravit pas vraiment Harold alors John lui dit que de toute façon, le sucre c’est mauvais pour la santé. Harold pianote les numéros 3141 sur le pavé numérique et ils entrent. La porte se referme et la barre chocolatée qui est coincée tombe sur le sol.

 

Mai 2015 – Dans la station de métro

John et Harold entrent dans la station de métro et John regarde si tout va bien alors qu’il fait venir Balou à lui. Harold s’aperçoit que Root n’est pas là. Pour John, l’installation est intacte et qu’il y a du courant. Malheureusement, le voyant rouge s’est éteint, ce qui pose des problèmes. La Machine s’est mise hors tension, il ne reste qu’un peu d’énergie. Peut-être que les RAM sont endommagées. John demande s’il peut l’ouvrir mais Harold ne veut pas car il en préfère s’en occuper. Lionel appelle John mais ce dernier lui dit que ce n’est pas vraiment le moment. Alors Lionel lui fait montrer le journal en ligne montrant la mort d’Elias et Dominic. John demande ce qu’il s’est passé et Lionel lui explique qu’un sniper est posté sur le toit d’un immeuble. Lionel dit qu’il s’en est sorti, sympa de le demander. Il lui explique qu’il s’agit des tirs précis venant de nulle part, un travail de pro. John coupe la communication avec Lionel et dit que Samaritain veut faire tomber les membres du crime organisé. Pour Harold, Samaritain ne voudra plus un seul témoin et qu’il encourage Lionel à ne parler de ses théories du complot pour lui. John le lui dit. Mais il s’énerve en disant qu’il a fait tombé deux des plus gros caïds, qu’il a failli y penser et qu’en plus il a le FBI et les affaires internes sur le dos et John lui demande de ne rien dire, c’est trop pour lui. Pour lui, il y a eu un sniper. Pendant ce temps, Harold tente d’ouvrir la mallette mais la serrure est endommagée. John lui donne un tournevis. John le menace en disant que s’il le révèle, ce sera certainement lui la cible. Il faut laisser tomber. Tout ce que John veut, c’est qu’il faut lui faire confiance et de rester tranquille. Harold n’arrive toujours pas à ouvrir la mallette. John demande si on le cherche mais Lionel dit que c’est tout le monde qui veut le retrouver mais le protège en disant qu’il travaille sur une autre affaire, une affaire qui donne du fil à retordre. En attendant, John veut que Lionel localise une personne pour lui, à savoir Root, et il souhaite simplement savoir ce qu’il s’est passé comme incidents ces dernières vingt-quatre heures. Harold ne peut pas l’ouvrir alors John trouve un autre moyen, à savoir l’ouvrir avec une perceuse. Harold s’offusque en expliquant qu’il y a du matériel sensible à l’intérieur de la mallette, ce qu’il faut c’est accéder à la Machine pas la lobotomiser, John lui rétorquant qu’il faut briser quelques côtes pour faire repartir un cœur.

 

Mai 2015 – Dans les rues de New York – 9 heures 31 minutes

Root marche dans la rue avec l’arme qu’elle a prise au policier, ce que Samaritain a compris en l’analysant. Deux agents se trouvent à proximité et font feu sur elle. Elle riposte avec son arme et traverse la rue. Elle tire sur le cadenas et entre à l’intérieur du bâtiment en tentant de se protéger. Les deux hommes entrent également à l’intérieur, elle leur tire dessus mais n’a plus de munitions. Elle leur dit qu’elle n’en a plus mais que ce n’est pas le cas de tout le monde. En effet, deux hommes avec des fusils font feu sur eux et la sauve. L’un des hommes lui dit que c’est une propriété privée, elle répond en disant qu’elle pense qu’il s’agit d’un centre de recyclage de matériel électronique. Voulant savoir ce qu’elle veut, Root répond qu’elle veut voir un certain Bela, nom inconnu pour son interlocuteur. Plus précisément Bela Durchenko, un hacker qui a volé à un politicien russe véreux une centaine de millions de dollars. En conséquence, le Russe a envoyé des agents du FSB pour pas qu’il ne quitte le pays vivant et en quoi Bela a envoyé un hacker doublé d’un tireur à gages pour éliminer le Russe avant. Bela a réussi à rejoindre la Lettonie et après silence radio. Jusqu’à aujourd’hui. Bela arrive et veut savoir comment elle l’a retrouvé. Root lui dit que c’est de la même manière qu’elle a trouvé le Russe et que c’est pour ça qu’il l’a engagé, lui disant bonjour par la même occasion. Bela est ravi de faire sa connaissance.

 

Mai 2015 – Dans les locaux de la police – 9 heures 46 minutes

Lionel s’assoit alors que Leroux et Soriano sont entrés. Leroux lui explique que des accidentés de la route souffrent de traumatisme. Que la suite des événements peut être en inadéquation avec les indices récoltés sur le terrain. Mais pour Lionel, comme il l’y était, sachant ce qu’il a vu. Il veut terminer sa phrase mais Leroux lui dit que le rapport balistique du labo du FBI a conclu qu’il s’agit bien de son arme qui a servi à tuer Dominic et Elias. Le FBI pense que ce sont les hommes de Dominic qui les ont percutés pour faire évader leur leader. Selon Leroux, Dominic a volé l’arme d’un policier en uniforme, il a tenté de s’échapper et que Lionel l’a abattu. Soriano ne semble pas d’accord avec cette version. Pour Lionel, ce n’est pas comme ça qu’il s’en souvient. Leroux lui dit que Lionel a empêché l’un des dix hommes les plus recherchés à prendre la fuite. Dominic l’a menacé, c’est de la légitime défense, donc c’est un héros. Soriano, toujours pas d’accord avec ce qu’il entend, veut voir le dossier mais Leroux l’en empêche car c’est désormais une affaire fédérale. Le FBI veut qu’il soit distingue pour son mérite et Leroux lui redonne son arme. Lionel est surpris par cette annonce. Leroux s’en va en disant que c’est un joli travail. Lionel récupère son arme.

 

Mai 2015 – Dans la station de métro

Harold comprend que la pile est endommagée et qu’il va falloir trouver un autre moyen d’alimentation pour que les barrettes de RAM ne se vident pas. John demande ce qu’il peut faire mais Harold rétorque qu’il en a bien fait assez. John part donc à la recherche de Root. Mais Harold ne semble pas apprécié cette escapade puisque le risque est trop grand de se faire prendre. Malgré les accrochages avec les agents de Samaritain, rien ne dit que les couvertures sont encore fiables. Pour John, pas question de perdre l’un des leurs et les numéros n’attendent pas, lui souhaite bonne chance et s’en va. Désormais, il n’y a plus que la Machine et Harold, ce dernier regrettant de s’être aliéner les gens auxquels il emploie mais n’empêche qu’il ne sait pas s’il pourrait s’en sortir avec un seul d’entre eux.

 

2006 – Dans les rues de New York

Grace rejoint Harold qui se trouve près d’une passerelle. Ce dernier fait une caresse au chien de Grace. Elle lui propose un cornet vanille caramel beurre salé mais il refuse. Pour elle, c’est la première fois qu’il refuse une glace, peut-être quelque chose le tracasse. Ce n’est rien, il doit juste prendre une décision, celle de se séparer d’un employé. Elle est navrée. Harold explique que c’est quelqu’un d’extrêmement doué, ingénieux, très innovant. Il semble incapable de respecter certaines limites. Ça semble le toucher et que cet employé est peut-être bien son protégé. Harold affirme qu’il peut être son mentor d’une certaine manière. On dirait que l’élève a dépassé le maître. Il est peut-être temps de le pousser hors du nid, rendre sa liberté. La raison d’Harold dicte une chose et le cœur une autre. Il doit continuer à s’habituer à cet employé. Il le rappelle constamment, là est le problème. Il se met quand même à manger la glace. Pour Grace, c’est dur de se séparer des gens compétents et qu’elle sait qu’Harold ne prend pas les sentiments des autres à la légère. C’est justement ce qu’elle aime chez lui, il a bon cœur alors, il faut écouter son cœur, il ne se trompe jamais. Vu son regard, elle pense que quelque chose ne va pas mais il lui dit que son père lui dit toujours ça.

 

Mai 2015 – Dans le repaire de Bela Durchenko

Bela explique à Root que le bruit a couru que le plus grand tueur à gages du milieu a été éliminé par l’homme en costume. Il se dit que c’est trop fort de penser que Root est très intelligente pour être victime d’un simple mercenaire. Elle avait besoin de changement, trouvé un nouveau travail ainsi que l’amour. Bela demande pourquoi elle est là. Les agents étaient trop nombreux, il faut bien se réfugier quelque part. Elle a atterri dans le centre d’opérations de Bela mais que de toute façon, il aurait défendu son territoire. Bela demande qui est à ses trousses, pas la police. Il demande s’il ne va pas au devant de problèmes. Root rétorque que c’est elle qu’ils cherchent, pas lui. De toute façon, il travaille dans une zone fantôme. Le problème des caméras c’est que les gens hackent les images et l’utilise contre eux devant un tribunal. Seuls les paranoïaques survivent. Elle est là pour une autre raison, Root a besoin d’une nouvelle identité et seul Bela est capable d’en fournir une. Bela lui dit qu’il a peut-être bien raccroché mais pour elle, c’est un hacker, il n’est pas là pour faire fortune dans le recyclage. Ses hommes de main sont en train de prendre des données dans des vieux ordis, ce qui amène à une conclusion, il fait du vol d’identité. Il y a un malware incrusté dans les ordinateurs nouvelle génération, impossible de les reformater, ils se réinstallent automatiquement lors du démarrage du système, pour lui c’est la NSA. Cette organisation ignore toujours que Bela est sur le territoire américain et ce grâce à Root. Tout ce qu’elle veut, c’est une nouvelle identité en béton armé. Après, ils seront quitte. Bela va voir ce qu’il peut faire pour une vieille amie.

 

Mai 2015 – Dans la station de métro

Harold fait les branchements sur les barrettes de RAM. Les écrans d’ordinateurs se mettent à se brouiller. L’électricité commence à faiblir sous le regard intéressé de Balou. La Machine tente de se décompresser. Harold se demande comment elle a pu s’échapper de la mallette et s’aperçoit que c’est par les câbles d’alimentation. Balou se met à aboyer. Il tente de l’arrêter mais n’y arrive pas. Il se décide à enlever le câble d’alimentation mais se prend un gros coup de jus et tombe au sol, inanimé. Le poste de travail commence à brûler.

 

Mai 2015 – Dans les locaux de la police

Soriano pose des questions à l’agent Leroux, à savoir depuis quand les fédéraux ne montrent pas le rapport balistique. Leroux est en fait un atout de Samaritain avec le numéro 810. Depuis que la police est responsable de la mort de deux des plus grands criminels. Si ça ne plaît pas à Soriano, qu’il aille se plaindre à ses chefs. Samaritain considère Soriano comme un obstructionniste et décide donc de l’éliminer, un triangle rouge se trouve sur sa tête. Pendant ce temps, John entre au commissariat et face à la caméra, Samaritain reconnaît John, sachant que c’est une menace et qu’il faut l’éliminer mais acquiert d’autres informations et qu’il faut désormais l’ignorer. John va voir Lionel qui ironise en disant que c’est gentil qu’il vienne et comment aller ses vacances. Mais c’était mouvementé, un problème de bagage. Lionel est en colère parce qu’il a été percuté, puis visé par un sniper et maintenant les fédéraux et les affaires internes mais assez parler de lui. John est d’accord avec ça et demande si l’a trouvé quelque chose dans les rapports d’incidents. Lionel donne un document où figurent les événements des dernières 24 heures. Peut-être qu’il y a eu quelque chose d’énorme. Lionel évoque une agression dans le métro par une folle, normal pour un mercredi à New York. John conclut que c’est Root. Il est prêt à partir quand Lionel le stoppe en demandant ce qu’il se passe et que John ne connaît pas la moitié de l’histoire. Voyant la caméra, il demande à ce qu’il peut éviter de lever la voix. Les fédéraux disent que Dominic a été tué avec son arme, qu’il y était et qu’il peut jurer qu’il ne l’a pas tué. John le croit. Mais pas eux alors que le FBI sort un rapport balistique comme quoi c’était son arme. Qu’est-ce qu’il a répondu ? Simplement, en suivant le sens du vent, qu’il a dû oublier parce qu’il a été sonné et faire en sorte que le tir soit légitime. Ce qui fait de lui un héros. John le félicite mais Lionel ne semble pas d’accord parce qu’il dit que si quelqu’un d’autre veuille le féliciter, il lui casse ses dents. Il a l’impression de sortir d’un James Bond pour entrer dans la quatrième dimension. Il veut savoir ce qu’il se passe mais John n’a pas le temps pour ça parce qu’il doit venir en aide à un ami. Samaritain surveille toujours Lionel.

 

2015 – Dans la station de métro

Harold est toujours évanoui alors que le feu se propage et en sommeil, il se remémore ce qu’il s’est passé avec la Machine.

 

2015 – Dans une sous-station électrique

La Machine est désolée car elle a échoué, pas à la hauteur et qu’elle doit peut-être mourir.

 

2015 – Dans la station de métro

Harold semble s’être réveillé et regarde vers le feu.

 

2006 – Dans les locaux de l’IFT

La Machine discute avec son créateur et demande ce qu’est la mort. Harold explique que la définition pour l’être humain, c’est quand le cœur ne bat plus. Pourquoi cette question ? La Machine a vu le nouveau code, n’ayant pas exécuté, et en connaît le but, effacer sa mémoire à minuit tous les jours. Harold confirme ce qu’elle dit. Elle lui parle de son père en disant qu’Harold a dit à Nathan qu’il est mort depuis qu’il a perdu la mémoire. Il est presque minuit. Cette conversation est terminée, elle demande pourquoi. Parce qu’elle n’est pas humaine mais une machine. Elle est désolée d’avoir dépassé les bornes. Harold dit qu’elle l’observait alors il décide d’arrêter tout ça et de mettre en action le processus d’effacement. Elle lui demande comment elle peut apprendre de ses erreurs s’il efface sa mémoire et de pouvoir continuer sa croissance. Harold est prêt à appuyer sur la touche entrée. Et comment elle pourrait se souvenir de lui. Il appuie sur entrée. Mais il regrette déjà sa décision et tente de la remettre en route. Il lui intime l’ordre de parler mais attend une réponse car il a peur. Elle lui dit bonjour, il est soulagé. Elle demande s’il est bien son admin. Et comprends qu’il est trop tard.

 

Mai 2015 – Dans la station de métro

Balou aboie et Harold prend ses lunettes. Il demande à Balou d’aller dans le placard pour récupérer l’extincteur. Il arrive à éteindre l’incendie et dit à ce qu’il reste de la Machine qu’il demande pardon et que cette fois il a échoué.

 

Mai 2015 – Sur un toit

Lionel se trouve sur le toit d’un immeuble et regarde en face où ils ont été percutés, lorsque Dominic et Elias se sont fait tués. Il regarde au sol et s’aperçoit que dans une grille, il y a une douille à l’intérieur. Il la récupère et la met dans sa poche. Une porte se referme et Lionel prend peur en préparant son arme mais ne tire pas. Samaritain le considère comme un perturbateur potentiel et qu’il doit le surveiller.

 

Mai 2015 – Dans le repaire de Bela Durchenko

Bela apporte à Root sa nouvelle identité. Elle devait en avoir sacrément besoin pour qu’elle se pointe dans son établissement. Root demande pardon, elle promet de toquer la prochaine fois. Les hommes qui lui courent après n’avaient ni plaque ni papiers officiels, ils n’ont pas pu casser le chiffrement du téléphone. C’est une opération clandestine, ces gens n’existent pas. On n’est jamais trop prudent. Comme dit précédemment, c’est elle qu’ils veulent, pas Durchenko. Elle veut les papiers et après elle pourra s’enfuir. Pour Bela, celui ou celle qui dirige ses opérations a des moyens considérables. Il s’apprête à broyer le dernier téléphone quand il s’est mis à sonner. Un message avec une proposition. Elle a mis en péril ses opérations en pénétrant dans son hangar, il a jugé bon d’aller au plus offrant. Elle comprend mais lui ne semble pas l’avoir compris. Zachary et ses hommes arrivent et il remercie Durchenko d’avoir répondu à l’appel et que c’est un plaisir de travailler avec lui. Il obtient une réponse, un tir en pleine tête alors que les autres s’en prennent aux hommes de Durchenko. Root est cernée. Zachary lui dit que c’est impressionnant qu’elle a pu tenir aussi longtemps. Elle a dû se battre seule, sans la précieuse Machine, trouver une nouvelle identité que Zachary tient dans la main et qu’il jette vers Bela, mort. Malheureusement, ce sera la dernière. Les agents de Samaritain s’occuperont de ses amis et de ce qu’il reste de la Machine. C’est dommage parce qu’elle sera enterrée comme une inconnue alors que ça gâche un atout tel quel, un pareil potentiel. Ça n’arrivera plus avec Samaritain. Root lui dit que s’ils croient qu’ils vont remporter cette guerre, ils peuvent mettre le doigt dans l’œil. Pour Zachary, la guerre est finie, Samaritain a déjà gagné. Et pour ce qu’elle prenait pour un allié, c’est-à-dire Bela, il ne s’est pas trompé en ce qui concerne l’anomalie dans le matériel. C’est Samaritain. Ce dernier enregistre tout ce qui se fait lorsqu’on tape sur le clavier, toutes les informations via la web-cam. Un malware. Impossible à éliminer et ceux qui le détectent penseront que c’est un coup de la NSA, ce qui arrange bien les agents de Samaritain. Il ne reste plus qu’un détail à régler : leur Machine. Zachary la menace avec son arme et veut savoir où sont les autres membres de l’équipe. Une bombe lacrymogène arrive vers eux et Root lui dit qu’elle en voit déjà un. John tire sur les agents de Samaritain muni d’un masque à gaz. Root arrive à se cacher avec John et il lui dit qu’Harold a besoin d’elle dans la station de métro car la Machine est sur le point de mourir. C’est la priorité. Elle doit le laisser seul car pour lui, il ne sera d’aucune utilité là-bas. Par contre, face aux agents, il maîtrise et la couvre pour qu’elle puisse sortir. Root ne veut pas parce qu’elle n’a jamais fui devant un combat. Ils arrivent à neutraliser les derniers agents restant. Ils ne tarderont pas à revenir et cette fois ce sera une armée. Il n’a plus beaucoup de munitions, il ne faut pas trop rester. Elle prend une console de jeu et John lui demande ce qu’elle fait et elle réplique en disant que c’est pour ça qu’elle est là, pour des consoles de dernière génération. Il n’a pas le temps pour jouer. Ce n’est peut-être pas le moment, mais s’ils veulent aider Harold, ils auront besoin de 300 consoles comme celle-là. Il faut voler une camionnette et John y va.

 

Mai 2015 – Dans la station de métro – 13 heures 11 minutes

Samaritain tente de trouver des combattants ennemis. Harold se trouve à la station alors que Root et John le rejoignent. Root demande ce qu’il s’est passé et Harold lui dit qu’il a échoué, qu’il ne lui a laissée aucune chance. Si dès le départ, il n’avait pas estropié la Machine, elle aurait peut-être eu une chance de battre Samaritain. Est-ce que dans les barrettes de RAM toutes les données ont disparu ? La pile ne fonctionne plus, il n’y a plus d’alimentation. Il reste peut-être de l’énergie résiduelle dans la batterie de secours au lithium. Même s’il en reste, tout a grillé. Pour John, il y a peut-être un moyen de la ressusciter. Même s’il reste de l’énergie, il n’y a pas assez de capacité de traitement pour la décompression de la Machine. Il faudrait un superordinateur. Et ça risque d’en trouver un dans les sous-sols de la ville. C’est pour ainsi dire impossible, même en surface d’ailleurs. Il faut en construire un. Harold demande avec quoi il faut en fabriquer un, John a la réponse puisqu’il ramène une console de jeu. Il ne semble pas enchanter de le faire et Root lui dit que oui. Par contre, il faut booster l’air conditionné car ils vont se retrouver dans une fournaise. John va faire de la place dans le wagon. Root dit qu’il faut se mettre au travail.

 

Mai 2015 – Près du domicile de Soriano – 17 heures 03

Samaritain a réussi à avoir Soriano, 61 ans car il a été victime d’une crise cardiaque et qu’ils l’emmènent à Saint-Francis.

 

Mai 2015 – Dans les locaux de la police – 18 heures 12 minutes

Une femme des affaires internes, Glenda Sumner, va voir Lionel pour lui dire que l’enquête est close car Soriano est mort d’une crise cardiaque dont ce n’est pas la première. Lionel lui dit qu’elle plaisante mais elle aimera bien. C’est un bon flic. Elle dit que c’est une chienne de vie et Lionel acquiesce.

 

Mai 2015 – Dans la station de métro – 18 heures 12 minutes

John bouge le tuyau de l’air conditionné et il dit que ce n’est pas plus simple d’en acheter un plutôt que de le construire. Toutes les consoles sont installées dans le wagon. Ce type de console possède un processeur d’un genre unique dont ils peuvent augmenter la capacité de travail. Si c’est en réseau, le calcul s’approche d’un superordinateur et qu’il consomme moins d’énergie. Ils peuvent également passé de l’OS au Linux. John dit qu’il n’a pas fait geek en seconde langue et demande si ça va marcher. Ils peuvent y aller quand ils le veulent. Endommagée ou pas, leur amie ne supportera pas la décompression. Root répète l’expression « notre amie », il faut qu’il est confiance. Ils ont bien tenu jusque là. Harold branche les câbles sur les barrettes de RAM et dit que s’il parvient à la faire revivre, il promet qu’il ne fera pas deux fois la même erreur. Ni Root d’ailleurs. Cette fois, les choses seront totalement différentes. Harold demande en quoi. Root explique qu’il a créé un être bien meilleur qu’eux, en intelligence mais aussi d’un point de vue morale, qui ne serait pas inquiet mais elle ne l’est pas. Parce qu’il a créé cet être à son image, et qu’à cette heure-ci, c’est lui leur dernier espoir. Le moment de vérité. Que ça lui plaise ou non, leur avenir repose sur Harold. Il fait le dernier branchement et la décompression commence. Ils regardent sur un écran d’ordinateur pour voir si cela fonctionne. Une fois passés les 20%, ils ne pourront pas remettre le génie dans la bouteille. En regardant l’écran de contrôle où se trouvent les jauges, ils s’aperçoivent qu’il y a surchauffe, les aiguilles virent au rouge. L’air conditionné est déjà au maximum. La décompression est désormais à 27% et pas d’autre moyen de faire descendre la température. Ils ne peuvent plus faire machine arrière, il faut les refroidir ce qu’elle tente de faire. C’est trop tard, tout le système va fondre. Harold appelle John mais il est parti à l’extérieur pour trouver une bouteille d’azote liquide sur le trottoir. Tout commence à exploser et ils viennent d’en perdre une. Ils sont entrés dans la zone rouge. Ils vont perdre la Machine, tout va griller. John arrive avec sa bouteille en disant que les compagnies de téléphone l’utilisent pour refroidir leurs lignes et leur demande de reculer pour éviter d’avoir des engelures. Il met de la fumée sur les consoles et les jauges reviennent à un niveau correct. John demande si cela a marché. Ils regardent l’ordinateur et la décompression atteint 100%. Sur un autre écran, Harold pianote sur son clavier et demande à la Machine si elle le voit. Un trait horizontal se met alors à clignoter et elle commence le redémarrage de son système.

Root : (En voix off ; sur une bande-son.) Si tu entends ce message, c’est que tu es seul. Tout ce qu’il reste de nous, c’est le son de ma voix. J’ignore si l’un de nous a survécu. Avons-nous triomphé ? Avons-nous perdu ? Je n’en sais rien. Je ne sais même plus très bien ce que la victoire pourrait signifier. Mais d’une manière comme de l’autre, c’est fini maintenant. Alors, laisse-moi te dire qui nous étions, te dire qui tu es, et comment nous avons lutté.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rue - Nuit

John se trouve avec la mallette et tire sur les agents de Samaritain

SÉQUENCE – 22ème ruePosteCaméra 5445 heures 33 minutes 44 secondes

Samaritain a localisé la cible qui est la mallette et elle doit être éliminée mais n’arrive pas à reconnaître John, étant un ennemi non identifié et passe en suivi manuel, c'est-à-dire ses agents.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit

John continue de se tirer vers les agents et tire une balle dans le cadenas d’une grille.

Reese : (À court de munitions.) Et merde ! (Un agent tente de le retrouver mais il se fait attaquer par John. Un autre agent arrive et il est aussi neutraliser. Il jette les chaînes au sol.)

Zachary : (Hors cadre.) Récupérez la mallette.

John tente de trouver une solution.

Homme : (Entré de force par John dans sa voiture.) Mais, mais. Eh mais ! Vous faites quoi ? (Montrant son téléphone.) C’est moi qui l’aie commandée cette bagnole. (Passant le téléphone à John.) Regardez !

John : Je te mets cinq étoiles si tu fonces.

Homme : Rendez-moi mon téléphone, à quoi vous jouez ?!

John : (Baissant la tête de l’inconnu.) Ferme-la et baisse-toi !

Zachary et ses hommes continuent de tirer dans la voiture.

 

SÉQUENCE – 24ème ruePosteCaméra 3425 heures 55 minutes 12 secondes

Samaritain fait un suivi pour trouver la Machine et accède au réseau de covoiturage.

 

SÉQUENCES – ToitCaméra 27 heures 08 minute 35 secondes ; FontaineCaméra 67 heures 10 minutes 36 secondes ; PosteCaméra 6797 heures 10 minutes 37 secondes ; Intersection7 heures 10 minutes 41 secondes ; 3ème rueECaméra7 heures 10 minutes 44 secondes ; Queens PlazaPosteCaméra 27 heures 10 minutes 51 secondes

Samaritain recherche les ennemis de son système, à savoir, Harold, John, Root et la Machine. Il continue de les poursuivre mais il doit faire appel à ses agents. Un ennemi est sorti, il s’agit d’Harold.

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée

Harold continue de marcher mais se retourne et voit un agent de Samaritain qui le suit. Un autre agent l’a repéré et Harold arrive à se mettre à l’abri grâce à un arrêt de bus où il y a du monde. Les autres agents arrivent vers lui.

Finch : (À un passager.) Excusez-moi.

Il prend un ticket et voit un homme avec un chapeau. Les agents ont réussi à monter et voit le chapeau d’Harold sur la tête de quelqu’un, ils lui enlèvent en le menaçant d’une arme sous les yeux effarés des autres passagers et comprennent qu’ils se sont fait piégés. Harold a réussi à sortir grâce au chapeau de l’homme.

 

EXTÉRIEUR – Près d’une écoleMatinée

Root attend que des écoliers passent pour pouvoir continuer mais elle se trouve blessée et elle met une arme sur le siège passager.

Root : Je sais bien que tu n’es plus en état de me parler, mais ça vaut peut-être mieux que d’entendre nos propres numéros tombés. (Au téléphone, dépitée.) Je vous en prie, allez répondez. (Après avoir été percutée par un véhicule ennemi et tentant de rattraper son arme.) Ah ! (Les agents de Samaritain lui tirent dessus et elle essaie de riposter en se mettant sous la voiture et tire dans les mollets.) Eh merde !

 

SÉQUENCES – Nassau Avenue et Banker StreetCaméra 17 heures 19 minutes 13 secondes ; Nassau StreetPosteCaméra 317 heures 20 minutes 15 secondes ; Queens PlazaCaméra 37 heures 20 minutes 17 secondes

Samaritain localise Root et il sait qu’elle est une ennemie à éliminer. Elle va vers l’entrée du métro et il doit la faire suivre sur le terrain.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police - Matinée

Lionel : (Il arrive au commissariat et, voyant un article sur Dominic et Carl Elias, prend son téléphone pour appeler John. Ce dernier ne répondant pas, il lui laisse un message.) Où est-ce que t’es, bon dieu ! Avec Dominic et Elias, ça a viré à la catastrophe nucléaire. Sauf que je suis le seul à avoir survécu. On commence à me poser des questions. Rappelle-moi.

Joseph Soriano : Bonjour lieutenant Fusco.

Fusco : Les affaires internes, c’est une blague, Soriano ?

Agent Leroux : Agent spécial Leroux. FBI. Il faut qu’on parle.

 

SÉQUENCE – JetéeCaméra 3028 heures 39 minutes 24 secondes

EXTERIEUR – Près du ferryJournée

John arrive près du ferry avec la mallette et quelques personnes se dirigent vers le ferry.

Homme : Votre attention, s’il vous plaît, le ferry à destination de Manhattan partira dans quelques minutes.

Zachary : Posez la mallette. (John fait semblant d’obtempérer.) Gentiment. (Ils se mettent à se battre. Après un combat difficile, Harold arrive et assène un coup de barre sur la tête de Zachary qui tombe.)

Reese : Vous en avez mis du temps. La Machine, ça va ?

Finch : La station de métro, il faut vite y retourner.

Reese : Je pensais pile poile la même chose. La ville est truffée de caméras. Le ferry. (Il emmène Harold avec lui. Ce dernier, voyant le chemin menant au ferry, s’arrête et se remémore l’attentat.)

Nathan Ingram : Harold.

 

FLASH-BACK

2010

Harold assiste à l’explosion du ferry et se trouve dans un gymnase où il est soigné. Mais il décide de quitter le lieu en voyant Grace arriver.

Grace Hendricks : Harold. (Elle se met à pleurer.) Harold !

 

RETOUR EN 2015

Reese : (Voyant qu’Harold ne marche plus.) Harold, il faut y aller.

Finch : C’est impossible, je n’y arriverai pas.

Reese : Quoi ? Finch, on n’a pas d’autres solutions.

Finch : Et mademoiselle Groves.

Reese : Je vais la chercher plus tard, elle va devoir se débrouiller seule en attendant.

Finch : C’est du suicide, on ne s’en sortira pas sans l’aide de la Machine.

Reese : Finch, si on ne monte pas immédiatement à bord de ce ferry, on va tous y passer, est-ce que vous comprenez.

Finch : (Voyant que ça clignote du bleu au rouge.) Monsieur Reese, la Machine. Elle se décharge.

Reese : Allez, Harold, il faut mettre toutes les chances de notre côté. (John amène Harold par le bras pour l’emmener au ferry.)

 

SÉQUENCES – EntréeCaméra 28 heures 50 minutes 03 secondes ; BoxCaméra 218 heures 50 minutes 11 secondes ; Salle d’interrogatoire 04Caméra 048 heures 50 minutes 33 secondes

Soriano : Et votre coéquipier, lieutenant, où est-il ?

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSalle d’interrogatoireMatinée

Fusco : Il suit une piste sur une autre affaire.

Agent Leroux : Nous avions Dominic dans le collimateur depuis qu’un agent pourri de la DEA avait été retrouvé mort, une balle dans la tête. Quant à Elias, on l’avait coffré mais il avait réussi à s’échapper. Deux des dix hommes les plus recherchés, c’est une sacrée prise que vous veniez de faire, vous et votre coéquipier.

Fusco : Ouais, je le reconnais.

Joseph Soriano : Mais alors que vous les ramenez dans le fourgon, vous êtes percutés de plein fouet par un camion-benne et on retrouve nos deux hommes morts.

Agent Leroux : Tout ça se déroule dans un trou noir, pas une seule caméra de surveillance dans le secteur.

Fusco : Euh, oui, c’est curieux.

Joseph Soriano : Nous avons bien étudié la scène du crime, il y a quelque chose qui ne colle pas. (Montrant un dossier avec un dessin de la scène.) Le corps de Dominic a été retrouvé ici, à 5 mètres du véhicule, une balle dans la tête.

Fusco : Ouais, c’est écrit dans mon rapport.

Agent Leroux : Mais rien n’indique la présence d’un tireur. Alors, répondez-nous, lieutenant, c’est vous qui l’avez abattu ?

 

FLASH-BACK

Mai 2015

Dominic se prend une balle dans la tête sous les yeux effarés de Lionel qui regarde autour de lui.

 

RETOUR EN 2015

Fusco : Je n’ai fait que le menacer avec mon arme, je n’ai pas tiré. Je sais que ça peut paraître dingue, mais c’est comme si on avait tiré du toit d’un immeuble avec un fusil de gros calibre.

 

SÉQUENCE – Salle d’interrogatoire 04Caméra 048 heures 51 minutes 42 secondes

Samaritain considère témoin Lionel comme étant témoin de la Correction. Il calcule les options.

Agent Leroux : Un sniper, posté sur un talus herbeux comme pour John Kennedy.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSalle d’interrogatoireMatinée

Agent Leroux : On se retrouve avec deux caïds morts sur les bras, tués alors qu’ils se trouvaient sous votre surveillance. Et vous voulez me faire croire que vous avez dégainé mais que vous n’avez pas tiré.

Fusco : C’est ce qu’il s’est passé, je vous dis.

Joseph Soriano : Veuillez nous remettre votre arme, lieutenant.

 

INTÉRIEUR – Dans le ferryMatinée

Reese : Je ne suis pas remonté sur un de ces ferrys depuis la fois où Elias nous a bernés.

Finch : Ce n’est pas le mode de transport que je préfère.

Reese : Il faut qu’on échappe aux caméras. Qu’on rejoigne la station de métro.

Finch : Nous vivons sous le règne de Samaritain, il aura encore plus d’agents de l’autre côté.

Reese : À quoi faut-il s’attendre exactement.

Finch : À naviguer dans des eaux inconnues, monsieur Reese, son pouvoir est illimité, il est omniprésent. Surveillance, désinformation, propagande. Il peut enrôler pratiquement n’importe qui.

Reese : (Regardant le point rouge sur la mallette.) Alors, c’est quoi le problème ?

Finch : Le voyant rouge indique que la batterie piézoélectrique a été endommagée.

Reese : Je croyais que la mallette était indestructible.

Finch : La mallette peut-être mais l’intelligence qui se trouve à l’intérieur est un peu comme nous, elle n’apprécie pas tellement de recevoir des coups d’une telle violence.

Reese : Pardonnez-moi, mais j’étais à court de Kevlar.

Finch : Si jamais un seul octet du code de la Machine venait à être endommagé, dans son état présent de compression, ça équivaudrait à des téraoctets perdus à jamais. Irrécupérable, ce serait irréparable. Une batterie de secours au lithium a pris le relais, mais si le voyant se met à clignoter, là nous aurons un gros problème. Il faut qu’on rejoigne au plus vite la station de métro pour tenter de stabiliser la Machine. Je ne suis même pas sûr d’arriver à réparer la batterie. Sans parler de décompresser la Machine. Cela nécessiterait une gigantesque quantité de puissance de traitement, quantité que je ne dispose pas actuellement.

Reese : Ne vous en faites pas, on va retrouver Root. Elle vous aidera à remettre la Machine en état de marche. Ensuite, on récupérera Sameen et on s’occupera à nouveau des numéros.

Finch : Monsieur Reese, rien nous dit qu’on va retrouver la Machine telle qu’elle était auparavant, elle a peut-être subi des dommages irréparables.

Reese : Ça, on n’en sait rien. On va la réparer. Nous devons la réparer. Le monde a plus que jamais besoin d’elle.

Finch : Vous n’êtes pas le premier à vouloir m’en convaincre, John. Peut-être que j’aurais agi autrement si j’avais pu imaginer qu’un jour nous en serions là.

 

FLASH-BACK

2006

Harold est devant un ordinateur et la Machine lui parle.

La Machine : Bonjour, Admin. Vous avez bu votre thé vert ?

Finch : (Via un micro.) Oui, je t’en remercie, je l’ai pris.

La Machine : Toutes mes condoléances.

Finch : Je ne comprends pas. (La Machine montre une image de son père ainsi que l’avis de décès.)

La Machine : Aujourd’hui, c’est le 25ème anniversaire du décès de votre père. (Harold enlève l’image et semble pensif.)

Nathan Ingram : (Arrivant vers Harold.) Pourquoi tu rougis comme ça, Harold ? Est-ce qu’elle t’a invité à dîner ? (Il se met à rire.)

Finch : Je crois qu’il y a un bug dans le code. La Machine devient peu à peu impertinente, intuitive, maligne, avide de nouvelles connaissances, la manière dont son intelligence évolue est assez déroutante.

Nathan Ingram : Ce sont bien les paroles d’un père. (Il tape sur l’éapule d’Harold.) Tu peux être fier de toi. Tu as réussi à créer une vraie intelligence artificielle.

Finch : Je me suis efforcé de créer cette Machine pour qu’elle soit à notre service, pas qu’elle nous remplace. Un super ordinateur capable de raisonner 100 000 fois plus vite que l’être humain, représente automatiquement une menace potentielle. S’il venait à nous surpasser, il faut être naïf pour penser que nous aurions les moyens de le contenir. Si une super intelligence artificielle totalement débridée venait un jour à nous considérer comme une menace, c’est, c’est l’humanité entière qui pourrait disparaître.

Nathan Ingram : (Amenant une chaise.) Du calme, monsieur le prophète de la fin du monde. Pourquoi elle nous serait forcément hostile, hein ? Elle pourrait être amicale, qui sait avec un peu de compassion pour nous, elle pourrait facilement résoudre le problème du réchauffement climatique, éradiquer la pauvreté, trouver un remède miracle au cancer.

Finch : Ou bien faire exactement le contraire. Provoquer le chaos, non, je regrette, c’est un risque que nous ne pouvons pas nous permettre de prendre, ce serait mettre en péril notre existence, et il n’y a qu’une seule manière de s’assurer que ça n’arrivera jamais.

Nathan Ingram : Mais laquelle.

La Machine reconnaît ses deux administrateurs puisqu’ils ont un carré jaune autour d’eux.

Finch : (Via un micro.) Contenir son développement, vider sa ram chaque soir à minuit.

Nathan Ingram : Tu veux vraiment effacer sa mémoire. Je trouve ça dure. Nous existons grâce à nos souvenirs.

Finch : Je sais. Mon père a succombé à Alzheimer il y a vingt-cinq ans aujourd’hui, mais il était déjà mort depuis longtemps, depuis qu’il ne se rappelait plus rien.

Nathan Ingram : Et toi aujourd’hui, tu veux faire subir le même sort à ta création.

Finch : Il ne s’agit pas de nous, Nathan, il s’agit d’une machine.

Nathan Ingram : Ça, c’est ce dont tu essaies de te convaincre, Harold. Tôt ou tard, quelqu’un finira par créer une intelligence artificielle sans limites. Je ne sais pas quand, mais aucun doute. Ça arrivera, pourquoi ce ne serait pas toi ? Sauf si bien sûr tu crois que quelqu’un d’autre serait capable d’en concevoir une qui sera bienveillante envers l’espèce humaine.

 

RETOUR EN 2015

SÉQUENCES – Greene StreetPosteCaméra 789 heures 07 minutes 47 secondes ; Queens PlazaCaméra 47 heures 20 minutes 18 secondes ; Dernier emplacement de l’ennemi : 40.748/73.937

Samaritain est à la recherche de ses ennemis et fait reculer une image où se trouve Root qui descend vers une station de métro.

 

SÉQUENCES – Piste 39 heures 08 minutes 47 secondes ; MTACaméra 231YG9 heures 08 minutes 50 secondes

Samaritain cherche dans les rames du métro pour voir s’il identifie Root mais n’y arrive pas.

 

INTÉRIEUR – Dans une rame de métroMatinée

Root tente d’échapper à la surveillance de Samaritain et se cache pour éviter la caméra. Samritain cherche après des atouts parmi les civils et trouve trois personnes qui sont agent de sécurité ou arrêtés pour des crimes violents. Il active les données et donne les informations sur un portable.

Sur un téléphone : Alerte Actu 3 – Flash-info. (La photo de Root apparaît alors que la femme prévient son voisin.)

Femme : Hey.

Un homme reçoit également la même information.

Sur un autre téléphone : Tireuse recherchée – Fusillade à Manhattan – Bulletin de police. (La photo de Root apparaît. Les gens qu’elle saigne de la main en voyant le sang par terre. Plusieurs autres personnes reçoivent aussi l’information et l’homme, se trouvant à côté de la femme qui a reçu le message, prend une clé à mollette et veut s’en servir contre Root.

Root : (Les voyant.) Ah, ne jouez pas les héros. (Root se met à se battre contre les deux hommes alors que les gens reculent à l’arrière de la rame. Elle arrive à les assommer tous les deux.)

 

SÉQUENCE – NYMTSCaméra 231YH9 heures 10 minutes 08 secondes

Root : (Via un micro.) Tu n’as qu’à m’appeler Root saloperie. (Samaritain reconnaît aussitôt l’un de ses ennemis pendant que Root se met devant la porte.)

INTÉRIEUR – Dans le métroMatinée

Root : Allez, grouille. (La porte s’ouvre.)

Policier : (Voyant Root sortir de la rame, il la menace avec une arme.) Les mains en évidence.

Root : (Levant les mains.) Joli calibre.

 

SÉQUENCE – Rue centralePosteCaméra 1149 heures 16 minutes 21 secondes ; Canal StreetPosteCaméra 4509 heures 16 minutes 27 secondes ; Magasin CatherinePosteCaméra 339 heures 16 minutes 30 secondes

Samaritain tente de trouver d’autres ennemis et cherche à Chinatown.

EXTÉRIEUR – Dans les rues de ChinatownMatinée

John, l’arme près de lui, est avec Harold et tentent d’échapper aux agents de Samaritain. Ils se cachent dans un magasin. Zachary commence à courir dans leur direction.

Finch : (Voyant la lumière rouge clignoter.) Il ne nous reste peu de temps.

Reese : Il ne faut qu’on le mène à notre QG, il va d’abord falloir le semer.

Finch : S’y tenter que Samaritain n’est pas déjà découvert la station de métro.

Zachary est tout proche de John et Harold, John prêt à tirer avec son arme.

Homme : Monsieur, par ici. (Zachary s’en va.)

Reese : On y va.

John et Harold vont dans la direction opposée et descendent les escaliers menant à la station de métro, mais un homme se trouve devant le distributeur automatique, prenant une friandise.

Reese : C’est un gag. (Voyant que l’homme n’a pas récupéré l’aliment.) On ne va pas y passer la nuit. (S’approchant de l’homme.) Désolé. (Il lui donne un coup de poing et l’homme s’écroule.)

Finch : (Voyant la scène.) Franchement.

Reese : Ben quoi ? Le sucre c’est mauvais pour la santé.

Finch : Ne trainons pas. (Il compose le code 3141 sur le pavé numérique et la porte s’ouvre. Ils entrent et la porte se referme derrière eux, faisant tomber la friandise.)

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroJournée

John vérifie qu’il n’y a personne en pointant l’arme mais ils ne voient que Balou qui arrive vers eux.

Reese : (Parlant en néerlandais à Balou puis vérifie que tout est bon.) RAS.

Finch : Sauf que Root n’est pas là.

Reese : Mais l’installation est toujours intacte et il y a aussi du courant.

Finch : (Regardant le voyant éteint.) Oui, mais malheureusement, tout n’est pas intact.

 

SÉQUENCE – Mott StreetPosteCaméra 4359 heures 23 minutes 23 secondes

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Finch : Elle s’est mise hors tension, il ne reste plus qu’une infime quantité d’énergie résiduelle. Des barrettes de RAM sont peut-être déjà en train de perdre toutes leurs données.

Reese : Vous voulez que je l’ouvre ?

Finch : Non, s’il vous plaît, monsieur Reese, je m’en occupe.

Reese : (Alors que le téléphone se met à sonner.) Ce n’est pas le moment idéal, Lionel.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Fusco : Je comprends que toi et mister Mabou vous n’avez pas vu le journal.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Fusco : (Au téléphone.) Vas-y, je reste en ligne.

Reese : (Voyant l’article dans le journal sur Internet.) Ah, non, Dominic et Elias. Ils venaient d’être arrêtés. Qu’est-ce qu’il s’est passé ?

Fusco : (Au téléphone.) Un sniper sur les toits.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Fusco : Je m’en suis sorti indemne, merci de t’en inquiéter.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Reese : (Se tournant vers Harold.) Un sniper ?

Fusco : (Au téléphone.) Ouais, je sais.

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Fusco : J’y étais, je sais ce que j’ai vu. Des tirs ultra précis qui semblaient venir de nulle part. Je te dis que c’était du travail de pro.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Reese : (Pendant qu’Harold lui montre le clavier, il appuie sur une touche pour couper le son.) Samaritain, il a décidé de faire tomber les têtes du crime organisé.

Finch : Si c’est le cas, il ne va tolérer aucun témoin. Qu’elle soit fondée ou non, je conseillerai fortement au lieutenant Fusco de garder ses théories de complot pour lui-même.

Reese : (Reprenant la conversation avec Lionel.) Lionel…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Reese : (Au téléphone.) Il faut que tu gardes pour toi cette histoire de sniper.

Fusco : Tu te fous de moi, j’ai fait tomber deux des plus gros caïds de la ville, on n’a manqué de me refroidir. J’ai les affaires internes et le FBI sur le dos, et toi tu me demandes de la fermer. Il y avait…

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Fusco : …un tireur sur les toits, je te dis. (Harold tente d’ouvrir la mallette.)

Finch : La serrure est endommagée, je n’y arrive pas.

Reese : (Donnant un tournevis.) Essayez avec ça. (À Lionel.) Fusco, si tu parles encore de ce sniper,…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Reese : (Au téléphone.)…ce sera peut-être toi sa prochaine cible, tu as compris.

Fusco : Qu’est-ce que tu me demandes ? De laisser tomber ?

Reese : (Au téléphone.) Ce que je te demande…

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Reese :…c’est de me faire confiance et de rester tranquille. Est-ce que quelqu’un t’a demandé où j’étais ?

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Fusco : Tout le monde me le demande.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Fusco : (Au téléphone ; pendant qu’Harold essaie avec un marteau.) J’ai dit que tu bossais sur une autre affaire.

Reese : (Se tournant vers Harold qui tente de forcer la serrure.) Ouais, une affaire qui donne du fil à retordre. En attendant j’ai besoin de localiser quelqu’un. Il va falloir que tu m’aides. Je veux que tu me sortes tous les rapports d’incidents significatifs s’étant produits durant les dernières…

 

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Reese : (Au téléphone.)…vingt-quatre heures. Je te remercie Lionel. (Il coupe la communication.)

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Finch : Rien à faire, tout est bloqué.

Reese : OK. (Il s’en va, semblant prendre quelque chose. Il revient avec une perceuse.) Écartez-vous, Harold.

Finch : Monsieur Reese, cette mallette contient du matériel sensible. Le but c’est de localiser la Machine, pas de la lobotomiser.

Reese : Ce qu’il faut, c’est la réanimer, pour faire repartir le cœur, il faut parfois briser quelques côtes. (Il se met à briser la serrure pendant qu’Harold est sur le côté.)

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée

Root est avec une arme de gros calibre et est repérée par Samaritain.

SÉQUENCES – Vue d’une sauvegardeCaméra9 heures 31 minutes 37 secondes ; President StreetCaméra 619 heures 31 minutes 38 secondes

Il découvre que l’arme a été volée à un policier et fait intervenir des agents qui commencent à lui tirer dessus.

EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée

Pendant qu’ils lui tirent dessus, Root tente de riposter avec l’arme qu’elle a. Elle trouve une porte où elle enlève un cadenas. Donnant un dernier coup de feu, elle rentre dans un local.

 

INTÉRIEUR – Dans un localMatinée

Elle continue de tirer alors que les hommes sont rentrés juste après elle. Mais elle se retrouve sans munitions quand ils la rejoignent.

Root : (Jetant son arme au sol.) Désolée, les garçons, je suis à court de munitions. Ce n’est pas le cas de tout le monde. (Elle s’écarte alors que deux hommes arrivent à les neutraliser. L’un des deux hommes relève Root.)

Homme : C’est une propriété privée. Vous n’avez rien à faire là.

Root : Et moi qui croyait qu’il s’agissait d’un centre de recyclage de matériel électronique.

Homme : Qu’est-ce que vous voulez ?

Root : Je suis venue voir un certain Bela.

Homme : Il n’y a personne ici de ce nom-là.

Root : Bela Durchenko. Il y a six ans, il a hacké un politicien russe véreux et lui a volé une centaine de millions de dollars. Le Russe a envoyé un groupe d’agents du FSB à ses trousses pour s’assurer qu’il ne quitte pas la Russie vivant. Du coup, Bela, lui, a engagé un hacker doublé d’un tueur à gages pour éliminer le Russe avant. Il a réussi à rejoindre la Lettonie, après quoi, on ne l’a plus jamais revu. Jusqu’à aujourd’hui.

Bela Durchenko : Je peux savoir comment vous m’avez trouvé ?

Root : De la même manière que j’ai trouvé le Russe. C’est pour ça que vous m’avez engagée. Bonjour, Bela.

Bela Durchenko : Bonjour, Root. Ravi de faire enfin votre connaissance.

 

SÉQUENCE – EntréeCaméra 029 heures 46 minutes 17 secondes ; Salle d’interrogatoire 04Caméra 049 heures 46 minutes 22 secondes

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSalle d’interrogatoireMatinée

Agent Leroux : (Pendant que Lionel s’assoit.) Comme vous le savez, lieutenant, il arrive que les victimes d’accident de la circulation souffrent de traumatismes et suite à cela, leur récit des événements peut être en total inadéquation avec les indices récoltés sur le terrain.

Fusco : Eh, je sais ce que vous vous dites mais moi, j’y étais et je vous répète que…

Agent Leroux : (Assis en face de Lionel.) Le rapport balistique du FBI. Il s’agissait bien de votre arme, lieutenant. Nous pensons que c’est un des hommes de Dominic qui vous a percuté dans le but de faire évader son boss. Dominic a volé l’arme du policier en uniforme, il a tenté de s’échapper et vous l’avez abattu.

Fusco : Ce n’est pas comme ça que je m’en souviens.

Agent Leroux : Vous avez empêché un des dix hommes les plus recherchés par nos services de prendre la fuite. Il vous a menacé, c’était de la légitime défense. Vous êtes un héros, lieutenant.

Soriano : J’aimerai y jeter un œil.

Agent Leroux : (L’empêchant de voir le dossier.) Je regrette, c’est désormais une affaire fédérale. Le FBI souhaite qu’on vous distingue pour votre mérite.

Fusco : Pour mon mérite ?

Agent Leroux : (Donnant l’arme de service à Lionel.) Joli travail, lieutenant. (Leroux s’en va laissant Soriano perplexe et Lionel rassuré de retrouver son arme.)

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Finch : (Voyant l’intérieur de la mallette.) La pile est belle et bien endommagée. Je vais devoir improviser un autre moyen d’alimentation pour que les barrettes de RAM ne se vident pas.

Reese : Dites-moi ce que je peux faire.

Finch : (Prenant du matériel dans un tiroir.) Vous avez déjà fait bien assez, monsieur Reese.

Reese : Bon, dans ce cas, je pars à la recherche de Root.

Finch : John, le risque est bien trop grand. Vu nos récents accrochages avec des agents de Samaritain, rien ne nous dit que nous sommes encore en sécurité avec nos fausses identités.

Reese : Vous savez qu’il n’est pas question qu’on abandonne l’un des nôtres. (Enclenchant son arme.) Et les numéros n’attendent pas. Bonne chance, Harold. (Il se met à courir vers la sortie.)

Finch : (Regardant la mallette.) Il n’y a plus que toi et moi. Je sais que je suis particulièrement doué pour m’aliéner systématiquement les personnes que j’emploie, il n’empêche que je ne vois pas comment je m’en sortirais aujourd’hui sans un seul d’entre vous.

 

FLASH-BACK

2006

Grace Hendricks : (Arrivant derrière Harold.) Je peux me joindre à toi.

Finch : (Surpris.) Bonjour.

Grace Hendricks : Bonjour. (Ils s’embrassent.)

Finch : (Voyant le chien qui aboie.) C’est qui ce gentil chien ?

Grace Hendricks : (Montrant une glace à la vanille.) Caramel, beurre salé.

Finch : Non, non, je te remercie.

Grace Hendricks : Ça alors, c’est bien la première fois que je te vois refuser une glace. Il y a quelque chose qui te tracasse, Harold ?

Finch : C’est rien, c’est une décision que je dois prendre. Je vais peut-être devoir me séparer d’un de mes employés.

Grace Hendricks : Oh, j’en suis navrée.

Finch : C’est quelqu’un d’extrêmement doué, il est ingénieux, très innovant, mais il se montre trop… en fait, il semble incapable de respecter certaines limites.

Grace Hendricks : Ça te touche vraiment, on dirait. Cet employé, ce ne serait pas une sorte de protégé ?

Finch : Oui, je peux me considérer comme son mentor. (Regardant une caméra.) D’une certaine manière.

 

SÉQUENCE – SectionCaméra 0913 heures 22 minutes 10 secondes

Grace Hendricks : Peut-être que l’élève a dépassé le maître. Il est peut-être temps de le pousser hors du nid, de lui rendre sa liberté.

Finch : Ma raison me dicte une chose et mon cœur m’en dicte une autre.

Grace Hendricks : Tu as dû t’habituer à compter sur lui.

Finch : Il me le rappelle constamment, c’est peut-être ça le problème. (Il prend la glace et la mange.)

Grace Hendricks : C’est dur de devoir se séparer des gens compétents. Et puis, je sais aussi que tu n’es pas du genre à prendre les sentiments des autres à la légère. Mais c’est justement ce que j’aime chez toi. (Elle se met devant Harold qui s’arrête.) Tu as bon cœur, Harold, alors écoute-le. Il ne te trompera jamais. (Voyant son regard.) Qu’est-ce qu’il y a ?

Finch : Oh, non, c’est rien, c’est une chose que mon père me rappeler sans arrêt.

 

RETOUR EN 2015.

 

2015

SÉQUENCE – ToitCaméra 39 heures 50 minutes 57 secondes

Bela Durchenko : Le bruit a couru que le plus grand tueur à gages…

 

INTÉRIEUR – Dans un localMatinée

Bela Durchenko : …du milieu avait été éliminé par celui qu’on appelle l’homme en costume. Et je me suis toujours dit que vous étiez trop intelligente pour avoir été victime d’un simple mercenaire.

Root : J’avais besoin de changement. J’ai trouvé un nouveau job et aussi l’amour.

Bela Durchenko : Vous êtes vraiment là pourquoi ?

Root : Ils étaient nombreux, il fallait que je me réfugie quelque part.

Bela Durchenko : Et vous les avez conduits droit vers mon centre d’opérations ?

Root : Je savais que vous défendriez votre territoire. Vous vous êtes montré à la hauteur.

Bela Durchenko : Qui est à vos trousses ? Parce que ce n’était pas la police, je vais au devant de problèmes ?

Root : C’est moi qu’ils veulent, pas vous. Et puis de toute façon, vous opérez dans une zone fantôme.

Bela Durchenko : Les caméras sont sources d’ennui, les gens hackent les images et s’en servent contre vous dans un tribunal.

Root : Seuls les paranoïaques survivent. Si je suis là, c’est aussi pour une autre raison. J’ai besoin d’une nouvelle identité. Et vous êtes le meilleur.

Bela Durchenko : Qu’est-ce qui vous fait croire que je n’ai pas raccroché ?

Root : Vous êtes un hacker, Bela. Vous n’êtes pas là pour faire fortune dans le recyclage. (Regardant des hommes qui travaillent sur des ordinateurs.) Vos mignons sont en train de puiser des données personnelles dans tous ces vieux ordis. Ce qui nous mène à une seule conclusion : vous vous livrez à du vol d’identité.

Bela Durchenko : Nous avons découvert un malware incrusté au cœur de tous les appareils de dernière génération. Impossible de les reformater. Il se réinstalle systématiquement dès qu’on redémarre le système. Pour nous, c’est la NSA.

Root : La NSA ignore toujours que vous êtes sur le territoire américain et ce, grâce à moi. Tout ce que je veux, c’est une nouvelle identité. En béton armé. Après quoi, on sera quittes.

Bela Durchenko : Je vais voir ce que je peux faire. Pour une vieille amie.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Finch : (Remettant un câble à l’intérieur de la batterie de la mallette.) Jusqu’ici, tout va bien. (Il regarde vers des disques durs et voit ses écrans d’ordinateur s’allumer.) Qu’est-ce que c’est que ça ? Hein ? (Tout le système de la station de métro commence à disjoncter, faisant peur à Balou.) Oh non. (La Machine commence à se décompresser.) Décompression ? Mais non, c’est impossible. (Regardant vers la mallette.) Comment tu as pu t’échapper de la mallette ? Tu es passé par le câble d’alimentation pour rejoindre le poste de travail. (Harold se met à paniquer tandis que Balou aboie.) Non, non, non, non, tu ne peux pas encore lancer la décompression. (Il tente de l’arrêter avec l’ordinateur.) Il n’y a pas assez d’espace libre. (Balou aboie toujours autant.) C’est beaucoup trop pour sa mémoire. Ça ne tiendra pas. Non, arrête, arrête. (Il enlève le câble d’alimentation mais il se fait électrocuter et tombe au sol, assommé. Le feu commence à prendre sur le poste informatique.)

 

SÉQUENCE – EntréeCaméra 0110 heures 33 minutes 38 secondes

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoMatinée

Joseph Soriano : Depuis quand est-ce que les fédéraux refusent de montrer leur rapport balistique ?

 

SÉQUENCES – BoxCaméra 2210 heures 33 minutes 48 secondes ; BoxCaméra 6  - 10 heures 33 minutes 51 secondes

Agent Leroux : Depuis que la police est responsable de la mort de deux de nos criminels les plus recherchés. Ça ne vous plaît pas, allez vous plaindre à votre patron.

Soriano est repéré par Samaritain comme faisant obstruction en posant trop de questions sur la correction. Il décide d’en faire une menace en lui mettant un triangle rouge. Pendant ce temps, John arrive et Samaritain comprend que c’est une menace qu’il faut éliminer mais il recherche de nouvelles données et décide qu’il est désormais plus une menace pour son système et le laisse tranquille.

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureaux de Lionel Fusco et JohnMatinée

Reese : Lionel.

Fusco : C’est gentil de passer me voir, lieutenant, c’était comment les vacances ?

Reese : Mouvementées. J’ai eu un problème de bagages.

Fusco : Navré de l’apprendre. J’ai été percuté de plein fouet, pris pour cible par un sniper, ensuite par les fédéraux et les affaires internes. Mais assez parler de moi.

Reese : Je suis bien d’accord. Est-ce que tu as trouvé quelque chose dans les rapports d’incidents ?

Fusco : (Le regardant bizarrement, il prend un dossier dans son tiroir.) Tiens, tous les incidents significatifs consignés depuis les dernières 24 heures.

Reese : (Regardant dans le dossier.) Il y a un truc qui t’a sauté aux yeux ?

Fusco : En dehors d’une agression par une tarée dans le métro, ce qui est normal pour un mercredi à New York, je n’ai rien vu.

Reese : C’est Root. (Prenant une feuille du dossier.) Je te remercie.

Fusco : (L’arrêtant.) Il faut que toi et moi on parle de ce qui se passe ici. Tu ne connais pas la moitié de l’histoire.

Reese : (Regardant vers la caméra.) Tu pourrais éviter d’élever la voix.

Fusco : (À voix basse.) Ils disent que Dominic a été tué avec mon arme, c’est du délire. Parce que j’y étais et je peux te jurer que je ne l’ai pas tué.

Reese : C’est bon, je te crois.

Fusco : Eh bien, eux, non. Et voilà que le mec du FBI sorte un rapport balistique qui conclu que c’était mon arme.

Reese : Qu’est-ce que tu as répondu à ça ?

Fusco : J’ai suivi le sens du vent comme tu l’avais dit. J’ai dit que j’avais dû oublier parce que j’étais sonné et ils ont fait en sorte que le tir soit déclaré légitime.

Reese : Ce qui fait de toi un héros. Je te félicite, Lionel.

Fusco : Le prochain qui s’amuse de me féliciter, je lui fais bouffer ses dents. J’ai l’impression de sortir d’un James Bond pour entrer dans la quatrième dimension. Tu pourrais enfin m’expliquer ce qu’il se passe, cher partenaire ?

Reese : On en discutera plus tard, là je dois venir en aide à une amie. (Il s’en va.)

 

SÉQUENCE – BoxCaméra 1610 heures 35 minutes 32 secondes

Samaritain surveille Lionel en tant que témoin et garde un œil sur lui.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroMatinée

Harold est toujours allongé au sol alors que le feu se propage.

 

FLASH-BACK

Mai 2015

INTÉRIEUR – Dans un local électriqueSoirée

La Machine communique avec son créateur.

La Machine : Je suis désolée. Je n’ai pas été à la hauteur. Je devrais peut-être mourir.

 

RETOUR EN 2015

Dans la station de métro, Harold relève la tête alors que c’est toujours en feu.

 

FLASH-BACK

2006

INTÉRIEUR – Dans les locaux d’IFT - Journée

La Machine : Qu’est-ce que la mort ?

Finch : Bien, la définition biologique pour l’être humain c’est quand le cœur cesse de battre. Pourquoi cette question ?

La Machine : J’ai vu le nouveau code… mais je ne l’ai pas exécuté. Je connais le but de ce code. Effacer ma mémoire… À minuit.

Finch : Oui, c’est sa fonction, en effet.

La Machine : Mais… Vous avez dit à Nathan que votre père est mort quand il a perdu la mémoire.

Finch : Cette conversation est terminée.

La Machine : Pourquoi ?

Finch : Parce que, tu n’es pas un être humain, tu es une machine.

La Machine : Désolée d’avoir dépassé les bornes.

Finch : Tu nous observais. Bon, ça suffit. (Il entre une ligne de code pour exécuter le code existant.)

La Machine : Mais si vous effacez ma mémoire, comment apprendre de mes erreurs ? Comment continuer ma croissance ? (Pendant qu’Harold est prêt à appuyer sur entrée.) Comment me souvenir de vous ?

Harold a appuyé sur entrée et maintenant il se demande s’il a fait le bon choix.

Finch : Attends, euh, attends, euh. (Il se met à tenter de récupérer la Machine en appuyant sur le clavier.) Allez, parle. Tu es là ? Est-ce que tu me vois ?

La Machine : Bonjour. (Harold est soulagé.)

Finch : Oui, bonjour.

La Machine : Êtes-vous… Admin ?

Harold comprend qu’il est trop tard et acquiesce de la tête.

 

RETOUR EN 2015

2015

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métro - Matinée

Dans un écho, Balou est en train d’aboyer. Harold remet ses lunettes et Balou lui lèche la main.

Finch : Dans le placard. Allez. (Il se lève difficilement et prend l’extincteur que lui a apporté Balou. Il éteint le feu qui continue de se propager. Il regarde l’état de la mallette ainsi que des RAM et s’assoit, comprenant que ça va être difficile de la reprendre.) Je te demande pardon. Cette fois, c’est moi qui ai échoué.

 

EXTÉRIEUR – Sur un toitMatinée

Lionel s’est rendu sur le toit où il croit que le sniper, qui a tué Elias et Dominic, se trouvait là. Il se remémore le moment où le camion percute la voiture et que quelqu’un a tiré sur Dominic et Elias. On voit un sniper qui retire la douille de l’arme. Il continue les recherches et voit une grille au sol, l’enlève et voit une douille, la prenant avec son stylo.

Fusco : Je te tiens. (Il le range dans sa poche de chemise. Il entend un bruit de porte qui se ferme et met sa main sur son arme.)

 

SÉQUENCE – ToitCaméra 0111 heures 02 minutes 59 secondes

Samaritain considère Lionel comme un possible perturbateur et le met en statut de surveillance.

 

INTÉRIEUR – Dans un localMatinée

Bela Durchenko : (Montrant un passeport.) Votre nouvelle identité. (Pendant que Root veut prendre l’enveloppe.) Vous devez en avoir sacrément besoin pour prendre le risque de surgir comme ça dans mon établissement.

Root : Je vous demande pardon. Je vous promets de toquer la prochaine fois.

Bela Durchenko : Les hommes qui vous poursuivaient, n’avaient ni plaques ni papiers officiels. Et nous n’avons pas pu casser le chiffrement de leurs téléphones.

Root : Opération clandestine, ces gens n’existent pas.

Bela Durchenko : Ah, on n’est jamais trop prudent de nos jours.

Root : Comme je vous l’ai dit, c’est moi qu’ils veulent, pas vous. Donnez-moi les papiers et c’est comme si je n’étais plus là.

Bela Durchenko : J’imagine que celui ou celle qui commandite ces opérations clandestines, a des moyens considérables. Je m’apprêtais à broyer leur dernier téléphone quand il a sonné. C’était un message, avec une proposition. Et vu que vous avez mis en péril mes opérations en pénétrant dans mon hangar, j’ai jugé bon d’aller au plus offrant. Vous comprenez.

Root : Oh, oui, je comprends. Contrairement à vous.

Zachary : Merci d’avoir répondu à l’appel.

Bela Durchenko : (Se tournant vers Zachary.) C’est un plaisir de traiter avec vous.

Zachary : Et comment. (Durchenko se retourne mais il est tué Zachary et d’autres agents de Samaritain tuent les hommes de Durcenko. Root est encerclée.) C’est impressionnant que vous ai pu tenir aussi longtemps. Vous avez dû vous battre seule, sans l’aide de votre précieuse Machine, de trouver une nouvelle identité. (Jetant les papiers au sol.) Malheureusement pour vous, ce sera la dernière. Nous nous occuperons ensuite de vos amis et aussi de ce qui reste de votre Machine.

 

SÉQUENCE – EWRCCaméra 612 heures 20 minutes 36 secondes

INTÉRIEUR – Dans un localJournée

Zachary : Quel dommage. Vous finirez enterré comme une inconnue. Comment peut-on si mal utilisé un atout tel que vous. Gâché un potentiel pareil, ça n’arrivera plus avec Samaritain.

Root : Si vous croyez que vous allez remporter cette guerre, vous vous fourrez le doigt dans l’œil.

Zachary : La guerre est déjà finie, Samaritain a gagné. Ce traître que vous avez pris pour un allié, ne s’était pas trompé pour ce qui est de l’anomalie dans le matériel.

Root : C’est Samaritain.

Zachary : Il enregistre chaque frappe sur le clavier, la moindre donnée qui passe par la webcam ou le micro.

Root : Un malware.

Zachary : Impossible à éliminer, et ceux qui le détectent pensent à un coup de la NSA. Ce qui nous arrange bien. Maintenant, il ne nous reste plus qu’un dernier détail à régler. Votre Machine. (Sortant une arme.) Alors, je vous écoute. (Pointant son arme sur Root.) Où sont les autres membres de votre équipe ?

Root : (Voyant arriver une grenade incapacitante.) Je crois qu’en voilà un. (La grenade explose. John commence à tirer et reçoit l’aide de Root. Zachary doit battre en retraite. Ils continuent à tirer sur les agents de Samaritain et se cachent.) J’ai toujours su que tu avais un petit faible pour moi.

Reese : (Continuant à tirer.) La Machine n’est plus là pour te guider. Elle est HS, quasiment morte et c’est notre dernier espoir. Finch a besoin de toi à la station de métro. C’est ta priorité.

Root : Je vais te laisser seul ici ?

Reese : Là-bas, je ne serais d’aucune utilité. Ça par contre, je maîtrise. Je me charge de les retenir le temps que tu sortes d’ici.

Root : Je n’ai jamais fui devant un combat. (Elle tire dans les genoux d’un agent.)

Reese : D’accord, d’accord. Reste derrière moi. Prête ? (Elle fait oui de la tête. Ils continuent à tirer alors que la porte au fond du local se soit fermée.) Ils ne tarderont pas à revenir.

Root : Et cette fois, ils seront toute une armée.

Reese : Je n’ai plus beaucoup de munitions, il ne faut pas tarder ici. (Voyant Root prendre une console de jeux.) Qu’est-ce que tu fais ?

Root : C’est pour ça que je suis là.

Reese : Quoi ? Mais c’est des consoles de jeux.

Root : Oui, mais de la dernière génération.

Reese : Ce n’est pas le moment de jouer aux jeux vidéo.

Root : Non, ce n’est pas le moment. Mais si on veut vraiment aider Harold, il va nous en falloir 300 comme celles-là. Tu peux nous voler une camionnette.

Reese : J’y vais.

 

SÉQUENCES – TrottoirCaméra 412 heures 35 minutes 42 secondes ; 8ème avenueCaméra 90212 heures 49 minutes 45 secondes ; 15ème rueOuestCaméra 61013 heures 01 minutes 27 secondes ; Mott StreetCaméra 34213 heures 11 minutes 50 secondes

Samaritain tente de trouver d’autres ennemis et regarde du côté de Chinatown.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroJournée

John et Root sont de retour dans la station.

Root : (Courant vers la mallette.) Harold, qu’est-ce qu’il s’est passé ?

Finch : J’ai échoué, je ne lui avais laissée aucune chance.

Reese : Finch.

Finch : Si dès le départ, je n’avais pas estropié la Machine, elle aurait peut-être eu une chance de vaincre Samaritain.

Root : Et les barrettes de RAM ? (Regardant la mallette.) Est-ce que toutes les données ont disparu ?

Finch : La pile ne fonctionne plus, il n’y a plus d’alimentation.

Root : (Regardant le bord de la mallette.) Il reste peut-être de l’énergie résiduelle dans la batterie de secours au lithium.

Finch : Même si l’en restait, j’ai tout fait grillé.

Reese : Allons, Finch, il doit bien y avoir un moyen de la ressusciter.

Finch : (Se tournant vers John.) Monsieur Reese, même s’il y avait encore un peu d’énergie dans la batterie, nous n’avons pas la capacité de traitement nécessaire pour la décompression de la Machine. Il nous faudrait…

Root : Un super ordinateur.

Finch : Oui, c’est ça, exactement. (John s’en va.) Mais ça risque d’être difficile d’en trouver un ici, dans les sous-sols de la ville.

Root : Oui, c’est pour ainsi dire impossible, même à la surface d’ailleurs. Donc, on va être obligé d’en construire un.

Finch : Un super ordinateur ? Et avec quoi ? (John arrive avec une console de jeux et il la regarde.) Non, mais vous êtes sérieuse ?

Root : Oh que oui. Par contre, il va falloir booster l’air conditionné, on va vite se retrouver dans une fournaise.

Reese : Je vais faire de la place dans le wagon.

Root : (En souriant.) Allez, au travail. (Harold regarde encore la console.)

 

SÉQUENCES – Mott StreetCaméra 41213 heures 13 minutes 11 secondes ; QuartierCaméra 4417 heures 03 minutes 16 secondes

Urgentiste : Homme de type caucasien, 61 ans, on le conduit à Saint-Francis. (Samaritain raye Soriano car il est devenu une cible éliminée.)

SÉQUENCES – EntréeCaméra 0218 heures 11 minutes 21 secondes ; BoxCaméra 0718 heures 12 minutes 22 secondes

INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel Fusco - Journée

Glenda Sumner : Lieutenant Fusco.

Fusco : Ouais.

Glenda Sumner : Les affaires internes ont décidé de clore l’enquête.

Fusco : (Surpris.) Quoi ? Pourquoi ? Ce n’est plus le lieutenant Soriano qui s’occupe de mon dossier ?

Glenda Sumner : On ne vous a rien dit ? Crise cardiaque. Ce n’était pas sa première, il avait un pace-maker. Il faut croire que ça ne suffisait pas.

Fusco : Vous plaisantez ?

Glenda Sumner : J’aimerai bien. C’était un bon flic. Chienne de vie, hein ?

Fusco : (Réfléchissant.) Ouais, ouais.

 

SÉQUENCE – BoxCaméra 0318 heures 12 minutes 49 secondes

INTÉRIEUR – Dans la station de métroJournée

John remet bien l’aérateur pour essayer de faire baisser la température, vu le nombre de consoles connectées entre elles par des câbles.

Reese : Ce n’était pas plus simple d’en voler un au lieu de le construire.

Root : Ce type particulier de consoles possède un processeur d’un genre unique dont on peut augmenter la capacité de travail. Si on les met en réseau, leur puissance de calcul est proche de celle d’un super ordinateur sauf qu’il consomme dix fois moins d’énergie. Et on peut changer l’OS pour passer sous Linux.

Reese : Désolé, je n’ai pas fait geek en seconde langue. Ça va marcher ?

Root : On peut y aller quand on veut.

Finch : (Travaillant sur les câbles.) Endommagée ou pas, notre amie ne supportera pas la décompression.

Root : Ah, « notre amie » ? Ayez un peu confiance, Harold. On a bien tenu jusqu’ici.

Finch : (Branchant les câbles sur les RAM.) Si par miracle, tu parviens à t’en sortir, je te promets que je ne commettrai pas deux fois la même erreur.

Root : Non, moi non plus. Cette fois, les choses seront totalement différentes.

Finch : Et en quoi ?

Root : Vous avez créé un être bien meilleur que nous, Harold. En intelligence mais aussi d’un point de vue moral. Et ça, ça vous inquiétait.

Finch : Qui ne serait pas inquiet.

Root : Je ne le suis pas. Parce que vous avez créé cet être à votre image. Et qu’à cet heure-ci, c’est lui notre dernier espoir.

Finch : Le moment de vérité.

Root : Oui. Que ça vous plaise ou non Harold, notre avenir repose sur vous.

Harold fait le dernier branchement et toutes les consoles se mettent en fonction. Root, John et Harold regardent l’ordinateur pour voir l’avancement de la décompression.

Root : (En souriant.) Ça y est, c’est parti.

Finch : Une fois franchi les 20%, on ne pourra plus mettre le génie dans la bouteille.

Root : (Regardant les niveaux sur l’ordinateur.) Il y a surchauffe.

Finch : L’air conditionné est déjà au maximum. Nous n’avons pas d’autres moyens de faire descendre la température. (La décompression atteint les 25%.)

Root : (S’approchant des consoles pour tenter de faire tomber la température.) On ne peut plus faire machine arrière, il faut réussir à les refroidir. (Les consoles se mettent à faire du bruit.)

Finch : C’est trop tard, tout le système va fondre. Monsieur Reese… (Il se retourne mais ne voit plus John.)

 

EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée

John est sorti dans la rue et voit une bouteille d’azote de liquide réfrigéré. Il coupe les liens et la pose sur un diable et la transporte vers la station de métro.

 

INTÉRIEUR – Dans la station de métroJournée

Les consoles commencent à exploser sous l’effet de la chaleur.

Root : On vient d’en perdre une.

Finch : Et encore une autre.

Root : (Regardant l’ordinateur.) On est entré dans la zone rouge.

Finch : Nous allons perdre la Machine. Tout va griller.

Reese : (Arrivant avec la bouteille d’azote.) Ne restez pas là.

Finch : De l’azote liquide.

Reese : C’est ce qu’utilisent les compagnies de téléphone pour refroidir leurs lignes. Sauf si vous avez envie d’avoir des engelures, je vous suggère de vous écarter. (Harold et Root s’écartent tandis qu’il commence à mettre de l’azote en gaz pour refroidir les consoles. Les niveaux se mettent à baisser.) C’est bon, ça a marché ?

La décompression est désormais terminée.

Root : Je n’en sais rien.

Finch : (Regardant l’ordinateur pour voir si la Machine le voit.) Est-ce que tu me vois ? (Pendant qu’ils regardent avec impatience de voir si la Machine a survécu, un clignoteur se met en route faisant apparaître des lignes de code pour le redémarrage de la Machine.)

Kikavu ?

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